Un forum complet dédié au numéro 2 mondial Rafael Nadal ainsi qu'à tous les autres joueurs du circuit ATP. Pour tous les amoureux et passionnés de tennis.
Merci Flower d'avoir mis cette interview! Mais est ce que tu pourrais modifier ton post pour qu'il corresponde à la mise en forme "standard" des interviews du forum?
Voici le lien qui te permettra de mettre en forme ton post facilement :
Merci d'avance si tu as besoin d'aide n'hésite pas!
Tu fais ca bien caro
Nanou74 a écrit:
caro depuis tout à l'heure j'essaie de modifier son texte mais je peux pas j'espère qu'elle va le faire c'est super sympa de nous aider mais il faut respecter la mise en forme
Vous en faites pas les filles j'ai modifié l'interview elle est mise en forme et merci flower de l'avoir mise Comme a dit caro les topics d'aide te seront sûrement utiles
Et merci à tous vous faites ca super bien, regardez moi ca comme c'est beau une équipe
Pour Rafa et le dopage, ca sera toujours faux Rafa est l'un des sportifs sinon le sportif le plus clean qui soit !! Sur France Télé ils kiffent Rafa maintenant ils ont même viré Forget, bon il s'est retrouvé sur Sport+ mais même de là il a pas osé dire ca donc pas de panique
J'ai qu'une chose à dire en fait la_nadaleta tape ta tante !
Et hop pour la finale !!
¤Caro Nadachou¤
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Rafael Nadal aura sa médaille. L'Espagnol, futur N.1 mondial, a battu le Serbe Novak Djokovic en trois sets. Pour le combat de l'or, le Majorquin rencontrera Fernando Gonzalez, tombeur de James Blake et déjà médaillé de bronze à Athènes il y a quatre ans.
PEKIN 2008 Simple messieurs Demi-finales
Rafael NADAL (ESP/N.2) bat Novak Djokovic (SER/N.3) 6-4, 1-6, 6-4
Rafael Nadal a probablement fait le pas le plus difficile vers sa première médaille d'or en battant le Serbe Novak Djokovic en demi-finales du tournoi olympique, en trois sets très intenses, vendredi à Athènes. L'Espagnol sera le super-favori de la finale, dimanche, contre le Chilien Fernando Gonzalez, 15e mondial. Le médaillé de bronze d'Athènes en simple (et d'or en double) a éliminé l'Américain James Blake, tombeur de Roger Federer au tour précédent, lui aussi après une bagarre acharnée 4-6, 7-5, 11-9.
S'il l'emportait, le Majorquin élargirait encore sa suprématie, à une semaine de succéder au Suisse à la tête de la hiérarchie mondiale après plus de trois ans d'attente au poste de N.2. Un titre olympique serait la confirmation de la validité de ce changement, même si lui a juré qu'il ne pensait pas réussir aussi bien à Pékin. "J'étais très fatigué d'avoir joué tellement de matches, et j'avais mal à l'épaule. Mais j'ai joué de mieux en mieux", a-t-il dit. Gonzalez devrait avoir du mal à freiner le vainqueur de Roland-Garros et de Wimbledon. Sur les quatre duels entre les deux joueurs depuis l'éclosion de Nadal au plus au niveau, il n'en a remporté qu'un, en route vers sa seule finale majeure à l'Open d'Australie 2007, alors que l'Espagnol était diminué par une blessure à une cuisse.
Nadal et Djokovic se sont livré un combat de haut niveau que l'Espagnol a une fois de plus gagné au mental, alors que le N.3 mondial semblait avoir pris le dessus dans le jeu à partir du deuxième set. Significativement, le Serbe a donné le match à son adversaire en mettant dehors un smash immanquable, après plusieurs défenses désespérées de l'Espagnol. Roger Federer a lui aussi encore une chance de toucher l'or olympique pour se consoler un peu de ses nombreux déboires.
JO-2008 - L'Espagne, décevante, compte sur Nadal pour se relancer
16.08.2008 12:51
Avec seulement deux médailles à mi-chemin des Jeux de Pékin, l'Espagne est loin du compte, relevait samedi la presse espagnole, qui comptait sur Rafael Nadal pour redonner du punch à la délégation ibérique.
