EL US OPEN ES EL ÚNICO 'GRANDE' QUE LE FALTA EN SU PALMARÉS
Nadal: "Espero tener la oportunidad de ganar, pero sin obsesionarme"


EP. Nueva York 28/08/10 - 22:56.

Rafael Nadal ha declarado este sábado en rueda de prensa pocos días antes de empezar el US Open, el único título que le falta para completar el Grand Slam, que espera "tener mas oportunidades para jugar mejor y tener la opción de ganar el torneo", pero sin que se convierta en una obsesión.

"Estoy más que feliz con lo que tengo en casa, todos los torneos que he ganado. Es más de lo que soñé hace cinco o seis años así que estoy feliz por ello", dijo el número uno del mundo desde Flushing Meadows, lugar de celebración del torneo estadounidense.

Aunque Nadal nunca ha superado las semifinales del US Open, el único grande que le falta en su exitosa carrera, el tenista de 24 años tiene el "deseo" de mejorar su tenis y en eso es en lo que piensa "todo el tiempo".

"Creo que si hablamos en general, probablemente llegó un poco mejor que otros años", declaró el semifinalista del torneo los dos últimos años al ser preguntado por sus recientes problemas físicos.

El mallorquín, además, afirmó sentirse "bien" psicológicamente a dos días de empezar el cuarto y último grande de la temporada y que la única vez que no lo estuvo fue en 2008, cuando perdió ante Andy Murray, ya que entonces estaba "muy cansado".

"Llevo unos años jugando cada vez mejor en este torneo, pero sigue siendo difícil estar en el centro de la pista al haber más viento que en el resto de los campeonatos" apuntó Nadal, que reconoce que cuando tiene el viento en contra a veces parece que no es él el que mueve la bola.

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Nadal rêve de rejoindre Laver, Agassi et Federer



29/08/10 14h53

Le N.1 mondial Rafael Nadal va devoir convaincre les sceptiques et soulever des montagnes pour brandir dans deux semaines le seul trophée du Grand Chelem qui lui manque, l'US Open.

Un titre à New York assurerait à Nadal, jamais finaliste ici, de devenir le quatrième après Rod Laver, Andre Agassi et Roger Federer à gagner les quatre tournois du Grand Chelem dans l'ère Open (depuis 1969) et le 7e de l'histoire.

Et si c'était à l'issue d'une finale contre Federer, événement auquel Roland-Garros, Wimbledon et l'Open d'Australie ont déjà eu droit mais qui s'est pour l'heure refusé à New York, ce serait la cerise sur le gâteau.

Têtes de série N.1 et N.2, les deux hommes ne peuvent en effet se rencontrer qu'à l'ultime stade de la compétition.

Le Majorquin, déjà huit fois vainqueur en Grand Chelem, assure qu'il ne fait pas de l'US Open "une obsession". "Si je n'ai pas encore gagné ici, c'est que je n'étais pas prêt. Je ne sais pas si c'est pour cette année mais j'arrive dans de meilleures dispositions", assure-t-il.

Et de rappeler qu'il reste sur deux demi-finales malgré des petits soucis: "En 2008, j'étais arrivé mentalement vidé après avoir gagné Roland-Garros, Wimbledon, Toronto et les JO. En 2009, j'étais arrivé diminué physiquement par une déchirure abdominale qui s'étirait un peu plus à chaque match." (belga)

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Nadal, une question de surface

Le 29/08/2010 à 21:19

Rafael Nadal part à la conquête du seul titre du Grand Chelem qui manque à son palmarès. L'Espagnol doit dompter la surface peu propice à son jeu.


Rafael Nadal estime être mieux physiquement que l'été dernier.(REUT)

Il ne lui en manque qu'un. L'US Open et Rafael Nadal, c'est une histoire compliquée. En sept participations, l'Espagnol n'a jamais atteint la finale et reste sur deux demi-finales. Il se casse les dents sur la "grosse pomme". Pourquoi ? A la City, on assemble les effets conjoncturels et structurels pour comprendre la déflation nadalesque à Flushing Meadows.

