NYC, Get ready for Rafa

August 21.2010, Cincinnati, U.S.A

After two weeks of hard work, long matches and lots of training, Rafa Nadal will stay in Cincinnati for one more day to rest before he travels to New York on Sunday to prepare for his US Open campaign.

On Wednesday, August 25th, Rafa will be in Manhattan to promote Nike's 'Primetime Knockout Event' and as usual, Nike Tennis will light up New York City with an action-packed, star-studded show. They will pair-up biggest names in tennis with the hottest celebrities in entertainment for head-to-head doubles live from Pier 54 starting at 7PM EST.

Aside from Rafa, the event will also feature, Serena Williams, Roger Federer, Maria Sharapova, Victoria Azarenka, John McEnroe, Madison Keys and more.

On Saturday, Rafa, Roger Federer, Andy Roddick, Novak Djokovic, reigning US Open champion Kim Clijsters and wheelchair tennis superstar Esther Vergeer will all play together at 'Arthur Ashe Kid's Day' (A popular tennis and music festival, which includes interactive games, musical entertainment and tennis clinics) for some fun and laughter before the tournament starts.

Vamos Rafa!

www.rafaelnadal.com

Nadal: «Mi juego debe mejorar si quiero tener alguna oportunidad en Nueva York»

Europa Press | Cincinnati | 21/08/2010

El tenista español y número uno del mundo, Rafael Nadal, se ha mostrado contrariado tras su derrota (6-4, 4-6 y 6-4) ante el chipriota Marcos Baghdatis en los cuartos de final del Masters 1.000 de Cincinnati y destacó que su «juego debe mejorar» si quiere tener «alguna oportunidad en Nueva York».

«Mi juego puede mejorar, eso seguro. Debe mejorar si realmente quiero tener alguna oportunidad deentro de una semana en Nueva York. Tengo una semana para continuar trabajando, continuar practicando duro y eso es lo que voy a intentar. Intentar mejorar mi confianza con el revés», indicó el tenista español.

El número 1 del mundo destacó que si mejora su revés todo su juego lo hará. «Mi movimiento va a mejorar mucho, porque no tendré que cubrir el revés con la derecha, por lo que cubriré las posiciones mejor en la pista», apuntó.

«También podré realizar mi primer servicio más calmado porque si lo pierdo, y me responden el resto no tendré tanto problema para jugar con el revés», añadió el mallorquín.

Además, el tenista español, destacó que en el partido ante Baghdatis cuando el chipriota hacía «un buen resto al revés» él siempre «empezaba el punto en una posición muy mala», y tuvo que «hacer muchos ajuste para asegurar el golpeo».

Por último, como nota positiva del partido indicó que ha empezado «a jugar con la derecha con más confianza», factor que es «muy positivo» para el jugador español.

SOURCE

ATP : Nadal veut s'améliorer


© panoramic

Rédaction Sport365
dimanche 22 août 2010 - 13h55

Rafael Nadal a été très critique envers son jeu et son niveau au cours du Masters 1000 de Cincinnati. « Je dois m'améliorer pour espérer gagner l'US Open » a-t-il déclaré à la presse espagnole.

Rafael Nadal a pour objectif cette saison de remporter le seul tournoi du Grand Chelem qui manque à son palmarès : l'US Open. A moins d'une semaine du début du tournoi new-yorkais, Nadal est conscient de son niveau actuel sur surface dure : « Si je veux avoir une chance de remporter l'US Open, mon tennis doit s'améliorer » a-t-il déclaré à AS. Selon lui, le problème se situe au niveau de son revers : « je dois améliorer mon revers pour mieux couvrir le court sur surface dure ». Il ne reste plus qu'une semaine d'entraînement au n°1 mondial pour « s'améliorer ».

www.sport365.fr

Nadal : “Si je ne m’améliore pas, je n’ai aucune chance à l’US Open”

(22/08/2010)