Nadal, favori contre le Chilien Fernando Gonzalez en finale du tournoi de tennis dimanche, est "l'antidépresseur" qui devrait permettre à l'Espagne de ne pas "couler moralement" après cinq jours sans médailles, selon le quotidien El Mundo.
Portée par les succès de ses athlètes en football, tennis et cyclisme cette année, la délégation espagnole était arrivée plein d'optimisme à Pékin, comptant remporter au moins 6 titres et battre son record de médailles (22) des JO de Barcelone en 1992.
Mais les déceptions se sont accumulées pendant les 8 premiers jours, en dépit d'un bon départ marqué par la médaille d'or en cyclisme de Samuel Sanchez.
Et la contre-performance samedi sur les 20 km du marcheur Paquillo Fernandez (7e), pourtant "un des plus sûrs espoirs de médailles", selon les médias espagnols, n'a rien fait pour arranger les choses.
"Il ne faut pas s'alarmer" estimait samedi dans le quotidien ABC le secrétaire d'Etat aux Sports Jaime Lissavetzky, tout en reconnaissant une certaine "augmentation de l'anxiété ces derniers jours".
Outre Nadal, l'Espagne compte toujours sur ses basketteurs, ses équipes de water-polo et de hockey sur gazon et ses cyclistes, coureurs de fond et spécialistes de la voile et de la natation synchronisée pour accrocher les médailles attendues.
Mais le total de Barcelone paraît hors de portée, et la presse espagnole se montrait particulièrement dure samedi avec ses nageurs, dont la prestation globale (un seul finaliste) était qualifiée de "ridicule" par le quotidien sportif Marca.
L'Espagne est passée de "l'euphorie du championnat d'Europe à la dure réalité des Jeux", écrivait ABC, après avoir rappelé les huit médailles, dont une en or, obtenues pas les nageurs espagnols à Eindhoven en mars dernier.
PÉKIN - Rafael Nadal a probablement fait le pas le plus difficile vers sa première médaille d'or en battant le Serbe Novak Djokovic en demi-finales du tournoi olympique, en trois sets très intenses, 6-4, 1-6, 6-4, vendredi à Athènes. L'Espagnol sera le super-favori de la finale, dimanche, contre le Chilien Fernando Gonzalez, 15e mondial. Le médaillé de bronze d'Athènes en simple (et d'or en double) a éliminé l'Américain James Blake, tombeur de Roger Federer au tour précédent, lui aussi après une bagarre acharnée 4-6, 7-5, 11-9.
S'il l'emportait, le Majorquin élargirait encore sa suprématie, à une semaine de succéder au Suisse à la tête de la hiérarchie mondiale après plus de trois ans d'attente au poste de N.2. Un titre olympique serait la confirmation de la validité de ce changement, même si lui a juré qu'il ne pensait pas réussir aussi bien à Pékin.
«J'étais très fatigué d'avoir joué tellement de matches, et j'avais mal à l'épaule. Mais j'ai joué de mieux en mieux», a-t-il dit.
Gonzalez devrait avoir du mal à freiner le vainqueur de Roland-Garros et de Wimbledon. Sur les quatre duels entre les deux joueurs depuis l'éclosion de Nadal au plus au niveau, il n'en a remporté qu'un, en route vers sa seule finale majeure à l'Open d'Australie 2007, alors que l'Espagnol était diminué par une blessure à une cuisse.
«Juste après les Grands Chelems»
La motivation spéciale du Chilien pour les Jeux - «Jouer pour mon pays me donne des ailes», a-t-il dit après sa qualification - n'a aucune chance de jouer en sa faveur, à voir la façon dont le nouveau patron du circuit a célébré sa victoire sur Djokovic, en se laissant tomber sur le dos les bras en croix, comme à chaque fois qu'il remporte une victoire majeure.
«C'est un rêve d'être en finale. Pour moi ça vient juste après les Grands Chelems», a-t-il dit.
Même s'il ne s'agit pas du Nadal/Federer attendu, cette finale devrait faire avancer la cause du tennis olympique. Rien à voir avec le Nicolas Massu/Mardy Fish de 2004 qui avait fait sourire tout le monde.