«J'arrive un peu mieux que les autres saisons», dit Rafael Nadal, poussé par son corps vers la sortie l'année dernière.

Ces deux dernières années, les raisons conjoncturelles expliquent ses mésaventures. En 2008, il a péché par «manque de fraîcheur mentale» et était «trop fatigué pour gagner le tournoi». En 2009, son corps lui a montré la sortie. Blessé au genou tout l'été, le numéro 1 mondial est arrivé à New York avec une déchirure aux abdominaux. Et cette année ? «J'arrive un peu mieux que les autres saisons, mais j'ai atteint deux demi-finales les deux dernières années et ce n'était pas un mauvais résultat», souligne le Majorquin qui a retrouvé son oncle Toni sur les courts de l'US Open.

«Mon lift n'a pas la même efficacité»

Sans blessure et avec la tête libérée, a-t-il les armes pour remporter le seul Grand Chelem qui manque à son palmarès ? A Toronto et à Cincinnati, Rafael Nadal a montré des failles. Son revers le contrarie et sa régularité varie. Pourquoi ? La rapidité de la surface donne un aperçu de l'équation à résoudre. Selon Roger Federer, l'US Open propose la surface la plus rapide des Grands Chelems. Mais Rafael Nadal n'est pas d'accord avec son collègue de travail. Wimbledon tient la corde et son problème new-yorkais trouve sa source ailleurs.

Son style de jeu ne s'adapte pas bien à la surface qui absorbe les effets dévastateurs de son lift. «Le rebond est plus bas et la balle est plus molle. Mon lift n'a pas la même efficacité. Je trouve également qu'il y a toujours beaucoup de vent sur le central. Plus qu'ailleurs, explique l'Espagnol. Quand je joue contre le vent, j'ai tendance à jouer plus court.» Mais Rafael Nadal ne se cherche pas d'excuses, il veut s'adapter. Alors il s'entraîne deux heures tous les jours et apprivoise les conditions. Il reste fidèle à ses convictions et à sa ligne de conduite. Seul le présent l'intéresse et la prise de tête n'appartient pas à son vocabulaire : «J'espère bien jouer et avoir une chance de gagner, mais ce n'est pas une obsession.» - Sophie DORGAN, à New York

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US Open Nadal "dans de parfaites dispositions"

Le 29/08/2010 - 22:31

Nadal dans de parfaites dispositionsSeul titre du Grand Chelem manquant à son palmarès, l'US Open est un objectif majeur pour Rafael Nadal qui se dit plus fort que les années précédentes à l'heure de débuter sur le ciment de Flushing Meadows. "Mentalement, je suis dans de parfaites dispositions", juge le Majorquin. "De manière générale, je me présente ici un peu mieux que les années précédentes. Mais j'ai atteint les demi-finales lors des deux dernières éditions. Ce n'était donc pas un mauvais résultat, j'étais bien là", corrige l'homme aux huit titres du Grand Chelem, dont cinq Roland-Garros. "J'espère avoir cette fois plus de chances de gagner ici mais ce n'est pas une obsession." Rafael Nadal n'a jamais atteint la finale sur le court Arthur Ashe, étant battu ces deux dernières années en demi-finales par Andy Murray et Juan Martin Del Potro.

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REPORTAJE: Abierto de Estados Unidos
La montaña de Nueva York


Rafael Nadal, el sábado pasado, en un partido de exhibición.- AP

Nadal busca el único torneo 'grande' que no ha ganado en la pista que más dificultades le supone, marcada por el viento, los botes bajos y las pelotas Wilson.

JUAN JOSÉ MATEO - Nueva York - 30/08/2010

"Y esa pelota... ¿De qué tipo era, Rafael?".

La pregunta de Toni Nadal, tío y entrenador del número uno del tenis mundial, encierra mucho más que el interés por una marca. Esconde un planteamiento profesional. Guarece una chispa con la que espolear el ánimo de su pupilo. Y cobija además una de las razones por las que el mejor jugador del planeta, ganador de ocho títulos del Grand Slam, no ha jugado nunca la final del Abierto de Estados Unidos, que arranca hoy. Están las pelotas y la pista, están el viento y las distancias y están también la confianza en uno mismo; los rivales, por supuesto, y la agitación, the buzz que dicen los estadounidenses, de la vida neoyorquina.

