Nadal, encore inquiété, jouera Mathieu

26/06/2010 - 19:43

Rafael Nadal s'est encore fait peur à Wimbledon ce samedi. Comme lors de son match du deuxième tour, le n°1 mondial a dû batailler pendant cinq sets pour se défaire de l'Allemand Philipp Petzschner (6-4, 4-6, 6-7, 6-2, 6-3) et ainsi se hisser en huitièmes de finale. L'Espagnol y retrouvera un certain Paul-Henri Mathieu.

www.sports.fr

Nadal a vacillé

Le 26/06/2010 à 19:43

Rafael Nadal (n°2), mené deux manches à une par Philipp Petzschner (n°33), samedi au 3e tour, s'impose finalement en cinq sets (6-4, 4-6, 6-7 [5], 6-2, 6-3 en 3h45'). Et retrouvera Paul-Henri Mathieu pour une place en quarts.


Rafael Nadal soulagé. Pour son deuxième match d'affilée, il s'est retrouvé mené deux sets à un.(REUT)

Décidément, ce Wimbledon 2010 n'est pas de tout repos pour les favoris. Après les entrées en matière plus que délicates de Roger Federer (n°1) et Novak Djokovic (n°3), Rafael Nadal, lauréat en 2008, s'est fait peur lui aussi. Déjà mené deux sets à un au 2e tour par Robin Haase, il a "remis ça" face au talentueux Philipp Petzschner, victorieux de Stéphane Robert et Lukasz Kubot, à chaque fois en cinq manches.

Efficace au service (89% de points gagnés derrière sa première balle), le Majorquin s'empare de l'engagement adverse, à sa cinquième occasion, pour virer en tête (6-4). Scénario inversé dans la deuxième manche où Petzschner, opportuniste, convertit son unique balle de break. Le début des ennuis pour Rafael Nadal, qui fait appel au kiné à la fin du troisième set pour des douleurs au bras gauche. Neutralisé par les revers chopés et les services surpuissants de l'Allemand (25 aces au total), le numéro 1 mondial, qui s'offre une balle de break dans le dixième jeu, cède finalement le tie-break sur un ace extérieur.

Le kiné pour les deux joueurs

Au quatrième set, l'Espagnol fait deux nouvelles "pauses kiné" pour sa cuisse et son genou droits cette fois. Les fantômes de ses anciennes - graves - blessures ressurgissent alors. Au courage et au mental, comme souvent, le neveu de Toni breake toutefois à 2-1 face à un adversaire manquant cruellement de lucidité. Et revient à hauteur sur une double faute (6-2).

Au changement de côté, le kiné fait son retour sur le Centre Court. Pour Petzschner cette fois, touché à la cuisse gauche. Après une première menace écartée (balle de break d'entrée), le calvaire continue pour Nadal, averti par l'arbitre pour coaching. Un incident qui a le don de l'énerver. Pas de quoi le détourner de son objectif, cependant. Comme souvent dans ce genre de situation, le favori reprend le dessus au meilleur moment sur un coup droit complètement "dévissé" (à 4-3). Avant de conclure sur un jeu blanc. S'il a vacillé, Rafael Nadal est toujours debout et retrouvera Paul-Henri Mathieu en huitièmes de finale.

lequipe.fr
http://www.lequipe.fr/Tennis/breves2010/20100626_194350_nadal-a-vacille.html

Nadal a souffert

26/06 19h44 - Tennis, Wimbledon

Rafael Nadal s’est qualifié dans la douleur pour les 8es de finale.