Nadal et Djokovic se sont livré un combat de haut niveau que l'Espagnol a une fois de plus gagné au mental, alors que le N.3 mondial semblait avoir pris le dessus dans le jeu à partir du deuxième set. Significativement, le Serbe a donné le match à son adversaire en mettant dehors un smash immanquable, après plusieurs défenses désespérées de l'Espagnol.
Roger Federer a lui aussi encore une chance de toucher l'or olympique pour se consoler un peu de ses nombreux déboires. En compagnie de Stanislas Wawrinka, il s'est qualifié pour la finale du double, où il rencontrera la paire suédoise Simon Aspelin/Thomas Johansson.
Rafael Nadal est en finale du tournoi olympique (Reuters)Djokovic a tout tenté.
le 15 Août 2008 par Rédaction Sport24.com
Rafael Nadal s'est qualifié pour la finale du tournoi de tennis aux dépens de Novak Djokovic (6/4 1/6 6/4). Il y affrontera le Chilien Fernando Gonzalez, vainqueur de James Blake au terme d'une rencontre marquée par un triste incident au cours d'un dernier set sinon somptueux.
Venu pour ça, Rafael Nadal n'est plus qu'à une marche de son rêve olympique. Vainqueur de Roland Garros et Wimbledon cette année, l'Espagnol a tremblé en demi-finales mais comme pour tous les adversaires du futur numéro un mondial ces dernières semaines, les efforts de Novak Djokovic sont restés vains. A l'image de son match contre Gaël Monfils au tour précédent, le Serbe attendait d'être mené une manche à rien (6/4) pour lâcher les chevaux. Devenu très agressif, un peu comme lors de son troisième set à Roland Garros face à Nadal, Djokovic déboussolait complètement le Majorquin (6/1). C'est à ce moment précis que Nadal pouvait cogiter. Il en fallait plus pour l'éteindre, s'imposant en trois sets non sans un immense soulagement (6/4 1/6 6/4) tard dans la soirée, dans la deuxième demi-finale. La première avait eu lieu bien plus tôt.
Vainqueur autoritaire d'un Roger Federer dont l'année noire se confirme malheureusement, James Blake s'imaginait mal avoir fait le travail pour... Fernando Gonzalez. Surtout qu'il s'agissait là de la première victoire en carrière de l'Américain sur le Suisse. Mais face à lui, le New-Yorkais retrouvait un adversaire qui ne lui avait guère réussi jusqu'à présent. En effet, le Chilien menait 5 succès à 3 dans leurs confrontations. Et désormais 6 à 3, puisque le Sud-Américain s'est imposé au terme d'une demi-finale à suspense (4/6 7/5 11/9), où tout se sera joué finalement sur une erreur d'arbitrage, lors d'un dernier set haletant. Auparavant, Blake s'était montré le plus solide en remportant le premier set (4/6). Mais très vite, Gonzalez inversait la tendance en prenant le service adverse une première fois (1-0). Pour rien puisque l'Américain débreakait dans la foulée. Mais à 5-5, cette fois, le Chilien faisait la différence en dérobant de nouveau la mise en jeu du New-Yorkais avant de conclure (7/5).
L'erreur d'arbitrage qui change tout
Débutait alors un terrible bras de fer où aucun des deux joueurs ne parvenait à prendre l'ascendant. La différence allait donc se faire à 9-8 en faveur de Blake. Sur un passing surpuissant, la balle sortait de quelques millimètres. Sauf qu'auparavant, celle-ci avait été déviée d'un rien par la raquette du Sud-Américain. Ce qui échappait à la vigilance de l'arbitre, et ce que se gardait bien de préciser Gonzalez, pas un modèle de fair-play sur le coup. Conséquence, très énervé, l'Américain perdait le jeu, puis son service. Confronté à trois balles de match, il avait bien une superbe réaction d'orgueil en sortant trois revers gagnants d'affilée tous aussi splendides les uns que les autres. Mais il était déjà trop tard pour lui et sur un retour de coup droit dans le filet, Gonzalez levait les bras au ciel. En finale, le Chilien tentera de faire mieux qu'il y a quatre ans, alors battu par Nicolas Massu.
La finale du tournoi olympique de tennis opposera le Chilien Fernando Gonzalez, tombeur de James Blake en trois manches, à Rafael Nadal, qui a battu Novak Djokovic.
