Tennis - 21/01/2008 - 17:40
Baghdatis nommé ambassadeur

Le joueur de tennis chypriote-grec Marcos Baghdatis, pris récemment dans une polémique pour avoir scandé des slogans anti-turcs, a été nommé lundi ambassadeur de son pays pour l'année européenne du dialogue interculturel, a annoncé le gouvernement chypriote.

Le joueur, né à Limassol (sud) et formé en France, a été choisi car il symbolise le multiculturalisme sans oublier ses racines, son pays et ses traditions, a expliqué le ministre chypriote de l'Education et de la Culture, Akis Cleanthous, lors d'une conférence de presse.

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Marcos Baghdatis perd son "coach"

mer 06 fév, 15h17

Yiannos Hadjigeorgiou, qui entraînait le tennisman Marcos Baghdatis, a annoncé mercredi sa décision de reprendre sa liberté.

Yiannos Hadjigeorgiou a expliqué au finaliste de l'Open d'Australie de tennis 2006 qu'il mettait fin à leur relation pour des raisons personnelles.

Hadjigeorgiou, qui continuera de diriger Baghdatis en Coupe Davis, a avancé des raisons familiales.

"Je lui ai dit que je serai là, comme dans le passé, pour tout ce dont il pourrait avoir besoin", a déclaré Hadjigeorgiou. Il avait débuté sa collaboration avec le Chypriote, 17e mondial, en mai 2007. Aucun remplaçant n'a été désigné. AP

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Baghdatis de retour juste avant Roland-Garros

27/04/2008 - 15:24

Contraint au repos en raison de douleurs à l'astragale, un os de la cheville, Marcos Baghdatis sera éloigné du circuit durant les quatre prochaines semaines. Le Chypriote espère pouvoir être prêt pour défendre ses chances à Roland-Garros qui se disputera cette année du 25 mai au 8 juin.

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RG (H) Baghdatis «aimerait se poser»

mer 21 mai, 22h17

Comment devient-on champion ? On ne voit souvent que le résultat. On n'oublie souvent le travail et les sacrifices d'un champion dans sa jeunesse. A travers l'excellent documentaire « Jeu décisif », réalisé par Karim Koulakssis et diffusé jeudi vers 23 heures sur France dans l'émission Infrarouge, le chemin se dresse avec ses montées abruptes dues à l'éloignement de la famille ou au déracinement et ses pentes glissantes après quelques résultats décevants. Le parcours des jeunes de l'Académie Mouratoglou met en lumière la route à suivre. Celle du modèle du centre d'entraînement de Patrick Mouratoglou : Marcos Baghdatis. Comme un fil d'Ariane, le Chypriote évoque sa vie, ses joies, ses peines et montre ainsi la voie.

Aujourd'hui, la route du 18e joueur mondial s'arrête à Roland-Garros. Contraint à l'arrêt pendant un mois en raison d'une blessure à la cheville survenue en Coupe Davis en avril, il revient à la compétition pour les Internationaux de France. Mais cette blessure ne l'a pas empêché de travailler son physique. Aminci et affûté, Marcos Baghdatis croit en ses chances, même sur terre-battue. Après un début de saison difficile, il veut se relancer. Séparé de son entraîneur Mehdi Daouki depuis la Coupe Davis, il cherche un nouveau coach : « J'aimerais bien me poser, trouver un coach, reconstruire pour repartir pour l'année prochaine et rester bien solide, bien fidèle à mon équipe pour encore cinq ans. Je suis en contact avec des entraîneurs. Je cherche un ex-coach d'un champion qui a gagné beaucoup de tournois du Grand Chelem, un entraîneur qui connaît la route pour m'emmener là-haut .»

«Marcos Baghdatis, on voit dans le reportage les difficultés des jeunes pour tenter d'atteindre leur rêve. Tous les sacrifices que vous avez faits en quittant votre famille à 13 ans et demi vous ont-ils permis de devenir champion ?

Oui, cela m'a permis de devenir plus fort, de savoir gérer les moments importants et d'avoir une maturité plus précoce que les autres. Cela m'a beaucoup aidé. Mais il n'y avait pas que cela. Il y avait le jeu, le physique et le mental pour tenir longtemps loin de chez mes parents. Je ne peux pas me plaindre d'être où je suis aujourd'hui même si je dois continuer à travailler pour aller plus haut.

Avez-vous connu des moments où vous vous disiez : c'est trop dur, j'arrête ?

Oui, il y a plein de moments, mais j'avais des gens vraiment géniaux à côté de moi qui m'ont montré la voie et la route pour réussir. Il y avait ma famille d'accueil, Patrick (Mouratoglou), l'académie, tous mes coaches.

Vous vous êtes reconnu dans le parcours de ces jeunes ?