Rafael Nadal a eu besoin de cinq manches pour venir à bout d’un bon Philipp Petzschner au troisième tour de Wimbledon. L’Espagnol, qui a eu recours au kiné pour se faire masser la jambe droite, a rejoint Paul-Henri Mathieu en 8es de finale après une victoire (6/4 4/6 6/7 6/2 6/3).

www.sport24.com

Nadal, bousculé, rejoint PHM


Rafael Nadal Rafael Nadal évacue la tension (Reuters)

Poussé à bout par Philipp Petzschner, Rafael Nadal a encore dû batailler pendant cinq sets pour s’offrir une qualification en huitièmes de finale. Il y retrouvera le Français Paul-Henri Mathieu.

par Nicolas Cerbelle, le 26-06-2010

Déjà mené deux sets à un au tour précédent par Robin Haase, Rafael Nadal s’est encore fait peur ce samedi face à Philipp Petzschner (6/4 4/6 6/7 6/2 6/3). Après un premier set solide (6/4), au cours duquel il n’était jamais mis en danger sur son service, le n°1 mondial se faisait breaker sur la première balle de break qu’il concédait. Il pouvant d’autant plus le regretter qu’il avait gâché deux occasions de prendre l’engagement adverse quelques minutes plus tôt. L’Allemand égalisait à une manche partout (6/4). Mis en confiance, ce dernier jouait alors de mieux en mieux et Nadal ne parvenait plus à l’inquiéter.

Averti pour coaching

Obligé de disputer un tie-break, l’Espagnol, qui venait de faire appel au kiné pour se faire manipuler l’avant bras gauche, croyait avoir fait le plus dur en faisant le mini-break d’entrée (2-0). Malheureusement pour lui, Petzschner comblait son retard dans la foulée, puis se procurait trois balles de set (6-3), concluant par un ace sur sa troisième occasion. Médusés, les spectateurs du Centre Court s’inquiétaient sérieusement quand Nadal profitait d’un changement de côté, à 2/1 en sa faveur, pour redemander une pause médicale afin de se faire masser la cuisse et le mollet. Leurs craintes étaient cependant vite levées, le protégé de Toni réalisant le break dans la foulée (3/1). Il enfonçait le clou sur un nouveau jeu de son rival, qui lui facilitait la tâche avec une double-faute (6/2). Le pire était évité pour le Taureau de Manacor, même si tout était loin d’être parfait à l’image de sa piètre prestation en retour (seulement trois gagnants en quatre sets). Petzschner, qui montrait des signes de fatigue, gardait ainsi espoir, même s’il gâchait une balle de break d’entrée de cinquième set. L’arbitre français Cédric Mourier avait beau infliger un avertissant pour coaching à Nadal, ce dernier ne lâchait rien. Il breakait finalement à 4/3 avant de conclure sur un jeu blanc (6/3) après 3h40 de combat.

sport24.com
SOURCE

Des marathons qui n'annoncent rien de bon pour Nadal



(26/06/2010)

Servant mal en deuxième balle, Nadal s'est laissé trop souvent agresser par Petzschner.

LONDRES Pour la deuxième fois d'affilée, Rafael Nadal s'est laissé entraîner samedi dans un marathon en cinq sets par l'Allemand Philipp Petzschner, avant d'arracher sa place en huitième de finale de Wimbledon au prix d'une débauche d'énergie qu'il pourrait payer par la suite.

Sa campagne sur terre battue, aussi triomphale qu'exténuante, est-elle sur le point de lui passer la facture ? On ne peut s'empêcher de se poser la question après avoir vu le Majorquin appeler le soigneur au quatrième set pour se faire masser au-dessus du genou.

"J'espère que ce n'est pas grand chose. Il faut que je vérifie. La saison a été longue et j'ai joué beaucoup de matches", a reconnu le N.1 mondial, vainqueur 6-4, 4-6, 6-7 (5/7), 6-2, 6-3 après 3 h 45 min de bagarre.
C'est justement à cause d'une blessure à cette articulation que Nadal n'avait pas pu défendre son titre à Londres l'an passé.

Mais il n'y a pas que le physique qui a de quoi susciter l'inquiétude dans le clan du Majorquin, car son tennis non plus n'atteint pas les sommets de 2008, l'année de son doublé Roland-Garros/Wimbledon.

Servant mal en deuxième balle, Nadal s'est laissé trop souvent agresser par Petzschner. Il a aussi raté pas mal d'occasions, les passings ne sortant de sa raquette qu'au compte-goutte. Sur herbe, cela ne pardonnera pas contre des adversaires plus cotés, on pense avant tout au Suédois Robin Soderling, qui brûle de prendre sa revanche en quart de finale.