Fernando Gonzalez en finale, ce n'est pas vraiment une surprise. Le Chilien aime les Jeux puisqu'ils avait remporté le bronze à Athènes en 2004. Il est assuré de faire mieux cette année et il poursuit la tradition puisque son compatriote Nicolas Massu est le tenant du titre. Fernando Gonzalez, tête de série n°12, aura toutefois fort à faire pour imiter son pote. N°1 mondial dès lundi, Rafael Nadal est clairement favori de la finale.
Pour se qualifier, Gonzalez a sorti le tombeur de Federer, James Blake, en trois manches (4-6, 7-5, 11-9). L'Américain a loupé quatre balles de match. Gonzalez a eu besoin d'en jouer quatre aussi avant de conclure sur la cinquième. De son côté, l'Espagnol a lui aussi eu besoin de trois sets (6-4, 1-6, 6-4). Le combat a été intense entre les deux jeunes loups du circuit. il s'est terminé par un smash surpuissant du Majorquin.
Irrésistible depuis le début de la saison, Rafael Nadal dispute, dimanche matin à 9h30, la finale du tournoi olympique contre le Chilien Gonzalez. Un challenge des plus excitants pour l'imminent N.1 mondial qui consomme sans modération son aventure pékinoise.
PEKIN 2008 SIMPLE MESSIEURS - Finale
Rafael Nadal (ESP/N.2) - Fernando Gonzalez (CHI/N.12)
Atteindre la finale des Jeux Olympiques, est-ce aussi fort que d"accéder à celle de Roland-Garros ou Wimbledon ?
Rafael Nadal : A mes yeux, les tournois du Grand Chelem sont un peu plus importants. Mais les Jeux Olympiques viennent immédiatement après. Chacun a ses objectifs et ses priorités mais pour moi, c'est un rêve d'accéder à cette finale. Les J.O., c'est la plus grande compétition au monde et c'est une expérience inestimable.
Votre motivation sera donc quasi identique à celle des autres tournois...
R.N. : Oh oui ! Décrocher une médaille pour mon pays, ça signifie beaucoup pour moi. C'est bien plus particulier que d'habitude. Je suis d'autant plus ravi d'avoir atteint cette finale qu'elle me garantit déjà une médaille.
A force de vous voir enchaîner les matches gagnants, on en vient à se demander si vous êtes parfois fatigué...
R.N. : Rassurez-vous. En arrivant ici, je n'étais pas certain de pouvoir disputer le match pour la médaille d'or car j'étais très fatigué. J'avais de nombreux matches derrière moi et je ne jouais pas mon meilleur tennis. Mais au fil de la semaine, je n'ai cessé de m'améliorer et de me sentir de mieux en mieux. Si bien qu'aujourd'hui, ce serait vraiment merveilleux de pouvoir décrocher une médaille sur la lancée de l'incroyable saison que je suis en train de vivre.
Comment imaginez-vous votre match face à Gonzalez ?
R.N. : Je m'attends à un match très difficile. En ce moment, il joue bien à l'image de ses victoires sur Blake et Mathieu. Son coup droit est fantastique, son revers est agressif et son service est très efficace. Franchement, je vais devoir m'employer pour le battre. Tout peut arriver. Je ne m'attends pas à une promenade de santé. Le niveau actuel entre les joueurs est vraiment très serré.
La pollution et l'humidité ne vous gênent-elles pas trop ?
R.N. : La pollution, non. En revanche, l'humidité commence vraiment à m'agacer. C'est insupportable. Je dois tout le temps changer de maillot, me passer du produit asséchant dans les mains ou m'essuyer avec une serviette. C'est très pénible.
Vous qui êtes une star mondiale du sport, n'est-ce pas compliqué parfois de vivre au village olympique ?
R.N. : Beaucoup de gens me reconnaissent. On me sollicite souvent pour une photo ou un autographe, mais je m'exécute car ce sont des sportifs comme moi. Et puis, j'apprécie beaucoup loger au village. C'est un plaisir. Ca me change des tournois habituels. C'est différent. Il y a quelque chose en plus. Comme je voulais profiter à 100 % de ces Jeux, c'est la raison pour laquelle j'ai insisté pour descendre au village.
