Amélie Mauresmo > "On ment à la presse"

Par Pauline Dahlem, lundi 07 décembre 2009 à 16:30

Dans un article de L'Equipe, Amélie Mauresmo répond aux questions de personnes ayant eu un lien plus ou moins proche avec elle durant sa carrière. Voici la question d'Alain Deflassieux, journaliste du quotidien sportif qui a suivi toute la carrière de l'ex-numéro 1 mondiale.

Est-ce que tu as déjà menti à la presse ? Si oui, dans quelles circonstances ?
"Heureusement (rires). Par exemple, quand j'ai travaillé pour la deuxième fois avec un psy, je n'en ai pas parlé alors que j'avais des questions sur ce sujet. Je ne voulais pas parler aussi de certaines blessures. Pour la finale de Wimbledon, j'avais une déchirure de sept centimètres aux adducteurs, je l'ai sentie au troisième jeu, mais je n'en ai pas parlé après le match. En Australie en 2006, avant mon match contre Vaidisova, je me lève le matin et je ne peux pas bouger. Après le match, j'ai dit que cela allait. [...] Il faut savoir qu'on ment à la presse."

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Amélie Mauresmo > Future marathonienne ?

Par Pauline Dahlem, vendredi 11 décembre 2009 à 19:57

Jeune retraitée du tennis, Amélie Mauresmo ne compte absolument pas stopper la pratique sportive. L'ex-numéro 1 mondiale envisage par exemple de se mettre au marathon.

"Je veux seulement courir un marathon, celui de New York je pense. Ça me stress déjà mais la compétition, j’ai ça en moi. Ça ne va pas disparaître. J’aurai besoin de l'exprimer."

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Mauresmo aide Llodra

Comme on l'apprend dans L'Equipe de mercredi, Amélie Mauresmo a accepté de venir apporter son aide et son expérience à Michaël Llodra en vue de Wimbledon. L'ex n°1 mondiale, titrée à Londres en 2006, a été ravie de rendre ce service ponctuel à celui qui reste entraîné par Rémi Barbarin.

«On pourrait dire que je suis une valeur ajoutée. On fonctionne au feeling. (...) J'assiste à ses entraînements, si je remarque quelque chose je lui dis. Parfois j'attends qu'il se manifeste. Rien n'est écrit» explique l'ancienne championne. Llodra, lui, apprécie le coup de main. «Elle m'a rejoint sur le Challenger de Bordeaux et je lui ai dit que j'étais preneur d'un coup de main. Amélie peut m'apporter beaucoup sur la manière dont on aborde les grandes compétitions. Même si on évolue plus dans un cadre amical que purement professionnel. Durant sa carrière, elle a beaucoup parlé et réfléchi pour faire péter certains blocages. Elle pose sur moi un regard différent. J'aime cette démarche.»

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France > Mauresmo évoque l'affaire Anelka

Par Pauline Dahlem, dimanche 20 juin 2010 à 10:26

Amélie Mauresmo a donné dans L'Equipe son ressenti sur l'affaire Anelka qui agite le monde du football français depuis hier.

"Je ressens un malaise, un malaise énorme. Avoir franchi cette limite là, c'est franchement pas possible. Peu importe les querelles qu'ils ont, les désaccords. On n'est pas des animaux."

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Mauresmo : jouer et relativiser

Aux Etoiles du Sport, les plus grands champions nous livrent trois conseils qui ont marqué leur carrière. Amélie Mauresmo évoque l'exemplarité de Yannick Noah, l'importance du jeu et le besoin de vivre l'instant présent de Guy Forget.

L'instinct et l'exemplarité

«Avec Yannick (Noah), on ne se parlait pas beaucoup, mais je l'ai beaucoup observé. On est tous les deux dans le domaine de l'instinctif et de l'expression physique. A mon arrivée en Fed Cup, il m'a montré une forme d'exemplarité dans l'engagement, dans l'intensité et dans le dépassement de soi. C'était encore plus fort que les mots. Son côté instinctif m'a confortée dans le fait qu'il faut se faire confiance. A l'encontre de certains conseils, il faut écouter ce qu'on ressent même si on se trompe parfois. Bien sûr, cela se fait dans la rigueur. Yannick a une image de dilettante, mais on en est très loin.»

Le jeu

«C'était à Wimbledon, j'étais tendue avant un match. Il y a toujours un match dans la quinzaine où tu as une tension, cela peut être le premier ou le troisième tour. Jérôme Bianchi (son kiné sur la fin de sa carrière) m'a dit : "L'enjeu ne doit pas tuer le jeu. Tu es une joueuse". C'est une phrase banale, mais c'est très difficile à faire. Le tennis est un jeu et si tu n'arrives pas à jouer, tu es mort. Ce n'est pas facile à mettre en place, mais c'était une phrase assez percutante pour moi en termes de gestion d'émotions et de tension en amont d'un match.»