Finales de 2005. "Es difícil jugar aquí, es extraño. La pelota no me coge el efecto", se queja Rafael Nadal, que se marcha de Nueva York derrotado en la tercera ronda. El español se dirige inmediatamente a Pekín, donde gana el torneo, que también se disputa sobre pista dura. Tras levantar el trofeo, habla con su tío. Recibe una felicitación y escucha una ironía provocadora: "Y esa pelota con la que has ganado en Pekín... ¿De qué tipo era, Rafael?". Una Wilson, dice sin palabras. La misma que en Nueva York. Un elemento más en el listado de retos a los que se enfrenta en la Gran Manzana un Nadal que busca y rebusca buenas sensaciones durante entrenamientos extenuantes de dos horas y cuarto de duración.

"Técnicamente", explica el número uno, negro como un tizón, "esta es la pista más difícil para mí". "De entre todas las pistas duras, es en la que la pelota salta menos y se queda más enganchada en la raqueta. No me coge el top-spin", prosigue. "Luego, es la pista central de los torneos del Grand Slam en la que hace más viento. Es tan grande y está tan abierta que hay un viento extraño, como remolinos que van siempre hacia un lado", añade; "en esos momentos parece que no movieras la pelota. Hay que aprender a jugar aquí, acostumbrarse a vivir con la situación del viento y a que las pelotas se queden más pegadas a la raqueta de lo habitual. No es fácil jugar aquí. Para mí, es la central en la que me es más difícil jugar".

¿Qué piensa de eso Toni Nadal? "Que le va mejor una pelota más viva, no tan pesada. Que, en cualquier caso, es una cosa que no notas tanto si estás jugando bien y que notas mucho más si estás jugando mal. Y que Rafael no está jugando muy bien y por eso todo le parece una montaña más grande".

Pega el sol entre el ruido de los taladros y Nadal se entrena. Brad Gilbert, ex entrenador de Andre Agassi, Andy Roddick y Andy Murray, le observa tras unas gafas oscuras. "¡Qué botes, Rafa!", le dice; "este año siguen bajos y, de repente, boom, sale uno alto".

Para el mallorquín no es una cuestión menor. Nadal ha jugado y perdido dos semifinales en Nueva York, el único campeonato grande que le falta. Siempre las disputó en extrañas circunstancias: en 2008, contra el británico Murray, bajo un huracán. En 2009, contra el argentino Del Potro, con una rotura abdominal de un centímetro. Ahora, en 2010, sabe que llega proponiéndose un imposible. Firmar la temporada más completa de la historia de su deporte. Ganar de forma consecutiva Roland Garros, Wimbledon y el Abierto de Estados Unidos. Convertirse en el primer tenista que logra ganar los tres el mismo año, sin sentir sobre sus articulaciones y sus movimientos el cambio radical de la tierra a la hierba y al cemento. Ser, con apenas 24 años de edad, el más joven en completar el Grand Slam.

"No está haciendo mal muchas cosas", resume Roger Federer; "simplemente, en pista dura, Nadal es más volátil. Tiene más rivales y se le hacen duros los siete partidos".

Nadal debutará probablemente mañana contra el ruso Gabashvili. Ahí empieza el baile de horarios: un día al calor del mediodía, al siguiente bajo el frío y los focos de la noche. A él, sin embargo, le da igual: "No hay problema. Me gusta la ciudad, me gusta el torneo, me gustan los retos, me gusta intentar superar las cosas difíciles". Nadal, en estado puro.

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Nadal en trois manches face à Gabashvili

01/09/2010 - 07:10

Trois sets, dont deux au tie-break, auront suffi à Rafael Nadal pour réussir son entrée dans l'US Open, l'Espagnol s'étant débarrassé du Russe Teymuraz Gabashvili (7-6, 7-6, 6-3). Au prochain tour, l'Espagnol tête de série n°1, toujours à la recherche d'un premier titre sur les courts new-yorkais, sera opposé à un autre joueur de l'ancien bloc soviétique, l'Ouzbek Denis Istomin.