Avez-vous remarqué combien les Chinois étaient fans de vous ?
R.N. : Les supporters chinois sont toujours très gentils avec moi. Ils commencent à me connaître parce que je suis déjà venu à Shanghai à l'occasion de la Masters Cup. Je ne peux que les remercier de leur incroyable soutien. Et même si je ne sais pas dire un mot en chinois, j'ai cru comprendre qu'ils me disaient : "Allez ! Allez ! Allez !".
Il n'y a pas eu de surprise en finale du tournoi olympique. L'Espagnol Rafael Nadal s'est paré d'or en s'imposant 6-3 7-6 6-3 face au Chilien Fernando Gonzalez.
Rafael Nadal (no 2) a ajouté une touche dorée à une lumineuse année 2008 déjà teintée d'ocre et de vert. L'Espagnol déloge Roger Federer du premier rang mondial en tant que nouveau champion olympique de simple, après avoir battu dimanche le Chilien Fernando Gonzalez (no 15) 6-3 7-6 (7/2) 6-3 en finale à Pékin.
Le taureau de Manacor réalise ainsi un sensationnel triplé Roland-Garros/Wimbledon/JO, 20 ans après le fameux «Golden Slam» (Grand Chelem + titre olympique) réussi par Mme Agassi, Steffi Graf. Il succède au palmarès des JO au Chilien Nicolas Massu. Fernando Gonzalez complète pour sa part sa panoplie de breloques, lui qui avait conquis le bronze en simple et l'or en double aux côtés de Massu à Athènes.
Rafael Nadal n'a connu qu'une seule véritable alerte dans cette finale qui durait 2h22', lorsqu'il se retrouvait mené 5-6 15/40 sur son engagement dans la deuxième manche. Le gaucher majorquin s'adjugeait cependant six points d'affilée pour dominer ensuite nettement le jeu décisif. Fernando Gonzalez avait manqué le coche sur sa première balle de set, sortant de quelques centimètres une volée de revers qui lui aurait permis de se relancer. Il craquait dès le troisième jeu de l'ultime manche, cédant son service «blanc».
Le bonheur est total pour l'Espagnol. A la veille de trôner - enfin - sur le circuit mondial, Rafael Nadal s'offre la médaille d'or du tournoi en simple. C'est simple, Nadal est actuellement le meilleur joueur de monde. Outre sa domination outrageuse sur la terre battue, le natif des îles Baléares a progressé sur toutes les autres surfaces. Cette médaille d'or récompense tous ses efforts pour atteindre le toit du monde.
Rafael Nadal a donc remporté la médaille d'or du tournoi olympique de tennis en battant le Chilien Fernando Gonzalez en trois sets 6-3, 7-6 (7/2), 6-3, en finale à Pékin. Inarrêtable depuis 4 mois, le futur N.1 mondial, âgé de 22 ans, a enlevé son troisième titre majeur de l'année après Roland-Garros et Wimbledon. C'est la première fois que Nadal touche l'or olympique.
En 2004, il n'avait joué que le double et perdu au 1er tour. C'est la première fois que l'Espagne remporte un titre en tennis aux JO. Gonzalez monte lui pour la 3e fois sur le podium après ses deux médailles d'Athènes, d'or en double et de bronze en simple. Il détient un quart de toutes les récompenses gagnées par son pays dans l'histoire des JO.
Nadal a très nettement dominé la finale en s'appliquant à pilonner le point faible de son adversaire, le revers. Le Chilien a trop forcé sa chance avec son puissant coup droit, commettant beaucoup d'erreurs, contrairement au vainqueur, extrêmement économe. Le quadruple champion de Roland-Garros n'a connu qu'une alerte, dans la 2e manche, quand il a dû écarter 2 balles de set, dont l'une gâchée par Gonzalez sur une volée de revers facile expédiée dans le couloir. L'Espagnol avait fait le plus dur en demi-finale en sortant le N.3 mondial, le Serbe Novak Djokovic, en trois sets (2-1) très serrés.
source : RTBR
Dernière édition par rafa-en-fuerza le Dim 17 Aoû 2008 - 15:35, édité 1 fois
masha-rafa
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Rafael Nadal, qui sera pour la première fois numéro 1 mondial lundi, a décroché l'or olympique grâce à son succès sur Fernando Gonzalez (6-3, 7-6 (7/2), 6-3) en finale. Après Roland-Garros et Wimbledon, il remporte son 3e titre majeur de l'année. Novak Djokovic est en bronze.