L'Espagnol affrontait certes un joueur taillé pour lui poser des problèmes: gros service (25 aces), volonté de conquête du filet, prise de risque maximale en coup droit. Comme le Néerlandais Robin Haase, qui avait lui aussi mené 2 sets à 1 au tour précédent, Petzschner avait des armes pour embêter Nadal.

Il n'empêche que l'Allemand ne pointe qu'à la 44e place à l'ATP, n'a jamais connu la deuxième semaine d'un Grand Chelem et venait de peiner pour sortir en cinq sets les 53e et 76e mondiaux.

Bien sûr, le Majorquin reste cette bête de combat contre laquelle il n'est pas raisonnable d'espérer l'emporter en cinq sets. Sur 17 matches de ce type, il en a remporté 14 depuis le début de sa carrière. Petzschner le savait et a craqué, on l'aurait parié, sur son dernier jeu de service à 4-4.
Mais le parcours de Nadal, pas plus d'ailleurs que celui de Federer, lui aussi sévèrement ballotté lors des deux premiers tours, ne ressemble pas pour le moment celui d'un futur vainqueur.

Jamais il n'avait dû disputer autant de sets pour se frayer un chemin jusqu'en deuxième semaine d'un Grand Chelem. En seulement deux matches, il en a déjà cédé quatre fois plus que lors des six premières étapes de son parcours triomphal d'il y a deux ans, conclu par une finale d'anthologie contre Federer.

SOURCE

Nadal passe en cinq sets à Wimbledon

TENNIS | Il s'est imposé 6-4 4-6 6-7 6-2 6-3 en 3h44' samedi au 3e tour face à l'Allemand Philipp Petzschner (no 33).


© KEYSTONE

ATS | 26.06.2010 | 20:11

Les favoris ont décidément la vie dure à Wimbledon. Le vainqueur de l'édition 2008 Rafael Nadal (no 2) a en effet dû recourir pour la deuxième fois d'affilée à un cinquième set. Il s'est imposé 6-4 4-6 6-7 6-2 6-3 en 3h44' samedi au 3e tour face à l'Allemand Philipp Petzschner (no 33). Le gaucher de Manacor affrontera Paul-Henri Mathieu (ATP 66) en 8e de finale.

Le no 1 mondial a dû sortir le grand jeu pour renverser la vapeur face à un joueur qui a sans doute livré le meilleur match de sa carrière, deux semaines après avoir mis un terme à la série de 78 jeux de service remportés consécutivement par Roger Federer à Halle. Il devait écarter une balle de break dès le premier jeu de la manche décisive, et signait le break décisif pour mener 5-3.

Si Rafael Nadal a offert comme toujours toutes les garanties sur le plan mental, son état physique va à nouveau alimenter les discussions à Church Road. Le Majorquin, qui avait déjà lâché deux manches face au modeste Robin Haase (ATP 151) au tour précédent, a en effet été contraint de faire appel au kiné pour soigner des douleurs au coude gauche et à la cuisse droite. Fait rarissime, il a en outre écopé d'un avertissement pour "coaching".

SOURCE

An interview with Rafael Nadal

R Nadal - 26 June
Saturday, 26 June 2010

Q. Was it fair to be warned about coaching? You looked very angry.

RAFAEL NADAL: Sometimes, yes. Not today, in my opinion. But, yes, sometimes in the past Toni talk maybe too much. And when it happened, and the referee or the umpire give me an advice, and if it is continuing, later a warning.

But not today, in my opinion. Yeah, no.

Q. After your incredible clay court season, now 13 sets in one week in Wimbledon, how are you feeling right now emotionally and physically?

RAFAEL NADAL: Emotionally perfect. I fighted a lot last two matches. I think I played very good tennis. But I told before the tournament, the draw gonna be difficult. That's what happen when you play against these player that they have very good serve. So all decide in a few points and everything is very difficult, no?