© AP

CINCINNATI Rafael Nadal (ATP 1) a lui aussi des soucis à l’approche de l’US Open. L’Espagnol n’est pas blessé, mais il ne joue pas bien au tennis depuis la reprise. Balayé par Andy Murray (ATP 4) en demi-finale à Toronto, la semaine passée, le vainqueur de Roland-Garros et de Wimbledon a cette fois subi la loi de Marcos Baghdatis (ATP 20) en quart de finale à Cincinnati. Il s’est incliné 6-4, 4-6, 6-4 dans un match où il a commis plus de 40 fautes directes pour manquer ses retrouvailles avec Roger Federer (ATP 2). “Si je n’améliore pas mon jeu rapidement, je n’ai aucune chance à l’US Open”, confia-t-il, déçu à l’issue de la défaite. “Je vais devoir travailler dur les prochains jours. Mon revers doit surtout devenir plus solide. À l’heure actuelle, c’est à pleurer. Mais bon, cela peut aller vite. J’ai quand même réussi à changer la dynamique du jeu en revenant à un set partout. Et à la fin, je servais mieux et j’étais meilleur en coup droit. Je dois aussi reconnaître qu’il a très bien joué. Il a super bien servi. Je suis content pour lui, c’est quelqu’un de bien. Il a eu des blessures, mais il revient bien. Le point positif, c’est que j’ai tout de même mieux terminé le tournoi que je ne l’avais commencé…”

SOURCE

Masters Cincinnati - Nadal : "Nous verrons ça dans deux semaines"



Après Toronto, Rafael Nadal a montré à Cincinnati de nouvelles difficultés qui lui ont coûté cher face à Marcos Baghdatis en quarts. Pas de quoi s'alarmer pour le N.1 mondial qui analyse parfaitement ce qu'il s'est passé. Il lui reste une semaine pour corriger cela avant que l'US Open ne débute.

"Beaucoup de gens, moi compris, sont persuadés que sa meilleure chance de remporter l’Open, c’est aujourd’hui", affirme un John McEnroe élogieux. "Pourquoi est-il N.1 ? Parce qu'il volleye mieux, mieux même que Federer aujourd’hui. Il a aussi amélioré son service. Il a pris les mesures qui s’imposaient pour devenir un meilleur joueur. Alors oui, je pense que Rafael Nadal peut remporter l'US Open." Cela intéressera sûrement le Majorquin de savoir qu'un quadruple vainqueur de Flushing Meadows pense cela de lui. Pourtant, stoppé en demi-finale à Toronto la semaine dernière et en quart de finale de Cincinnati, difficile d'affirmer que l'Espagnol est dans les meilleures dispositions pour décrocher son 9e titre du Grand Chelem à New York. Celui-là même qui lui manque à son palmarès déjà impressionnant du haut de ses 24 ans.

Il faut dire que sa défaite face à Marcos Baghdatis à Cincinnati, qui faisait suite à un dur combat gagné face à Julien Benneteau au tour précédent, n'a pas rassuré les observateurs. Pour l'anecdote, le Chypriote a même empêché Nadal d'atteindre pour la dixième fois d'affilée le dernier carré d'un Masters 1000, ce qui aurait été un record. "Je dois m'améliorer si je vais avoir une chance dans une semaine ou deux à l'US Open, a constaté un N.1 mondial lucide. Il faut que j'améliore ma confiance en mon revers et mon service." Sans doute fait-il mention de sa double faute sur une balle de break dans le dernier set face à Baghdatis... Du pain béni pour le Chypriote qui a précipité sa première victoire sur l'Espagnol après six défaites. "J'ai certes fait trop de fautes directes (41 en tout, NDLR), en coup droit surtout, mais ce n'est pas le coup droit mon problème, c'est le revers". Un aveu aussi sincère que terrible, cette arme étant presque plus essentielle sur le ciment que sur les autres surfaces.

De là à s'alarmer ? Ce serait mal connaître Nadal. "La chose positive est que je termine le tournoi mieux que je ne l'ai commencé. Autre chose, je ne jouais pas bien au début et j'ai quand même réussi à changer la dynamique du jeu en revenant au score (un set partout). A la fin, je servais mieux et j'étais mieux en coup droit. La clé, ça a été quand il y avait 4-4 dans la dernière manche et 30-0 pour moi sur son service, là j'ai manqué deux retours faciles sur second service alors que j'avais le match à ma portée." Le problème est-il mental alors ? "Non, précise-t-il. Mon jeu peut s'améliorer. J'ai une semaine pour travailler dur pour y arriver. Je sais que je peux le faire. Je vais prendre déjà quelques jours de repos. Nous verrons cela dans deux semaines." Et ce n'est pas John McEnroe qui dira le contraire.

yahoo.fr
http://fr.sports.yahoo.com/22082010/70/masters-cincinnati-nadal-nous-verrons-ca-dans-deux-semaines.html

US Open > Nadal peut-il le faire ?

Par Vincent Esse, lundi 23 août 2010 à 15:52



Après Wimbledon, les plus grands experts du tennis parmi lesquels John McEnroe s'accordaient à dire que 2010 était l'année où jamais pour voir Rafael Nadal remporter l'US Open, seul tournoi du Grand Chelem qui manque à son palmarès. Premiers enseignements de la tournée américaine pré-Flushing Meadows : si le jeune numéro un mondial aura sans doute de nombreuses occasions de briller jusqu'au bout à New York, sa cote est sérieusement retombée après les deux masters 1000 sur dur.