Oui, j'ai ressenti exactement ce qu'ils ressentent surtout le petit Renzo (Olivo, jeune Argentin). C'est émouvant de le voir lorsqu'il y a ses parents qui viennent le voir. Je n'étais pas bien car je me suis revu. Quand le gamin pleure, je suis passé par là. C'est dur.

Au début, c'était votre route ou celle de votre papa ?

A 14 ans, on ne sait pas forcément la route à prendre, ce sont des gens qui nous montrent la route. Mon père a voulu cette route-là pour moi et je ne voulais pas le décevoir. J'ai fait ma vie, j'ai essayé de faire le mieux possible. Pour moi, c'était dur d'arrêter et de retourner dans ma famille. Je l'aurais vécu comme un échec.

Dans le reportage, votre papa parle d'aller simple ?

C'est en regardant le reportage que je l'ai entendu dire cela pour la première fois. Cela m'a choqué, mais c'est vrai.

Votre papa dit également que c'était «son rêve» et que c'était «votre avenir».

C'est vrai. C'était son rêve et c'était mon avenir, mais c'était aussi mon rêve à la fin. J'ai aussi rêvé d'être un champion, de jouer devant beaucoup de monde.

On se connaît beaucoup mieux quand on a votre parcours ?

J'ai beaucoup appris, je suis parti très jeune de chez mes parents comme beaucoup de joueurs. On apprend donc à prendre des responsabilités très tôt dans notre vie, à gérer beaucoup de choses qu'un gamin de notre âge ne gère pas. A 16 ans, j'ai «viré» entre guillemets un coach. A cet âge-là, cela n'arrive pas tous les jours de dire à quelqu'un : on ne travaille plus ensemble. Ce n'est pas facile, mais il fallait le faire. J'ai eu l'aide de mon père, de Patrick (Mouratoglou), mais c'était à moi de le dire.

Sur le court, vous êtes un vrai joueur au sens propre du terme ?

J'ai vécu toute ma vie en prenant des risques, en jouant. A 14 ans, j'ai connu beaucoup d'émotions, de hauts et de bas, c'était dur. Sur le terrain, je suis un peu pareil, c'est mon caractère, c'est comme cela que je vis. Les émotions que j'ai sur le terrain, je les ai aussi en dehors du terrain avec un ami, avec une copine, avec n'importe qui.

Vous aimez bien transmettre ?

Oui, j'aime bien transmettre. Jeune, j'étais loin des gens que j'aimais, donc j'aime bien donner. Je n'ai pas eu beaucoup à donner à mes proches.

«Je cherche un nouveau coach»

Roland-Garros approche, comment vous sentez-vous ?

Je n'ai pas joué depuis la Coupe Davis, mon dernier tournoi ATP était Indian Wells. J'ai recommencé l'entraînement il y a trois semaines. J'ai eu une petite blessure à la cheville. Ce n'était pas facile, c'est dur d'arrêter un mois. Mais je me suis bien entraîné. Physiquement cela va très bien. J'ai travaillé autrement. On a immobilisé ma cheville et j'ai travaillé sur le vélo, un peu en montagne sur des raquettes. On a essayé de faire un travail physique malgré la blessure.

La terre, est-ce une surface qui vous inspire ?

C'est une surface qui ne m'inspirait pas. Maintenant cela m'inspire, je sais que je peux bien jouer sur terre. Je pense que je peux jouer sur toutes les surfaces. Il faut juste changer quelques petits trucs et adapter mon jeu à la terre. Je joue un peu plus arrondi, je pense que je peux bien jouer. Après savoir si je peux gagner Roland-Garros ou pas ? Oui, c'est possible. Mais personne ne peut vraiment savoir. Mon objectif est de faire de mon mieux. Je sais que quand je suis bien, je peux battre n'importe qui, il n'y a pas de barrière.

Vous possédez un jeu basé fortement sur le feeling ?

C'est au feeling et beaucoup au physique. C'est dans ce secteur où il fallait travailler et on l'a bien fait ces derniers temps. Je pense que j'ai progressé physiquement en puissance et en résistance. J'ai travaillé pour pouvoir enchaîner des matches, j'ai perdu un peu de poids, j'ai pris des muscles. Quand on se sent capable d'aller jusqu'au bout, on a plus de confiance, un meilleur mental et plus d'envie.

Quel est votre objectif cette saison ?