Physical, I have a little bit problem on the right knee. But, you know, I have one day and a half to get recovered. I happy to be in the fourth round. For me it very good news, having very tough matches and in the end winning. So that's a very positive thing mentally.

Q. Do you think it's taken you longer to settle in because it's been two years since you've been on grass?

RAFAEL NADAL: No.

Q. You were saying something from the baseline to the umpire, shouting at him, gesturing at him. What were you saying to him?

RAFAEL NADAL: I was saying, We gonna talk with the supervisor later.

Q. And did you?

RAFAEL NADAL: Not yet.

Q. Will you?

RAFAEL NADAL: I will, yeah. I will because today for me wasn't ‑‑ Toni wasn't give me any tip. He was only supporting me. When he put me warning, he said positive, you know.

Q. How much are you worried about your knee? Is there a risk you should skip the Davis Cup tie after Wimbledon?

RAFAEL NADAL: Yeah. Well, sure, I am a little bit scared about the knee. But, you know, it happen. I had a treatment after Monte‑Carlo. So I had the problem. I didn't say nothing before, but you know, guys, how is everything. I had the problem against Roddick in the semifinals of Miami.

I don't like to say nothing in that moment because when you lose, always looks like an excuse. But I can say now I had the problem after I played in Monte‑Carlo with a little bit of pain on the knee, on the left knee, because that's what happened there.

After Monte‑Carlo, I didn't play Barcelona because I had to do a treatment, new treatment. You know, I tried to play the clay season perfect because in that moment the right knee was better than the left. But at the same time I know the knees are not hundred percent recovered. But playing on clay and maybe on grass, if is not very long matches, can work well.

But the last treatments I did between Monte‑Carlo and Rome was perfect. I didn't have no one more problem on the left knee. But just I did one time, and I need to do three times.

I didn't have time to do it at the right knee before because I had to play. The clay season was my main goal of the season. After here I gonna do it another time, no? My goals for me is a big disappointment not be in the Davis Cup on France, you know. Some confrontations, if you play at home against some country, maybe you cannot play this one. But playing in France for me is a very special confrontation and a very big motivation for me.

But I talked with the captain, I talked with the president of the Federation a few days ago, and I said, Guys, I never arrive to the US Open with my hundred percent of conditions. I had last year broken abdominal, two years ago playing crazy here. After Olympics, I did arrive very tired. And I really want to try to go there with my best chances, no, to play, to play my hundred percent.

So I need to do this treatment after here. If I play Davis Cup, I don't have enough time to recover and play tournaments, Cincinnati. Everything was perfect for me last few months, and I need to be ready to finish the season well. My goal is try to keep having the chance to be No. 1 for the rest of the season. That's gonna be difficult. But if you are not in hundred percent of condition, is going to be impossible.

Q. Philipp said you were running exactly the same before and after the timeout. He said you could have played another two or three sets. He said it was a clever timeout because it broke his concentration. What do you think about that?

RAFAEL NADAL: No, everything is fair to think what they want. I never call a treatment ‑‑ I never call the physio when I don't have nothing, not one time in my career. If I call the physio today, it was because it was bothering me a lot, the knee, no?

The last day, it starts a little bit, and I didn't call the physio because I can't resist that. But today I needed to take little bit time. I have the quadriceps muscle very tight and I need to relax it a little bit. Maybe with this relaxation, the knee works a little bit better.

That's why I called the physio.

Q. How bad is your knee right now? You said you're scared. What are you scared of?

RAFAEL NADAL: My knee is like this. I don't know how bad is my knee. My knee, I can finish the match. We will see how is going the next day. But, you know, I am here to try my best and to try to keep in the tournament and playing well, no? I am not thinking about scared or retired or something like this. That's not going to happen.

Q. You did say a little while ago you were scared. What does scare you about the knee, maybe long term if not for this moment?

RAFAEL NADAL: No, no, I not scared, because I know what I have on the knee, is not something new, is something from the past. I know what I have to do to recover the knee. I didn't have time to do it before here. But after, I have the new treatment.