"Nadal veut tellement gagner l'US Open. Ce serait dur de ne pas en faire un favori cette année bien qu'il ne l'ait jamais gagné. Ce gars est un animal ; mentalement et physiquement il est incroyable, s'il est en forme il peut y arriver. Les conditions à New York ne sont pas idéales pour Nadal, il faut que physiquement il tienne le coup. Je pense qu'après Wimbledon il va prendre du repos, soigner un peu ses genoux et ne pas trop disputer de matches avant l'US". Tels étaient les propos de John McEnroe après le succès de Rafael Nadal à Wimbledon. "Je dois progresser si je veux vraiment avoir une chance d'ici une semaine à New York. J'ai une semaine pour continuer à travailler, continuer à m'entraîner dur. Je vais aussi tenter de prendre plus de confiance avec mon revers", voici la déclaration de Rafael Nadal après sa déconvenue contre Baghdatis à Cincinnati. Ceux qui ont vu le match en question savent que ce n'est pas ici le Nadal perfectionniste qui s'est exprimé, mais bien un joueur lucide quant à ses lacunes dans le jeu sur dur : un revers trop tendre et une quantité de fautes inhabituelles pourraient bien empêcher le Majorquin d'enfin accrocher l'US Open à son tableau de chasse.

Rafael Nadal, qui reste sur deux demi-finales de rang à l'US Open, devrait cette année encore avoir bien du mal à dépasser ce stade. De favori numéro un après Wimbledon, le Majorquin est clairement passé au statut de valeur sûre à surveiller, mais derrière Roger Federer et Andy Murray. Ceci dit, le numéro un mondial pourrait bien profiter de la première semaine pour se roder et monter en puissance vers les quarts de finale, ce dont on le sait capable ... à moins qu'un certain Nalbi, ou même son récent bourreau Baggy, ne vienne faire barrage à sa progression !

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Nadal n'a pas le niveau

Créé le 23/08/2010 à 13:00
Par Régis AUMONT
De Sports.fr

Propulsé comme le favori de l'US Open par certains observateurs, John McEnroe en tête, Rafael Nadal n'a pas convaincu lors des deux Masters 1000 de préparation. Demi-finaliste à Toronto puis quart-de-finaliste à Cincinnati, l'Espagnol n'a battu que des joueurs de seconde zone avant de buter sur Murray au Canada et Baghdatis dans l'Ohio. Conscient de ses manques, le n°1 mondial ne se fait pas d'illusion avant la dernière levée du Grand Chelem de la saison s'il ne s'améliore pas.


Rafael Nadal n'est pas satisfait de son revers. (Reuters)

On peut être le meilleur joueur du monde et se trouver pas bon. C'est le cas actuellement de Rafael Nadal qui, dans les colonnes du quotidien As, a confié ses doutes à l'issue des deux Masters 1000 nord-américains de l'été. "Si je veux avoir une chance de remporter l'US Open, mon tennis doit s'améliorer", annonce sans détour l'Espagnol, éliminé la semaine passée en quarts de finale à Cincinnati par Baghdatis (6-4, 4-6, 6-4). A Toronto, quelques jours plus tôt, Murray n'avait pas eu à trop batailler pour battre le n°1 mondial en demi-finales (6-4, 6-3). Pas de bon augure à une semaine de l'US Open, la seule levée du Grand Chelem qui manque encore à son déjà immense palmarès.

"L'US Open sera bien évidemment l'un de mes principaux objectifs pour le reste de ma carrière", avait révélé Nadal le soir de son deuxième sacre à Wimbledon en juillet dernier. Mais sur ce qu'il a montré lors de ses tournois de préparation sur ciment, on serait tenté de dire, au risque de se tromper, que ce ne sera certainement pas pour cette année. John McEnroe, consultant pour la chaîne américaine CBS, pense le contraire. "Beaucoup de gens, moi compris, sont persuadés que sa meilleure chance de remporter l'Open, c'est aujourd'hui", explique l'Américain en s'appuyant notamment sur ses progrès réalisés à la volée: "Il volleye mieux, mieux même que Federer aujourd'hui." Là aussi, nos avis divergent.