Logique respectée. Rafael Nadal, sur une autre planète cette saison, a confirmé sa suprématie en s'adjugeant l'or olympique, première médaille de sa carrière. Grande première pour l'Espagne aussi, qui n'avait jamais été sacrée en tennis. "Dans une vie, on a peu d'occasions de devenir champion olympique. Y arriver, c'est un plaisir énorme, s'est enthousiasmé Nadal. Je suis très heureux de tout ce qui m'arrive cette année et spécialement de réaliser ce rêve de gagner les Jeux Olympiques". L e Majorquin a nettement dominé cette rencontre, s'appliquant à pilonner le revers du Chilien, son point faible. S'appuyant sur son puissant coup droit, Gonzalez a pourtant tout tenté, obtenant même deux balles de set dans la deuxième manche. En vain.
La semaine reste tout de même très positive pour le Chilien, en manque de résultats significatifs cette saison. Il monte pour la troisième fois de sa carrière sur un podium olympique après ses deux médailles à Athènes (or en double et bronze en simple) et peut se targuer de détenir un quart de toutes les récompenses gagnées par son pays dans l'histoire des Jeux. Direction l'US Open maintenant pour les deux finalistes. Eliminé l'an dernier dès les huitièmes de finale par l'Espagnol David Ferrer, "Rafa" arrivera cette fois armé d'un nouveau statut et d'une confiance taille XXL. En ligne de mire: son premier petit Chelem.
Rafael Nadal, médaillé d'or à Pékin dimanche, s'est réjoui d'avoir choisi de vivre au village olympique où il a pu récupérer de ses fatigues en côtoyant les autres athlètes: "Grâce à eux j'ai pu être à 100% mentalement", assure-t-il.
Rafael Nadal, que ressentez-vous après cette consécration olympique? R.N. : Dans une vie, on a peu d'occasions de devenir champion olympique. Y arriver c'est un plaisir énorme. Je suis très heureux de tout ce qui m'arrive cette année et spécialement de réaliser ce rêve de gagner les Jeux Olympiques. N'êtes-vous pas arrivé fatigué à Pékin?
R.N. : Si, je suis arrivé très fatigué. Les premiers jours ont été pénibles, surtout à l'entraînement. Mais je crois sincèrement que le fait d'être au village avec d'autres camarades et pas dans un hôtel où on a beaucoup plus de temps pour s'ennuyer a été plus qu'une aide. Je dois remercier tous les autres athlètes pour leur attitude. Grâce à eux, j'ai pu être à 100% mentalement. En étant dans un hôtel, ça n'aurait pas été le cas.
Cela va-t-il vous inciter à changer votre vie sur le circuit? R.N. : Je ne crois pas que ce soit possible, à moins d'amener tous les gens du village avec moi.
Allez-vous repasser par l'Espagne avant d'aller aux Etats-Unis pour l'US Open? R.N. : Non. Lundi à 13h, je prends l'avion pour New York.
Quel est votre prochain objectif ? R.N. : Je ne vois pas plus loin que d'essayer de bien jouer la semaine prochaine. J'ai dit mille fois qu'en tennis, quand on perd, on a la possibilité de se rattraper la semaine d'après, et que quand on gagne, on a l'assurance de recommencer à souffrir. L'objectif est donc très simple, c'est d'abord d'essayer de passer une bonne semaine à New York, en me reposant un peu aussi - j'ai un grand ami qui vient me tenir compagnie - puis d'essayer de finir l'année N.1 et de faire une bonne fin de saison."
On dit que vous vous êtes lié d'amitié avec Michael Phelps. Il a dit que vous étiez son joueur de tennis préféré. Que pensez-vous de lui ? R.N. : Amitié, il ne faut pas exagérer, on a seulement fait une photo. Pour moi, il représente les Jeux. Ce qu'il a fait est admirable, c'est monstrueux. je sais combien c'est dur de gagner et lui il l'a fait huit fois. C'est une fierté pour le monde d'avoir un champion comme lui.