With the new treatment, the left knee works perfect. So when I going to do that to the right, hopefully that's going to be the same.

Q. What special treatment?

RAFAEL NADAL: For me I can't explain now, especially in English. Sorry.

Q. Can you finish the tournament? Do you feel physically strong enough you can really mount a challenge and beat Roger if the occasion comes?

RAFAEL NADAL: I play against Mathieu. Roger in the other part of the draw. I am focused on my part. I won a very important match for me today and I am focused on the next match against Mathieu and playing well. But Mathieu going to be very difficult match.

Q. Was there something with your arm as well that the trainer was looking at?

RAFAEL NADAL: Yes. I called the physio because after one serve I felt something here. But I told the physio I don't want to take out the medical treatment. So Petzschner must know that, too.

I didn't want to have the treatment because I feel it a little bit better after the game. I feel something after one serve. I said to the umpire, Please call the trainer for the next changeover. I can finish the game playing well. When I finish the game, I feel it well, so I don't need the trainer.

Q. Even the best players are involved in tough battles early on. Is this because it's very hot and it's hard to break serve? Is there any other reason the best players are having trouble?

RAFAEL NADAL: It's because we are playing in a very difficult tournament. We're playing in a Grand Slam, the fastest Grand Slam of the world.

If you play against players when they have very good serve, is very difficult to break, break the serve of these players. After that, if you have two bad points with your serve, the match will be very difficult.

Q. We know you're a big football fan, looking forward to Spain and Portugal. What do you think about England and Germany tomorrow?

RAFAEL NADAL: Close. Going to be close. Going to be very nice match, I think. Disappointing for the World Cup have these very strong teams at the Round of 16. But that's the sport. We will see what's happen. But I going to be in front of the TV.

Q. With all the ways your game depends on your legs, the power you get from your legs, with all these problems with your knees, does that affect you at all on court? Do you think about it?

RAFAEL NADAL: No. I was perfect mentally for all the year, no? I think that doesn't affect to my mind. Sometimes in the past, yes, when I don't know exactly what happen. I know right now exactly what happen and what I have to do to pull out this pain.

So I gonna do it after this tournament and try my best on this tournament. I definitely going to have a break to change that I hope for a long time.

Q. The player you played today said there are a lot of players coming up here better than they used to be. They give you a good chase at the moment. Is that what you feel? Are the players that challenge you now at the moment, are they better than they used to be?

RAFAEL NADAL: No. Philipp has very good potential, very good serve, very good forehand, very good slice backhand. He served well all the time, and especially in the difficult moments.

So, no, I think the players are playing similar like always. But on grass, especially everything is more difficult.

Q. Can you clarify about how your arm feels now?

RAFAEL NADAL: The arm is perfect. Work perfect. Perfect. Perfect is perfect.

site officiel
http://www.wimbledon.org/en_GB/news/interviews/2010-06-26/201006261277586139921.html

Nadal está "ilusionado" con el último tratamiento médico en las rodillas

El español Rafael Nadal, número uno del mundo, dijo hoy que es consciente de que sus rodillas no están "recuperadas al cien por cien", pero se mostró "ilusionado" con el último tratamiento al que se ha sometido, que le ha "funcionado perfecto" en la articulación izquierda.

El balear logró hoy una costosísima victoria en la pista Central ante el alemán Philipp Petzschner para meterse en los octavos de final de Wimbledon al imponerse al germano por 6-4, 4-6, 6-7 (5), 6-2 y 6-3 en 3 horas y 45 minutos

Tras vencer al alemán, 41 en el ránking de la ATP, el ganador de Roland Garros y segundo favorito del cuadro, tendrá como próximo adversario al francés Paul-Henri Mathieu, verdugo hoy del tenista holandés Thiemo de Bakker.

Aclaró unas declaraciones hechas tras recibir una advertencia del juez de silla por "coaching" durante el partido, cuando exclamó: "Hablaremos con el supervisor más tarde", según explicó después a los medios.