"Il me reste une semaine pour retrouver confiance en mon revers "

Pour espérer être sacré roi de New York dans trois semaines, Nadal, dont la meilleure performance sur les courts de Flushing Meadows demeure une demi-finale atteinte ces deux dernières années, devra donc mieux jouer qu'à Toronto et Cincinnati. Il y a battu Wawrinka, Anderson, Kohlschreiber, Dent et Benneteau, de bons joueurs mais aucun du top niveau mondial. Et dans l'ensemble, ses matches ont mis en lumière ses difficultés à jouer long et à trouver de la régularité côté revers. "Si j'arrive à rendre mon revers meilleur, je couvrirais mieux le court et je n'aurais pas à autant me décaler en coup droit, explique le Majorquin. Il me reste une semaine pour travailler et retrouver confiance en mon revers."

Meilleur joueur du monde sur terre battue et peut-être aussi sur le gazon d'aujourd'hui, Nadal n'a pas encore trouvé la clé pour asseoir sa domination sur le dur. Lauréat de l'Open d'Australie en 2009 et vainqueur en 2008 de son seul Masters 1000 de la tournée estivale américaine (à Toronto), l'Espagnol n'a pas donné autant de garanties cette année sur sa surface «faible». Oui, à 24 ans, "Rafa" a encore quelques progrès à faire. Et c'est plutôt rassurant.

sports.fr
http://www.sports.fr/cmc/tennis/201034/nadal-n-a-pas-le-niveau_301522.html

Nadal minimiza la importancia de señalamientos de entrenador


23/08/10 10:24 | Abraham Campos

Nadal minimiza la importancia de señalamientos de entrenador Rafael Nadal se está tomando unos días de descanso después de su eliminación en Cincinnati, además de prepararse para iniciar su participación en el US Open dentro de unos días.

El español No. 1 del mundo no toma una raqueta hasta unos días antes de viajar a New York. Allá entonces se encontrará con su entrenador de toda la vida, el tío Toni Nadal, quien prefiere tomarse unos días cuando su sobrino participa en los eventos de la gira por Norteamérica.

El ex jugador español Francesco Roig siempre llena ese vacío, lo que está bien por Nadal. "Tendré tres días para entrenar en New York, entrenaré con Francesco y Toni arribará el miércoles.

"No hace una diferencia si Toni está aquí o no, lo que hace la diferencia es mi mismo. Siempre es lo mismo: yo tengo el apoyo de mi equipo, y cuando pierdo, es mi culpa. También cuando gano es por mi."

El No.1 del mundo dice que las indicaciones del entrenador no hacen una gran diferencia una vez entrando a la cancha - al menos en su caso. "Si el jugador quiere hacerlo, el jugador puede hacerlo con cualquier entrenador.

"El trabajo más grande es cuando eres un niño, ahí es más importante el trabajo de un entrenador. Tú sabes lo que tienes que hacer ahora. El entrenador puede ayudarte en algunas cosas por momentos, pero no cambia tanto las cosas".

tennistalk.com/es
SOURCE

US Open - Nadal dans le dur



Rafael Nadal est un excellent joueur sur ciment. Mais quand vient l'US Open, l'actuel N.1 mondial est souvent en souffrance. Cette saison, quelles sont ses chances de le voir décrocher le dernier titre majeur qui manque à son palmarès ? Physiquement, ça va fort. Techniquement et tactiquement...

ENFIN PRÊT PHYSIQUEMENT

Rafael Nadal tient debout. Mieux, Nadal est plutôt en grande forme physique. A quelques jours du début de l'US Open, c'est exceptionnel. Depuis 2003 et son premier tournoi new-yorkais, le Majorquin a rarement connu une telle situation. Et pour cause, c'est au printemps qu'il a toujours consumé son énergie et vécu les moments les plus intenses de sa carrière. A la fin de l'été, Nadal est habituellement en souffrance. Sans parler de 2008 où il avait remporté les Jeux Olympiques avant d'arriver en demi-finale épuisé.

En 2010, la raquette change de main comme d'autres changent leur fusil d'épaule : l'objectif est de rester N.1 mondial à la fin de l'année et de remporter le seul titre qui lui échappe : l'US Open. Comment faire ? Zapper la Coupe Davis, l'autre épreuve culte de Nadal. Ce qui n'est pas sans effet : Nadal est arrivé à Toronto et Cincinnati l'esprit un peu alourdi par la défaite de ses compatriotes en France quand lui paradait avec ses amis footballeurs en Afrique du Sud, mais frais et dispo. "Tout va bien, j'ai quinze jours pour tout casser", lançait-il rieur avant Cincinnati. Visiblement, la porcelaine des Baléares est solide puisqu'il aborde Flushing en tant que tête de série N.1 et en pleine forme. Cela suffira-t-il ?