L’Espagnol Rafaël Nadal est devenu champion olympique en dominant en finale le Chilien Fernando Gonzalez 6-3, 7-6, 6-3. Après Rolland Garros, Wimbledon et sa place de N.1 mondial fraîchement acquise, le Majorquin vit une année exceptionnelle. Le voilà sur le toit du monde.
Nadal démarrait tambour battant cette finale en prenant le service du Chilien d’entrée. Gonzalez tentait de réagir mais il était trop tard face à "l’ogre espagnol" pour revenir dans le premier set. Nadal ne laissait rien passer et empochait cette première manche 6-3.
Le second set aura été autrement plus disputé. Au coude à coude, les deux joueurs s’engageaient dans un véritable bras de fer du fond de cours. Dans le tie-break, c’est Nadal qui négociait le mieux les points importants pour enlever le set 7-6 (7/2).
En pleine confiance, l’Espagnol continuait son travail de sape sur le revers de son adversaire. Gonzalez s’accrochait mais il était écrit que cette année 2008 serai l’année Nadal. Le break concédé lors de sa deuxième mise en jeu fut celui de trop pour le Chilien. "Rafa" ne craquait pas sur son service restant dominateur jusqu’au bout. Sur une ultime gifle coup droit, Nadal s’octroyait son troisième titre majeur de la saison. Il confirme ainsi son titre de meilleur joueur du monde actuel.
Après sa médaille de bronze à Athènes, Fernando Gonzalez repart de Pékin avec l’argent. Dans la petite finale, le Serbe Novak Djokovic a battu l’Américain James Blake et empoche la médaille de bronze.
En effet uen médaille d'or pour prendre les commandes du classemetn j'pense qu'on pouvait pas rêver mieux
Ca me fait penser je regardais la cérémonie de remise des médailles sur TVE2 et y'a Corretja qui fait "Tout le monde croit que c'que fait Rafa c'est normal mais faut le dire ca ne l'est pas"
Nanou74
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Après Roland-Garros et Wimbledon, Rafael Nadal a ajouté un autre grand titre à sa collection dimanche en remportant la médaille d'or du simple messieurs aux Jeux olympiques de Pékin suite à sa victoire en finale sur le Chilien Fernando Gonzalez (6-3, 7-6, 6-3). Un titre que le Majorquin a savouré, tout comme il a savouré ses dix jours passés au Village olympique.
Vous voilà champion olympique, le sentiment est-il différent que lorsqu'on gagne un tournoi du Grand Chelem ? Chaque sentiment est différent, mais gagner ici, c'est spécial. Dans le tennis, les Grands chelems sont un peu plus importants, mais ici, vous ne pouvez gagner qu'une fois tous les quatre ans. Pour un joueur de tennis, les Grands chelems sont plus importants, mais pour un sportif, les Jeux olympiques sont plus importants que tout. Ici, j'ai senti que j'avais gagné pour tout le pays, pour plein de monde, pas seulement pour moi.
Le tournant de la finale, c'est ce tie-break gagné ? C'est sûr, quand vous gagnez le tie-break, et que vous vous trouvez avec un avantage de deux sets à zéro, les choses deviennent plus faciles. Il a perdu une chance de gagner le deuxième set avec deux balles de set, ensuite j'ai fait un bon tie-break qui a fait la décision, je pense que j'ai presque fait le match parfait.
"C'est aussi très difficile de gagner tout ça"
Pourquoi êtes-vous si fort aujourd'hui ? Je ne sais pas, j'ai toujours essayé d'améliorer mon tennis, d'être meilleur qu'avant, chaque mois et chaque année, ces progrès me permettent d'avoir confiance pour gagner à Wimbledon, pour gagner ici, pour garder les mêmes résultats sur terre battue, je sais que ça paraît incroyable mais que c'est aussi très difficile de gagner tout ça, je suis heureux.
Pour arriver à votre niveau, il faut du talent, un bon coach, des opportunités et travailler dur, quel pourcentage attribuez-vous à chacun de ses facteurs ? Je ne sais pas (Rires). Je ne sais pas quel pourcentage, mais les choses viennent comme ça, c'est important de travailler dur, d'avoir un bon entourage, c'est ce que j'ai et c'est ce qui fait que je suis ici.