Pero descartó que se hubiera producido en la cancha algún tipo de tensión en ese intercambio de impresiones: "Me parecía injusta la advertencia por 'coaching'. Me había advertido en el cambio de que Toni (Nadal, su entrenador) me estaba hablando demasiado".

También habló del estado de la rodilla, tras haber recibido tratamiento del fisioterapeuta en dos ocasiones en la pierna y en otra en el codo: "Mi rodilla está como está. He podido acabar el partido y veremos cómo está el próximo día. Pero no me asusta, porque sé lo que tengo y sé lo que tengo que hacer", afirmó en inglés.

Nadal comentó que era consciente de que sus rodillas "no están recuperadas al cien por cien", aunque se mostró muy "ilusionado" con el último tratamiento recibido entre los torneos de Montecarlo y Roma, que fue, según dijo "perfecto y después del cual no volvió a tener "más problemas en la izquierda".

Cuestionado por ese nuevo tratamiento, respondió: "Hemos encontrado un tratamiento directamente en el tendón, y me ha funcionado perfecto en la rodilla izquierda, y desde Montecarlo no he notado nada de dolor. Es doloroso, necesito hacerlo unas cuantas veces y no me ha dado tiempo en la rodilla derecha", explicó.

"Estoy muy contento de cómo me ha ido el tratamiento porque parece que se ha encontrado lo que me va a hacer jugar sano durante unos años. Estoy ilusionado de que vaya a funcionar bien", indicó.

Nadal reconoció que no sabía, a estas alturas, si aguantaría hasta el final sin molestia o problemas físicos aunque "hará lo posible" para que sea así.

"Yo estoy aquí para hacerlo lo mejor posible y confío en que las cosas se puedan arreglar o aliviar. En esto estoy aquí para seguir trabajando para pasar a cuartos", afirmó.

Esa lesión le obligará a no competir en la Copa Davis: "Para mí es una gran decepción no estar en la Davis en Francia. Es un gran enfrentamiento. Para mí jugar en Francia era muy especial y una gran motivación", dijo Nadal, que ya ha hablado de su decisión de no competir con el capitán y con el presidente de la federación.

"No es una renuncia (a la Davis), es una obligación", aclaró el número 1, que dijo que le "sabe especialmente mal" por sus compañeros y por Albert Costa, "que es un hombre que trabaja muy bien y justamente me ha pillado en el peor año de mi vida en lesiones y no he podido asistir a algunas y agradezco su apoyo y el del presidente de la federación".

Nadal explicó que necesita llegar bien al Abierto de EEUU y que la decisión de no participar en la Davis la tomaba "muy a su pesar" ya que le "motiva especialmente jugar en Francia".

No obstante, aseguró que al margen de las rodillas, se encontraba "perfecto" físicamente.

En este torneo, en el que al español le ha tocado un cuadro "muy complicado", ante rivales que son 'sacadores', señaló que "la única forma de aguantar es sacar bien y esperar tu momento. Es parte del juego".

SOURCE

Wimbledon - Nadal, les voyants sont au rouge



Outre sa blessure au genou droit, Rafael Nadal n'a été que l'ombre de lui-même au cours des deux derniers tours à Wimbledon. Souvent dépassé par le rythme imposé par ses adversaires, le numéro un mondial a montré des lacunes inhabituelles et ne semble en mesure de viser le titre à Londres.

En marge de l'annonce du réveil de la blessure de Rafael Nadal, de la crainte que la suite de sa carrière ne s'inscrive en pointillés au bon vouloir de ses genoux, se lancer dans des analyses tactiquo-tactiques peut paraître dérisoire. Il faut cependant bien reconnaitre qu'avant même qu'il ne fasse appel au médecin du tournoi en seizième de finale face à l'Allemand Petzchner, le numéro un mondial avait montré quelques signes inquiétants qui nous permettent de douter de sa capacité à s'imposer à Londres.