UN PASSIF

Être tête de série N.1 et s'appeler Rafael Nadal peut en impressionner un grand nombre sur le circuit. Sur dur, à New York, cela fonctionne moins bien. Nadal a échoué une fois en quart à Flushing, deux fois en demi-finale, et au total, en sept participations, il a échoué devant des joueurs souvent éloignés du top 10 (à deux exceptions : Roddick, N.2 et tenant du titre au 2e tour en 2004, et Del Potro futur vainqueur, en demi-finale l'an passé).

REVERS DE LA MEDAILLE

Cette année, dans la continuité d'une amélioration sensible de ces résultats à New York (quart en 2006, 4e tour en 2007, demi-finale deux fois en 2008 et 2009), Nadal devrait être dans une position conquérante... Ce n'est pourtant pas le cas. L'Espagnol ne dispose plus de son jeu formidablement équilibré, si redoutable en contre et en défense. Il est difficile de l'admettre, sachant ce que "Rafa" a accompli au printemps (doublé Roland-Garros et Wimbledon) mais le jeu du N.1 mondial est bancal. Et ce n'est pas un mystère. Son revers crachote.

"Mon jeu peut s'améliorer, c'est sûr", avouait-t-il après sa défaite devant Marcos Baghdatis à Cincinnati. Et je dois réellement m'améliorer si je veux avoir ma chance à New York. J'ai une semaine pour travailler et m'entrainer dur. Je vais essayer de retrouver confiance en mon revers." La défaillance ne date pas d'hier, mais elle a été flagrante au mois d'août. Sur dur, Nadal a moins de temps pour faire "gicler" son revers. Naturellement, il vient combler ce manque de puissance en tournant autour de son revers. Cela le pénalise ensuite en termes de placement. "Si j'améliore mon revers, tout mon jeu s'améliorera. Mon mouvement sera meilleur car je n'aurai pas à couvrir mon revers avec mon coup droit et ma position sur le court sera meilleure", confirme-t-il. Toute la question est de savoir : une semaine, c'est court pour améliorer un geste. Aura-t-il le temps de peaufiner son revers ?

SERVICE COMPRIS

Ce qu'il sera difficile de changer, ce sera l'autre aspect du jeu de Nadal plutôt déficient sur dur, et particulièrement à Flushing Meadows, (nous nuançons en disant "plutôt" car nous parlons d'un joueur qui reste sur deux demi-finales), c'est le service. Nadal n'a jamais eu un service assez percutant pour la surface. En 2008 et 2009, il avait rattrapé une partie de son retard. Obligé de modifier son geste pour soulager ses appuis (et ses tendinites), Nadal a même régressé.

A Toronto, Nadal avait constaté les dégâts devant Andy Murray : "Mon service était le pire coup de mon jeu". A Cincinnati, on a aussi senti de la retenue. Explications : "Il faut que j'y aille doucement. L'année dernière, j'avais commencé à Montréal après des vacances, soit une situation similaire à cette année, j'avais frappé fort d'entrée et je m'étais étiré un muscle abdominal. Alors je préfère ne pas trop m'entraîner pendant la semaine parce que je sens que cette partie du corps est plus sollicitée. Et que le plus important, c'est d'être prêt physiquement, non ?"

TONI LES BONS TUYAUX ?

La boucle est presque bouclée. Nadal est prêt physiquement, nous vous le disions au début de l'article. Mais techniquement, l'US Open lui échappe encore. L'effort qu'il fournit pour raccourcir ses préparations, pour prendre la balle plus tôt, finit par entamer la carapace que l'on sait indestructible sur terre battue et gazon. Qu'en dit Toni Nadal ? Pas grand chose. Comme Roger Federer, l'influence des conseillers diminue au fil des années et de la taille du palmarès autour de lui. Pourtant, si le Suisse cherche encore du soutien ponctuel (Paul Annacone cet été), l'Espagnol n'a jamais donné le moindre signe de changement, ni de coach, ni de stratégie.

Le ciment, Nadal connaît. "Murray, Djokovic et Nadal ont prouvé qu'ils pouvaient battre tout le monde sur ciment", disait Federer récemment. Avant de relativiser : "Rafa a déjà gagné un Grand Chelem sur dur, mais en Australie. A l'US Open, la surface est un peu plus rapide. On peut imaginer qu'il y est moins à l'aise. Mais s'il a un bon tirage et qu'il atteint la finale, alors il aura sa chance." Pour l'instant, Nadal cale avant. Il y a un petit deficit technique, qu'il peut résoudre. N'y aurait-il pas également un petit déficit tactique qu'un oeil extérieur à la bulle "Toni-Rafa" pourrait rectifier ?

yahoo.fr
http://fr.sports.yahoo.com/26082010/70/us-open-nadal-dans-le-dur.html

US Open - Nadal : Murray à l'horizon ?