Pensez-vous pouvoir encore améliorer vitre jeu ? Et si oui, dans quels domaines ? Vous pouvez toujours vous améliorer, si Federer peut le faire, moi aussi. Je peux améliorer mon slice, mon service, ma volée aussi, je peux jouer davantage dans le court, je peux jouer plus long, plus près des lignes, on peut toujours s'améliorer dans tous les domaines, non ?
Quel est votre sentiment d'être lundi officiellement n°1 mondial ? Bien sûr, je suis content d'être n°1, mais mon sentiment ne change pas vraiment. Les années d'avant, je marchais également bien, je me sentais aussi très bien quand j'étais n°2, finalement je suis n°1, c'est évidemment une satisfaction, mais je n'ai pas le temps de fêter ça, je rejoue dans une semaine à New York. Probablement après New York et la Coupe Davis, j'aurai du temps pour fêter ça.
Justement, ce long voyage à Pékin ne risque-t-il pas d'affecter vos performances à l'US Open ? Ce n'est pas le moment de parler de New York, c'est le moment de savourer ce moment. J'ai eu une année incroyable, même dans mes rêves les plus fous, je n'aurais pas pu imaginer quelque chose comme ce qui s'est passé cette année. Je savoure parce que je sais combien ça a été difficile de gagner toutes ces choses, et spécialement ici, parce que vous ne pouvez gagner qu'une fois tous les quatre ans. Je peux juste remercier toute mon équipe qui me supporte tout le temps, merci beaucoup à tous les athlètes qui sont au village parce que j'ai passé des moments fantastiques ici. Il y a deux semaines, je suis arrivé très fatigué de Cincinnati, et la raison pour laquelle j'ai gagné, c'est que j'ai eu ces moments fantastiques ici. Merci à tous les athlètes espagnols d'être venus me supporter, j'ai vraiment vécu une belle expérience.
"Je pense que je serai probablement n°2 dans les mois qui viennent..."
Vous étiez l'un des sportifs les plus populaires du Village olympique, comment l'avez-vous vécu ? Je ne sais pas, je me suis senti comme tous les autres athlètes et eux se sentaient comme moi. J'ai fait des photos, des autographes, mais toujours avec plaisir, c'était un sentiment particulier de faire tout cela avec des athlètes comme moi.
Maintenant que vous êtes n°1, la pression sera-t-elle différente ? Non, il n'y a pas de pression différente, ça ne change pas beaucoup de choses, la pression sera la même. Je serai n°1 demain, mais je devrai continuer à gagner des matches comme quand j'étais n°2, et je pense que je serai probablement n°2 dans les mois qui viennent.
L'Espagne a vécu un été sportif incroyable avec l'Euro, le Tour de France et vous, est-ce une fierté pour vous ? Nous pouvons être très heureux, non ? Nous avons gagné beaucoup de titres ces derniers mois et ces dernières années aussi, nous avons de très bons sportifs en Formule 1, moto, tennis, football, cyclisme, nous avons beaucoup de talents, de bons golfeurs aussi. L'Espagne est un grand pays, pas autant que d'autres, mais nous sommes dans les premières positions dans de nombreux sports, nous pouvons être contents de tout ça, non ? J'ai oublié un autre sport important, le basket.
"Mais je crois sincèrement que le fait d'être au village avec d'autres camarades et pas dans un hôtel où on a beaucoup plus de temps pour s'ennuyer a été plus qu'une aide." >>>P'tit clin d'œil au passage à...
Adeline
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Interrogé au micro de Canal+ après sa victoire en finale du tournoi olympique face aau Chilien Fenando Gonzalez, Rafael Nadal n'a pas caché sa joie à la veille de s'installer dans le fauteuil de n°1 mondial: "Evidemment, c'est vraiment ma plus belle année. Je suis vraiment content de tout ce qui m'arrive, je réalise doucement, je vais commencer à apprécier... Les grands Chelems sont toujours un peu plus grands mais ce titre vient vraiment juste après pour moi et pour mon pays, je vais me souvenir d'une ambiance géniale au village olympique avec tous mes coéquipers. Je suis d'autant plus comblée d'avoir vécu ce moment à leurs côtés."