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Nadal a souffert

1/09 06h15 - Tennis, US Open

Rafael Nadal a bataillé pour se défaire du Russe Teymuraz Gabashvili (7/6 7/6 6/3).

S’il s’est qualifié pour le deuxième tour de l’US Open, Rafael Nadal a dû batailler plus longtemps que prévu face au modeste Teymuraz Gabashvili (7/6 7/6 6/3). Ça passe également pour Fernando Verdasco, David Nalbandian et Florent Serra. Le Bordelais a pris le dessus sur Florian Mayer (7/5 6/2 6/0).

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Nadal au diesel

Le 01/09/2010 à 07:00

Pour son entrée en lice à Flushing Meadows, dans la nuit de mardi à mercredi, Rafael Nadal a souffert pour venir à bout du Russe Teymuraz Gabashvili (7-6[4], 7-6[4], 6-3).


Rafael Nadal un peu soulagé : il a dû disputer deux tie-breaks pour franchir l'obstacle du premier tour.(REUT)

«Quand un moins bien classé joue contre vous, il n'a rien à perdre». Et il se bat donc souvent comme un lion. Ces propos de Rafael Nadal sont venus illustrer les difficultés de l'Espagnol à se défaire de Teymuraz Gabashvili, vaillant combattant et bien décidé à stopper de manière précoce la quête du n°1 mondial à Flushing Meadows. En fait, le Russe n'a cédé qu'avec la fatigue, lors du troisième set, après avoir manqué de peu de prendre les devants au tableau d'affichage.

Pour mérite, Gabashvili a eu de ne jamais lâcher sa mise en jeu malgré la qualité de relance de Nadal, certes mise à l'épreuve par une surface moins adaptée à ses effets de raquette. Mais le Russe n'est jamais parvenu non plus à s'emparer du service adverse. L'expérience, mais aussi le talent, ont fait la différence dans les deux tie-breaks que se sont livré les joueurs. D'autant que l'Espagnol a «beaucoup travaillé son service», qu'il considère comme l'un de ses points faibles. Cela n'a pas été le cas mardi soir.

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Nadal en douceur

Créé le 01/09/2010 à 08:35 Par A.C.
De Sports.fr

Têtes de série n°1 des tableaux masculin et féminin, Rafael Nadal et Caroline Wozniacki ont réussi leur entrée dans l'US Open mardi, le premier en sortant en trois manches le Russe Teymuraz Gabashvili (7-6, 7-6, 6-3), la seconde en ne lâchant que deux jeux contre l'Américaine Chelsey Gullickson (6-1, 6-1). Côté français, à noter la qualification de Florent Serra qui défiera David Nalbandian et l'élimination d'Alizé Cornet, victime de l'Estonienne Kaia Kanepi (3-6, 6-1, 6-0).


Nadal a été inquiété deux sets par Gabashvili (Reuters).

1h47 de jeu, trois manches dont deux conclues au tie-break (sur un score identique de 7-4), Rafael Nadal a eu le droit à une mise en jambes sérieuse mardi soir sur le court Arthur-Ashe qui ne lui fera que confirmer l'ampleur de la tâche qui l'attend s'il veut parvenir à remporter l'US Open pour la première fois de sa carrière. Opposé au Russe Teymuraz Gabashvili, 88e joueur mondial, l'Espagnol, s'il a logiquement franchi le cap, a reconnu n'avoir pas encore atteint les sommets du jeu face à un adversaire qui n'avait rien à perdre.

"C'est toujours difficile de jouer un premier tour comme tu joues une finale, parce que tu n'as pas la confiance que te donne tout le tournoi lorsque tu atteins une finale. Je connais très bien Gabashvili, on sait qu'il va jouer de façon agressive, donc je me suis d'abord concentré sur mon service en me disant que j'aurai des chances à certains moments en retour." C'est exactement ce qu'il s'est passé puisque face à un serveur du calibre du Russe, le n°1 mondial a dû attendre le troisième set pour réussir à faire un break après deux premières manches achevées au tie-break. Les occasions n'ont pourtant pas manqué lors de ces deux sets initiaux, mais de l'aveu même de l'intéressé, il a alors commis "quelques fautes horribles." Heureusement pour lui, il a "bien joué ces deux tie-breaks, ce qui est important pour la confiance" avant de se détacher dans la troisième manche pour finir sur un double break (6-3).