Andy Murray pourrait retrouver Rafael Nadal en demi-finale de l'US Open, comme en 2008. L'Espagnol devra cravacher pour y arriver car le tirage au sort a placé Nalbandian, ou encore Berdych et Gulbis, lesquels vont jouer LLodra et Chardy, sur sa route. Federer est avec Djokovic et Söderling.

1ER QUART DE TABLEAU

L'ombre de David Nalbandian place sur ce quart de tableau. L'Argentin est le joueur le plus dangereux pour Rafael Nadal. Encadré par deux Espagnols, David Ferrer et Fernando Verdasco, Nalbandian sera également attentif au résultat de ce qui pourrait être un des matches du tournoi entre deux jeunes ambitieux aux enchaînements service-coup droit explosifs : Jérémy Chardy-Ernests Gulbis. Plutôt favorisé jusqu'en quart de finale, Nadal aura droit alors à un test de grande envergure. Gilles Simon, en progrès, pourrait défier le N.1 mondial s'il passe deux tours.

yahoo.fr
http://fr.sports.yahoo.com/27082010/70/us-open-nadal-murray-a-l-horizon.html

Nadal pour un triplé historique

27/08/2010



Vainqueur de Roland Garros et Wimbledon, Rafael Nadal, qui a su préserver son physique, vise l'US Open, seul Grand Chelem qui manque à son palmarès. Andy Murray et Roger Federer pourraient l'en empêcher.

Rafael Nadal a l'occasion de marquer un peu plus l'Histoire du tennis. A seulement 24 ans, il pourrait devenir le troisième joueur de l'ère Open, après Andre Agassi et Roger Federer, à remporter tous les tournois du Grand Chelem sur trois surfaces différentes (dur, terre battue et gazon). «Il y a deux ans, il était favori. Il jouait un tennis fantastique mais il est arrivé à New York très fatigué. Ce ne sera pas le cas cette année. A seulement 24 ans, Rafa à l'occasion de marque l'Histoire du tennis», affirme ainsi Brad Gilbert à la BBC. Jusque-là, l'Espagnol n'a jamais dépassé le stade des demi-finales à l'US Open. En 2008 et 2009, il a échoué respectivement devant Andy Murray et Juan Martin Del Potro dans des circonstances totalement différentes.

Physiquement et mentalement au top
«En 2008, je suis arrivé en parfaite condition physique mais j'étais épuisé mentalement. J'avais gagné Roland Garros, Wimbledon, Toronto, les Jeux Olympiques. C'était dingue ! L'année dernière, c'était différent. Je m'étais blessé aux abdominaux à Montréal. J'ai joué ici (Ndlr : à Flushing Meadows) blessé. A chaque match la douleur était plus forte. J'ai fini l'US Open détruit. Donc, c'était déjà incroyable d'atteindre les demi-finales», rappelle le n°1 mondial. Sa tournée américaine n'a pas été brillante mais Nadal, qui s'est plaint de la qualité de son revers, ne s'inquiète pas. Le divorce de ses parents digéré, ses problèmes de genoux oubliés (il a pris le temps de les soigner après Wimbledon), il arrive cette fois-ci à New York dans les meilleures conditions. «Chaque année est différente. Vous pouvez jouer très bien en arrivant et perdre d'entrée. Vous pouvez jouer mal au début et progressivement vous améliorer et gagner, à l'image de ce que j'ai fait à Roland Garros cette saison.»

Federer en veut 20
Incroyable compétiteur, Nadal n'est jamais aussi fort qu'en Grand Chelem. En bonne santé, le Majorquin semble quasiment imbattable dans un tournoi où chaque match se dispute au meilleur des cinq sets. Andy Murray, qui l'a récemment battu à Toronto, sait qu'il devra se surpasser s'il veut rééditer cette performance dans le dernier carré de l'US Open. Bien que le ciment américain ne soit pas sa surface de prédilection, Nadal a déjà prouvé qu'il pouvait s'imposer sur courts rapides. «Même s'il domine sur terre battue depuis des années, Rafa a depuis longtemps prouvé qu'il pouvait être un joueur de surface rapides. Il a notamment gagné l'Open d'Australie. Et puis, les courts sont aujourd'hui un peu plus lents, que se soient en indoor, sur dur ou même sur gazon. Il est désormais logique de pouvoir gagner sur toutes les surfaces quand vous êtes au top», précise Roger Federer, l'autre grandissime favori. Redevenu n°2 mondial cet été, le Suisse était assuré avant le tirage au sort d'être dans l'autre moitié de tableau. S'il ne peut affronter Nadal qu'en finale, d'autres embuches se dresseront sur sa route : Lleyton Hewitt, Robin Söderling et/ou Novak Djokovic. Vainqueur de son 17e Masters 1000 à Cincinnati, le Bâlois semble tirer profit de sa collaboration avec Paul Annacone, l'ancien mentor de Pete Sampras. A L'US Open, il visera un 17e titre en Grand Chelem, son objectif étant d'atteindre la barre des 20 d'ici la fin de sa carrière.