Arrivé dans la capitale britannique avec le costume de favori au même titre que Federer après avoir signé un véritable grand chelem sur la terre battue européenne et récupéré la première place mondiale, Rafael Nadal a montré au cours des trois premiers tours qu'il est encore bien loin du niveau qui lui a permis de réaliser le doublé Roland-Garros/Wimbledon en 2008.

Rafa ne fait pas du Nadal

Et les difficultés rencontrées face au Néerlandais Hasse et l'Allemand Petzschner ne sont pas que d'ordres physiques. Face à deux joueurs pourtant classés au-delà de la 40e place mondiale, qui n'ont pas fait le moindre complexe et pas hésité à jouer leurs chances à fond, Nadal n'a pu cacher ses limites actuelles sur gazon. En manque de puissance, notamment en seconde balle, le numéro un mondial a donné le sentiment de plus réagir qu'agir, tant il a semblé subir de plein fouet les assauts adverses. Face à des joueurs taillés pour lui poser des problèmes - gros service (28 et 25 aces pour Haase et Petzschner), volonté de conquête du filet, prise de risque maximale en coup droit - l'Espagnol a donné souvent l'impression d'être dépassé par le rythme imposé et de réussir à prendre la direction des échanges que lors des deux derniers sets, au moment où la dimension physique prédomine.

Bien sûr, le Majorquin reste cette bête de combat inégalable, tant sur le plan physique que mental mais le fait qu'il n'avait jusqu'alors jamais eu besoin de disputer autant de sets pour se frayer un chemin jusqu'en deuxième semaine d'un Grand Chelem (il en a déjà cédé quatre fois plus que lors des six premières étapes de son parcours triomphal d'il y a deux ans) est la preuve qu'il n'a pas encore retrouvé ses marques sur le gazon. Très décevant en retour, pourtant assurément un de ses points forts, constamment mis sous pression derrière des secondes balles faiblardes et souvent étonnamment imprécis en passing, Rafa ne fait pas vraiment du Nadal depuis le début du tournoi.

Son parcours ne ressemble pas pour le moment à celui d'un futur vainqueur et son niveau de jeu ne pardonnera pas contre des adversaires plus cotés, à commencer par Paul-Henri Mathieu, en pleine résurrection, depuis le début de la quinzaine, et Soderling, éventuel adversaire en quarts de finale. Diminué par des pépins physiques lors de la première moitié de saison au point de se présenter à Londres avec une seule victoire au compteur, le Strasbourgeois, vainqueur notamment de sa bête noire, le Russe Youzhny, tête de série 13, et de l'espoir néerlandais de Bakker, en faisant preuve de qualités mentales insoupçonnées, ne compte pas s'arrêter en si bon chemin. "Arriver en deuxième semaine, c'est un bon résultat. Mais il faut aller en quarts maintenant", lance-t-il sans complexe. Personne, pas même Nadal, ne semble lui faire peur. Il faut cependant se méfier d'une bête blessée.

yahoo.fr
http://fr.sports.yahoo.com/27062010/70/wimbledon-nadal-les-voyants-sont-au-rouge.html

Le genou de Nadal se porte bien

Dimanche 27 juin 2010
ASSOCIATED PRESS


Rafael Nadal (Photo Getty)

Après une séance d'entraînement de 40 minutes au All England club, Rafael Nadal a fait savoir dimanche que son genou se portait bien.

« L'état de son genou est vraiment meilleur qu'il ne l'était samedi. Pour l'instant, ce qui nous inquiète, ce n'est pas le genou, mais notre prochain adversaire », a déclaré Toni Nadal, entraîneur et oncle du champion de Wimbledon en 2008.

Samedi, dans un match qu'il a difficilement gagné en cinq manches face au puissant serveur allemand Philipp Petzschner, Nadal a reçu deux traitements pendant les changements de côté.

En 2009, l'Espagnol avait déclaré forfait du tournoi de Wimbledon en raison de tendinites présentes dans chacun de ses genoux. Lundi, Nadal affrontera en 8e de finale le Français Paul-Henri Mathieu.