Rafael Nadal, qui jouera l'Ouzbek Denis Istomin au deuxième tour, a donc encore une belle marge de progression pour espérer aller jusqu'au bout, notamment au niveau des sensations avec une balle new-yorkaise qu'il reconnaît avoir du mal à dompter: "C'est le tournoi le plus difficile pour moi, particulièrement à cause des balles. La balle est plus facile à jouer pour les joueurs qui jouent à plat. Mais j'ai gagné les Jeux olympiques avec cette balle, j'ai aussi gagné à Pékin en 2005 avec cette balle, donc je peux le faire."

sports.fr
http://www.sports.fr/cmc/tennis/201035/nadal-et-wozniacki-en-douceur_303279.html

Nadal prend son temps



Mercredi 1 septembre 2010 - 8:47

L'Espagnol Rafael Nadal passe son premier obstacle à l'US Open, le seul titre du Grand Chelem qui lui manque, en battant le Russe Teymuraz Gabashvili en trois sets, mais avec deux jeux décisifs. Le N.1 mondial s'est imposé 7-6 (7/4), 7-6 (7/4), 6-3 en près de trois heures face au 93e mondial.

Rafael Nadal, qui inaugurait une nouvelle tenue, toute noire avec une touche de jaune fluo, a mis plus d'une heure à remporter chacun des deux premiers sets, ne parvenant pas à faire le break (2 balles concrétisées sur 10). Il a toutefois parfaitement géré les deux jeux décisifs, comme durant toute la saison (15 gagnés pour 6 perdus), faisant le mini break très rapidement.

Dans la dernière manche, il est enfin parvenu à faire le break à 3-3, à sa 8e balle de break, pour ensuite empocher les deux jeux suivants et le match.

"J'ai bien servi, s'est félicité le Majorquin.

J'espère que ça va continuer comme ça. Le service n'est pas mon meilleur coup mais je sais que si je veux avoir une chance de gagner ce tournoi, il faudra que je serve bien."

Nadal a pris le temps de féliciter son adversaire, qui lui a offert une belle opposition (49 coups gagnants, contre 30 à Nadal) mais n'a pas toujours réussi à garder son sérieux sur les points importants.

"Aucun match n'est facile en Grand Chelem, la pression est là, a ajouté l'Espagnol. J'ai eu un match difficile mais j'ai bien joué. J'ai bien servi, mon coup droit marche bien et mon revers va mieux que ces dernières semaines. Je sers plus fort ici car les balles sont plus molles et comme mon +topspin+ ne marche pas aussi bien qu'ailleurs, je frappe plus à plat."

Au prochain tour, Nadal affrontera l'Ouzbek Denis Istomin au 2e tour. En cas de victoire à New York le 12 septembre, Nadal deviendrait le 7e joueur de l'histoire à accomplir le Grand Chelem en carrière et le plus jeune à le faire (24 ans). L'Espagnol, vainqueur cette saison de Roland Garros et de Wimbledon, reste sur deux demi-finales sur les courts en ciment de Flushing Meadows.

sport.fr
http://www.sport.fr/tennis/us-open-nadal-prend-son-temps-195935.shtm

US Open (H) : Nadal dans la douleur


© panoramic

Rédaction Sport365
mercredi 01 septembre 2010 - 08h35

Rafael Nadal a obtenu mercredi son billet pour le deuxième tour de l'US Open en disposant du Russe Gabashvili en trois sets mais à l'issue d'un match très disputé (7-6, 7-6, 6-3). David Ferrer (n°10) et David Nalbandian (n°31) sont également qualfiés.