Quels outsiders ?
Outre la bande des quatre (Nadal, Federer, Djokovik, Murray), Tomas Berdych, finaliste à Wimbledon pourrait jouer les trouble-fête. Son quart de finale contre Murray est attendu. De retour à un très bon niveau, David Nalbandian, tête de série n°31 suite aux forfaits de Juan Martin Del Potro et Jo-Wilfred Tsonga, peut battre n'importe qui quand il est au top. Pour retrouver Nadal en quarts, l'Argentin devra sans doute écarter Fernando Verdasco et David Ferrer. En grande forme, Marcos Baghdatis a une partie de tableau relativement dégagée, celle de Gaël Monfils, dont l'attitude actuelle laisse à désirer, de Nikolay Davydenko, longtemps absent en raison d'une blessure au poignet gauche et d'Andy Roddick, affaibli par une mononucléose.

http://www.lefigaro.fr

US Open: Nadal débute contre Gabashvili, dur pour les Français

NEW YORK (Reuters) - Le numéro un mondial Rafael Nadal entamera sa quête du seul titre du Grand Chelem qui manque à son palmarès face au Russe Teimuraz Gabashvili au premier tour de l'US Open de tennis, qui proposera d'emblée des matches difficiles aux Français.

Le Suisse Roger Federer, tête de série numéro deux, sera opposé pour son entrée en lice à l'Argentin Brian Dabul.

Son tableau vers un potentiel sixième titre sur le ciment de Flushing Meadows est parsemé d'embuches, puisqu'il pourrait affronter l'Australien Lleyton Hewitt au troisième tour, puis le Suédois Robin Soderling en quarts de finale et Novak Djokovic, n°3 mondial, en demi-finale.

SOURCE

Nadal tranquille

Mise à jour le jeudi 26 août 2010 à 20 h 37


Photo: La Presse Canadienne /Nathan Denette

Rafael Nadal a vécu un jour de chance, jeudi, au tirage au sort pour le tableau principal des Internationaux des États-Unis. Roger Federer, lui, aura la vie pas mal moins facile.

Nadal (no 1) est en quête du seul titre du grand chelem qui manque à son palmarès.

L'occasion est belle, puisque son quart de tableau comprend Fernando Verdasco [no 8] comme principale menace... et ce dernier n'a jamais gagné en 10 matchs contre Nadal.

Tout de même, si le premier tour de Nadal contre l'obscur Russe Teymuraz Gabashvili est peu menaçant, son adversaire suivant pourrait être l'Allemand Philipp Kohlschreiber (no 29) qui l'a inquiété à Toronto.

Federer, qui vise un sixième titre sur le ciment de Flushing Meadows, devrait vite écarter l'Argentin Brian Dabul au premier tour. Lleyton Hewitt au troisième tour, puis Robin Soderling (no 5) en quarts de finale seront plus dangereux, surtout qu'ils savent désormais le Suisse à leur portée.

Ces deux rivaux potentiels ont d'ailleurs gagné leur dernier match face au Suisse.

Novak Djokovic (no 3) a hérité de la portion de tableau de Federer, tandis qu'Andy Murray (no 4) est du côté de Nadal.

Le Serbe, finaliste en 2007, trouvera d'abord son compatriote Victor Troicki, 45e mondial. Murray, finaliste en 2008, jouera au premier tour contre le Slovaque Lukas Lacko.

SOURCE

Parcours piégé pour Rafael Nadal

Le Jeudi 26 août 2010 | Mise en ligne à 14h05


Roger Federer et Rafael Nadal ont plaisanté durant le tirage de l’US Open.