Relativiser

«Pour ma première finale du Masters en 2003 avant la victoire en Fed Cup, j'étais un peu cuite et tendue. Guy (Forget, le capitaine de l'équipe de France de Fed Cup en 2003) m'a dit : "Aujourd'hui, qu'est-ce qui peut t'arriver ? Au pire, tu perds. Relativise la défaite à partir du moment où tu donnes le meilleur de toi-même. Tu vis ta passion, quand tu arrêteras, tu te retourneras et tu te diras que tu avais de la chance d'être là. Prends cet événement à bras le corps, vis-le. Ne regrette rien".» - Recueilli par S.D., à La Plagne

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Amélie Mauresmo > Mauresmo, co-directrice de l'Open GDF-Suez

Par Rémi Cap-Vert, jeudi 06 janvier 2011 à 10:24

Amélie Mauresmo a annoncé, en conférence de presse, qu'elle devenait co-directrice de l'Open GDF-Suez, aux côté de Régis Brunet, d'IMG France. Un destin somme toute logique pour la Française, trois fois vainqueur et six fois finaliste du tournoi.

Son édito pour le dossier de presse du tournoi :

"Le 15 février 2009, je vis ma dernière grande émotion sur un court. C'est à Coubertin. Entourée par mes amis et ce public qui m'a portée si souvent, je viens de boucler la boucle. Comme un symbole, l'Open GDF SUEZ m'offre alors un immense cadeau pour achever mes quinze ans de carrière. Dans cette ambiance familiale et chaleureuse, j'ai pu trouver un terrain d'expression où le jeu et les émotions se côtoient. Des qualifications en 1996 jusqu'à ce 15 février 2009, j'ai vécu quelques-uns des plus grands moments de ma carrière sur ce court central.

Au fil des ans, un lien s'est tissé et consolidé. Toujours fidèle et présent, mon partenaire GDF SUEZ m’a suivie tout au long de ma carrière et chaque saison, le tournoi a marqué le point culminant de notre collaboration. Aujourd'hui, mon attachement me conduit au bord du court avec le même sentiment d'appartenance et la même envie de partage. En devenant co-directrice de l'Open GDF SUEZ aux côtés de Régis Brunet, je poursuis naturellement l'aventure humaine et sportive.

Dans ce rôle, je souhaite transmettre mon expérience de joueuse, découvrir un nouvel univers et partager avec vous des émotions intenses. La fidélité et les valeurs communes s'allient aussi au besoin d'évoluer. Tout en restant concentré sur la performance sportive avec la présence des plus grandes championnes, le 19e Open GDF SUEZ va créer l'événement en organisant une soirée caritative. Le lundi, de nombreux joueurs et artistes viendront partager un moment de rires et de tennis au bénéfice de l'Institut Curie. Avec ce même désir de bien faire et cette volonté d'échanger, notre histoire continue…"

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Divers : Mauresmo flashée deux fois à 161km/h

TENNIS / INSOLITE
Publié le : 04/10/2011 à 18h32 - Mis à jour le : 04/10/2011 à 18h49

Le Journal de Saône et Loire rapporte ce mardi qu'Amélie Mauresmo a été flashée ce week-end à 161km/h sur l'autoroute A6, deux fois à quinze minutes d'intervalle. L'ancienne n°1 mondiale s'en est sortie avec 180 euros d'amende...et 0 point retiré.

Amélie Mauresmo à 161km/h. Il ne s’agit pas de la vitesse du service de l’ancienne n°1 mondiale lors d’un quelconque match exhibition, mais bel et bien de la vitesse à laquelle elle a été flashée à deux reprises ce week-end. Le Journal de Saône-et-Loire révèle ce mardi que l’ancienne tenniswoman a été arrêtée par les gendarmes de Chalon sur l’autoroute A6, alors que sa Porsche 911 Carrera venait d’être flashée à 161km/h. Se montrant sympathique, Amélie Mauresmo s’est acquittée de l’amende de 90 euros, tout en racontant qu’elle avait été arrêtée par les gendarmes de Beaune quinze minutes plus tôt alors qu’elle roulait exactement à la même vitesse ! Résultat : 180 euros d’amende mais aucun point retiré, la gagnante de Wimbledon 2006, qui habite à Genève, circulant avec un permis suisse.

Rédigé par Rédaction Sport365