www.sport365.fr

US Open: Rafael Nadal à la force du poignet

Rafael Nadal a su être décisif au bon moment pour battre le Russe Teymuraz Gabashvili en trois sets et franchir le premier tour de l'US Open, seul tournoi du Grand chelem qui manque encore à son palmarès. Le numéro un mondial s'est imposé 7-6 7-6 6-3. /Photo prise le 31 août 2010/REUTERS/Shannon Stapleton (c) Reuters Rafael Nadal a su être décisif au bon moment pour battre le Russe Teymuraz Gabashvili en trois sets et franchir le premier tour de l'US Open, seul tournoi du Grand chelem qui manque encore à son palmarès. Le numéro un mondial s'est imposé 7-6 7-6 6-3.

par Julian Linden

Le numéro un mondial, donné cette année favori par les spécialistes, s'est imposé 7-6 7-6 6-3 à l'issue d'une rencontre disputée, son adversaire lui rendant coup pour coup, notamment lors des deux premières manches.

Mais l'Espagnol a à chaque fois fait valoir sa maturité en remportant les points importants lors des tie-breaks. "Quand on joue un adversaire mal classé, celui-ci n'a rien à perdre alors il se montre très agressif. Ce fut donc un match difficile, mais j'estime avoir bien joué", a-t-il dit.

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/sport/20100901.REU8040/us-open-rafael-nadal-a-la-force-du-poignet.html

US Open de tennis: Un Rafael Nadal appliqué passe son premier obstacle

De Benoît PETIT (AFP)

NEW YORK — L'Espagnol Rafael Nadal a passé son premier obstacle à l'US Open, le seul titre du Grand Chelem qui lui manque, en battant mardi le Russe Teymuraz Gabashvili en trois sets, dont deux jeux décisifs.

Le N.1 mondial, qui s'est imposé 7-6 (7/4), 7-6 (7/4), 6-3 en près de trois heures face au 93e mondial, affrontera l'Ouzbek Denis Istomin au 2e tour.

Après deux jeux décisifs parfaitement maîtrisés, grâce à des mini-break rapides, Nadal a pris le service adverse à 3-3 dans le dernier set, sur sa 8e balle de break, pour se mettre définitivement sur la voie du succès.

"J'ai bien servi, s'est félicité le Majorquin. J'espère que ça va continuer comme ça. Le service n'est pas mon meilleur coup mais je sais que si je veux avoir une chance de gagner ce tournoi, il faut que je serve bien."

"Aucun match n'est facile en Grand Chelem, la pression est là, a ajouté l'Espagnol. J'ai eu un match difficile mais j'ai bien joué. Mon coup droit marche bien et mon revers va mieux que ces dernières semaines."

Avec une victoire en finale le 12 septembre, Nadal deviendrait le plus jeune joueur de l'histoire à faire le Grand Chelem en carrière (24 ans).

AFP

An interview with Rafael Nadal

Tuesday, August 31, 2010

THE MODERATOR: Questions, please.

Q. Do you prefer to have a night like tonight to start a tournament: a very difficult match to get under your belt? Or would you rather play for an hour and 10 minutes and get it over with?

RAFAEL NADAL: I prefer play one hour and 10 minutes. Win easier, no? Everybody wants win easier. That's no excuse about that, no?

I think that no one wins easy, no? Roger did last night. Djokovic, very tough match today. Soderling five sets win yesterday.

So no one match is easy, especially in a big tournaments, no? The pressure's there. You play against players that they don't have much to lose, so they play aggressive. This is difficult to stop.

I had a difficult match, but I think I did play well.

Q. Did you feel like you played well other than the serve? Were you happy with all the parts of your game?

RAFAEL NADAL: Well, my serve worked very well tonight. There have been a few aspects. The concentration was high all the time. The forehand is working well. The backhand is not that bad that I had last weeks. So improves a little bit. Just remains a little bit of this confidence to have a little bit more, you know, to improve a little bit that level, to go to the next step.

That's the only thing for me, to remain, to play with a little bit more aggressive, a little bit more calm. The basic things I think are in the really right way.