On peut se demander qui de Rafael Nadal (n°1) ou de Roger Federer (n°2) a été le plus favorisé par le sort au tirage de l’US Open. Le premier, s’il se rend en demi-finales, pourrait y retrouver Andy Murray (n°4), un des hommes forts du dur, qui l’a éliminé récemment à Toronto et au début de l’année à Melbourne. Mais avant de parvenir à ce niveau, qu’il n’a jamais dépassé à Flushing Meadows, le champion de Roland-Garros et de Wimbledon devra survivre à un parcours piégé.

Dès le deuxième tour, Rafa devra probablement en découdre avec Denis Istomin, puis au troisième, avec Philipp Kohlschreiber (n°29), qui lui a donné du mal à Toronto (et qui pourrait lui en donner encore s’il est en santé), et au quatrième avec Ivan Ljubicic (n°15), qui l’a battu à Indian Wells. Bien entendu, l’Espagnol devrait s’en sortir pour aboutir en quarts, où il pourrait retrouver ses compatriotes Fernando Verdasco [n°8] ou David Ferrer (n°10), contre qui il a habituellement du succès. Mais mon intuition me dit qu’il pourrait plutôt être opposé à David Nalbandian (n°31) ou à Ernests Gulbis (n°24). Ce dernier pourrait cependant se faire éliminer par Jérémy Chardy dès le premier tour.

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Nadal: «Llego un poco mejor que otros años»


Nadal sonríe junto a Clijsters y Federer, ayer, en el Arthur Ashe Kids Day.
28-08-2010 | Efe

Efe | Nueva York | 29/08/2010

Rafael Nadal declaró ayer pocos días antes de empezar el US Open, el único título que le falta para completar el ‘grand slam', que espera «tener la oportunidad de jugar mejor y tener la opción de ganar», pero sin que se convierta en una obsesión.

Aunque Nadal nunca ha superado las semifinales del US Open el tenista de 24 años tiene el «deseo» de mejorar su tenis y en eso es en lo que piensa «todo el tiempo». «Estoy más que feliz con lo que tengo en casa, todo lo que he ganado. Es más de lo que soñé hace cinco o seis años», dijo el número uno del mundo.

«Creo que si hablamos en general, probablemente llegó un poco mejor que otros años», declaró el mallorquín, que ayer participó junto a Federer y Kim Clijsters en el día que la organización del US Open reserva para la diversión de los más pequeños.

El mallorquín, que iniciará su participación ante el ruso Teimuraz Gabashvili, afirmó sentirse «bien» psicológicamente a dos días de empezar el cuarto y último grande de la temporada y que la única vez que no lo estuvo fue en 2008, cuando perdió ante Murray, ya que entonces estaba «muy cansado».

«Llevo unos años jugando cada vez mejor en este torneo, pero sigue siendo difícil estar en el centro de la pista al haber más viento que en el resto de los campeonatos» apuntó el tenista manacorí, que reconoce que cuando tiene el viento en contra a veces parece que no es él el que mueve la bola.

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TENIS | Último 'grande' del año
A Nadal no le obsesiona el US Open


Nadal y Federer, en Flushing Meadows. | Efe

Agencias | Nueva York

A Rafa Nadal sólo le queda por conquistar Flushing Meadows. El US Open es el único grande que le falta en su palmarés, pero prefiere no obsesionarse con la victoria final y afronta con relajación la cita, que arranca el lunes en Nueva York.

A pesar de que aún no ha logrado superar las semifinales en Nueva York, el mallorquín, que este año ha ganado Roland Garros y Wimbledon, está muy orgulloso de los ocho títulos de Grand Slam que posee. "Espero tener más oportunidades de jugar bien aquí y tener la oportunidad de ganar, pero sin obsesionarme", comentó Nadal. "Estoy más que feliz con lo que tengo en casa, todos los torneos que he ganado. Es más de lo que soñaba hace cinco o seis años, así que estoy feliz por eso (...) Ahora tengo el deseo (...) de mejorar mi tenis y eso es lo que estoy intentando todo el tiempo", agregó el número uno del mundo.

Las lesiones han impedido en ocasiones a Nadal llegar a la cita americana al 100%. Tras ganar en julio su segundo título en Wimbledon, Nadal recibió un tratamiento debido a las molestias en sus rodillas, pero ahora se ve en plena forma física. "Probablemente llego un poco mejor que otros años", confesó el balear, que debutará frente al ruso Teymuraz Gabashvili.

"Llegué a semifinales en los dos últimos años, así que no fue un mal resultado (...) Físicamente estoy bien. Siempre he estado bien mentalmente, sólo una vez en 2008, cuando perdí la semifinal contra Andy Murray, estaba demasiado cansado como para ganar este torneo", concluyó.

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