Mon objectif, le Masters, est mal barré. Je cherche un nouveau coach. On s'est séparé avec Medhi (Daouki) après la Coupe Davis, après la blessure. Je suis en contact avec des entraîneurs. Je cherche un ex-coach d'un champion qui a gagné beaucoup de tournois du Grand Chelem, un entraîneur qui connaît la route pour m'emmener là-haut. En ce moment, j'ai mon préparateur physique qui m'aide beaucoup, il est tout le temps avec moi sur le terrain. Aujourd'hui (mercredi), mon coach de Coupe Davis Yiannos (Hadjigeorgiou, le capitaine de l'équipe de Chypre) est arrivé pour m'aider pour Roland-Garros. Je n'ai pas envie de me précipiter. J'ai perdu six mois, je n'ai pas trop de résultats, j'aimerais bien me poser, trouver un coach, reconstruire pour repartir pour l'année prochaine et rester bien solide, bien fidèle à mon équipe pour encore cinq ans. Je veux être stable dans ma vie professionnelle et dans ma vie privée. »

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http://fr.sports.yahoo.com/21052008/53/tennis-rg-h-baghdatis-aimerait-se-poser.html

Baghdatis facile

Marcos Baghdatis s’est qualifié pour le 3e tour de Wimbledon aux dépens de Thomas Johansson (6/4 6/4 6/4).

Marcos Baghdatis poursuit sa route à Wimbledon. Demi-finaliste il y a deux ans, quart de finaliste l’an dernier, le Chypriote s’est qualifié mercredi pour le 3e tour en dominant facilement Thomas Johansson (6/4 6/4 6/4). Il affrontera Stadler ou Bellucci au prochain tour.

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Baghdatis en 8es

27/06 20h30 - Tennis, Wimbledon

Marcos Baghdatis s’est joué de l’Allemand Simon Stadler au 3e tour (7/6 6/4 6/2).

Issu des qualifications, Simon Stadler a vu son parcours s’arrêter au 3e tour à Wimbledon. L’Allemand, tombeur d’Ivo Karlovic, s’est incliné contre Marcos Baghdatis (7/6 6/4 6/2). En 8es de finale, le Chypiorte sera opposé au vainqueur du duel Lopez-Reynolds.

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Wimbledon: Baghdatis prend la porte

30/06/2008 - 18:29

Marcos Baghdatis s'est incliné ce lundi en huitièmes de finale du tournoi de Wimbledon. Le Chypriote, tête de série numéro 10 à Londres, a plié en cinq manches face à l'Espagnol Feliciano Lopez (5-7, 6-2, 3-6, 7-6, 8-6). L'Ibère qui retrouvera en quarts de finale Marat Safin ou Stanislas Wawrinka.

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Tennis - Bagdhatis au Kazakhstan

Sam. 05/07/2008 - 16:30

Marcos Baghdatis et Janko Tipsarevic ont participé au Kazakhstan Tennis Tour.

http://video.eurosport.fr/tennis/other/2008/bagdhatis-au-kazakhstan_vid77873/video.shtml

Baghdatis ratera Pékin et l'US Open

Jeudi 31 juillet 2008 - 20:22

Le joueur de tennis chypriote Marcos Baghdatis a déclaré forfait pour les jeux Olympiques de Pékin, où il était l'une des meilleurs chances de médailles de son pays, et pour l'US Open, à cause d'une blessure à un poignet, a annoncé jeudi la Fédération de tennis de Chypre.

"Malheureusement, les nouvelles concernant Marcos ne sont pas bonnes. Il manquera non seulement les jeux Olympiques, mais aussi l'US Open", a déclaré dans un communiqué l'entraîneur de la fédération Yiannos Hadjigeorgiou.

Avec le forfait du 31e mondial et finaliste de l'Open d'Australie 2006, Chypre, qui enverra 17 athlètes aux JO, mise désormais à Pékin sur le tireur George Achilleos, champion du monde de skeet, et sur Kyriacos Ioannou, médaillé de bronze en saut en hauteur aux Championnats du monde 2007.

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Baghdatis abandonne

30/09 19h46 - Tennis, ATP, Metz

Marcos Baghdatis a abandonné au premier tour de l’Open de Moselle.

Alors qu’il revient tout juste d’une blessure au poignet qui l’avait tenu éloigné des courts durant de longs mois, Marcos Baghdatis a dû jeter l’éponge contre Ivo Karlovic au premier tour à Metz. Le Chypriote avait gagné le premier set (6/2 1/2) mais s'est bloqué le dos.

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Baghdatis pas inquiet

30/09 22h19 - Tennis, ATP, Metz

Bloqué au niveau du dos pour son entrée en lice à Metz, Marcos Baghdatis passera une IRM mercredi mais garde le sourire.

«J’ai un spasme, je me suis bloqué le dos, je ne pouvais plus bouger. C’est la première fois que ça m’arrive. Rien de grave apparemment, d’après les premières observations du docteur. Mais on va faire un check-up demain, une IRM, et on verra bien», a avoué le Chypriote, qui travaille avec Peter Lundgren depuis le mois de juin.

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