Q. You said on court you know you have to serve well to win here. Have you been working on that a lot this summer?

RAFAEL NADAL: All my life I worked a lot on my serve (smiling). Not this summer, no; all my life.

Q. When you go out in a first‑round match against a guy who could be dangerous, do you say, I don't want to play too crazy because maybe I can get into a bad situation, so maybe I'll play a little more safe and see what happens?

RAFAEL NADAL: No, is difficult go first round and play crazy and play aggressive and play like if you are playing the final, no, because you need this confidence during all the tournament to play like you do in one final, no?

So you go on court. I know Gabashvili very well. You go on court knowing he gonna play aggressive. He gonna go for the big shots. So I just tried before the match to think that I have to play regular all the time. I have to be very focused on my serve and I gonna have chances on the return in a few moments, no?

If I gonna be well with my serve, on the return for sure I gonna have my chances. I had, and I had a few terrible mistakes with the breakpoints. So I went for two tiebreaks. Is important for the confidence. I played well the two tiebreaks, I think.

Q. You were hitting 130 miles an hour on your serve. Is there a change on your serve, or it had to do with the conditions or what?

RAFAEL NADAL: And wait. Wait for the next one, I going for 135 (smiling).

No, I am trying to serve a little bit more like Wimbledon because the ball here is very soft. Is not getting a lot of topspin. I try to play a little bit more flat. And for that reason, I am serving faster, I think. That's it.

Q. Talk about playing Istomin. He's played pretty well the last few weeks.

RAFAEL NADAL: Yeah, he's playing well. He had a very good tournament in New Haven. Yeah, sure is difficult opponent, good player. I played against him in the second round of Queen's. I had a very difficult match, 7‑6 in the third ‑‑ 7‑5 in the third.

Well, is really close than the match of today, I think. But he plays a little bit more calm than Gabashvili. So, I don't know, I just have to keep playing like I did today, a little bit more aggressive, a little bit more confidence. That's it.

Q. Are you as comfortable at this Grand Slam as you are at the others?

RAFAEL NADAL: Is the more difficult for me, especially I think because the ball. The ball is the more difficult thing for me because the ball I think is more easy to play that ball for the players when they have the flat shots, no? That's much easier for them than for the topspin players. That's the only thing.

But I won Olympics with this ball. I won in Beijing in 2005 with this ball. I can do it.

Q. You're about ready to unveil your new, big, flat forehand?

RAFAEL NADAL: That's almost impossible. The thing is play with topspin, but play very aggressive all the time, play with very high rhythm. That's the way.

Q. There's a doubles player here who is playing with a two‑handled racquet.

RAFAEL NADAL: I met him.

Q. Does that strike you as crazy?

RAFAEL NADAL: For me, yes (smiling). For me, yes. For me is no reason to play like this, yeah. Is add the complication on the game, you know.

site officiel
http://www.usopen.org/en_US/news/interviews/2010-08-31/201009011283316427297.html

US Open > SH - Nadal assure

Par Vincent Esse, mercredi 01 septembre 2010 à 07:30

Rafael Nadal n'est pas tombé dans le piège Teymuraz Gabashvili, qu'il domine 7-6 7-6 6-3 en presque trois heures tout de même. Le Majorquin n'a eu à sauver qu'une balle de break et a converti deux de ses dix occasions sur la mise en jeu de son adversaire, se montrant assez efficace au filet avec 15 montées réussies sur un total de 19. Nadal a réussi un point gagnant de plus que les fautes commises (30 pour 29), et affrontera au prochain tour le récent finaliste à New Haven, Denis Istomin, qui lui avait pris un set au Queen's.

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Rafael Nadal > "Les fondamentaux de mon jeu sont là"

Par Vincent Esse, mercredi 01 septembre 2010 à 12:34

Rafael Nadal, solide vainqueur de Teymuraz Gabashvili, s'est montré plutôt satisfait du niveau affiché : "Mon service a très bien fonctionné, j'étais bien concentré, le coup droit marche bien, le revers est pas mal par rapport aux précédentes semaines, je m'améliore, ne manque plus qu'un peu de confiance, d'agressivité et de sérénité, mais les fondamentaux sont là".

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