SOURCE

En manos del mago de las rodillas

Nadal probará un tratamiento de plasma con el doctor Mikel Sánchez.

J. J. MATEO - Wimbledon - 28/06/2010

El dolor es "increíble" para Rafael Nadal. El número uno del tenis juega hoy los octavos de final de Wimbledon contra el francés Paul-Henri Mathieu, pero ya sabe dónde irá cuando termine su participación en el torneo: a Vitoria, donde se encuentra la consulta del doctor Mikel Sánchez, el mago de las rodillas de la clínica La Esperanza, especializado en infiltrar plasma autólogo rico en factores de crecimiento, responsable de ese dolor que siente cuando le hurgan hasta encontrarle el tendón de la rodilla y firmante del tratamiento que le ha dado esperanza.

"Estoy muy contento", dice el mallorquín, que durante su partido del sábado fue atendido por el fisioterapeuta al sentir dolores en un codo y la rodilla derecha. "Parece que se ha encontrado lo que me va a hacer jugar sano unos años", advirtió.

La técnica que ha dado fama a Sánchez, desarrollada por Eduardo Anitua, director del Biotechnology Institute, de Álava, permite acelerar la regeneración de los tejidos dañados tras tratar la sangre del paciente y colocarla en la zona perjudicada. A la semana hay un número de células cuatro veces superior trabajando en la herida, según los médicos.

"Rafael tiene una tendinitis desde hace tiempo que se le puede reactivar", comentó ayer el doctor Cotorro, médico del tenista. Nadal sintió "un poco" de dolor en la rodilla izquierda durante su segunda ronda, algo más en la derecha durante la tercera. "Me preocupa más Mathieu que la rodilla", cerró Toni Nadal, tío y entrenador del balear.

SOURCE

Nadal, main de fer

Le 28/06/2010

Tout simplement trop fort. Rafael Nadal n'a pas laissé l'ombre d'une chance à Paul-Henri Mathieu lors de son huitième de finale lundi. Le n°1 mondial s'est imposé en trois manches (6-4, 6-2, 6-2) et retrouvera donc le Suédois Robin Söderling pour un match qui s'annonce déjà explosif. Après une première manche assez équilbrée, l'Espagnol a pris la mesure de son adversaire et n'a plus jamais relâché son emprise sur le match. L'arrivée du kiné à 5-2 dans le deuxième set a sans doute enlevé les derniers doutes sur l'issue finale du match. Quand vous n'êtes pas à 100% face à Nadal...En ce qui concerne le genou droit de Rafa, pas beaucoup d'indication car il n'a pas eu à véritablement puiser dans ses réserves et que c'est lui qui a fait courir son adversaire et pas l'inverse.

Comme on se retouve

Le Tricolore a ainsi encaissé sa dixième défaite en autant de confrontations avec Nadal avec toujours la même impression qu'il peut le bousculer par séquences mais jamais suffisamment pour le faire tomber. Encore une fois lundi Nadal a contré les coups droits puissants de PHM, encore une fois il a tenu le bras de fer du fond et manoeuvré le Français jusqu'à ce que ce dernier parte à la faute. Comme s'il avait un coup d'avance à chaque fois. Agresser le Majorquin, le déborder est une chose mais tenir le défi physique imposé dans ce cas en est une autre. L'équation reste donc encore insoluble pour Mathieu.
Elle devrait l'être moins pour Söderling, dont la puissance de feu va être un défi de taille à relever pour le n°1 mondial. Il lui faudra sans doute en mettre un peu plus au service et surtout gommer quelques fautes directes ici et là. Sur une surface aussi rapide, la tâche de l'Espagnol s'annonce redoutable mais les cinq sets disputés aujourd'hui par le Suédois face à Ferrer pourraient jouer en sa faveur. Nul doute en revanche que Söderling attendra de pied ferme son bourreau de la Porte d'Auteuil. L'arène a changé de couleur et ce n'est pas un détail. - C.B.

http://www.lequipe.fr/Tennis/breves2010/20100628_212205_nadal-main-de-fer.html