Cornet passe

02/03/2011 - 08:30 - Mis à jour le 02/03/2011 - 08:35

Alizé Cornet s'est qualifiée pour le 2e tour à Monterrey au Mexique en battant la Roumaine Simona Halep 7-5, 6-1. Elle affrontera Anastasija Sevastova.

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Cornet confirme

Le 11/03/2011 à 23:06 | Mis à jour le 12/03/2011 à 00:49

Alizé Cornet, issue des qualifications, et Marion Bartoli se sont qualifiées pour le troisième tour.

Alizé Cornet, 70e mondiale, confirme sa bonne forme du moment en se qualifiant pour le troisième tour du tournoi d'Indian Wells grâce à son succès sur la Bulgare Tsvetana Pironkova, 33e (7-5, 3-6, 6-2). La Niçoise, qui ne l'avait encore jamais battue, valide ainsi son beau parcours ici lors des qualifications et son succès sur Patty Schnyder lors du tour précédent. Au prochain tour, elle sera opposée à la lauréate du match opposant l'Italienne Francesca Schiavone à la Tchèque Zuzana Ondraskova.

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Cornet sortie d'entrée

Alizé Cornet s'incline dès le premier tour à Houston, face à la Suédoise Sofia Arvidsson (6-4, 2-6, 6-3).

Comme à Miami la semaine dernière, où elle s'est fait éliminer par Virginie Razzano, Alizé Cornet a chuté dès le premier tour au tournoi de Charleston. La jeune Française s'est inclinée en trois sets contre la Suédoise Sofia Arvidsson, 84e joueuse mondiale (6-4, 2-6, 6-3). Arvidsson affrontera en seizièmes de finale l'Israëlienne Shahar Peer. En sept tournois cette saison, la Niçoise, 67e mondiale, n'a jamais dépassé les huitièmes de finale qu'elle n'a atteints qu'à Auckland et Monterrey.

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Alize Cornet: "Me veo capaz de dar el salto al 'Top-Ten'"

DAVID MENAYO 12/04/11 - 10:45

La tenista Francesa, que se medirá a España en la Fed Cup, es una de las perlas del país vecino. Tocó durante mucho tiempo el piano, pero llegó un momento que lo dejó para dedicarse a tiempo completo al tenis · Tiene fobia a las arañas y un perro que se llama Andy en honor a Roddick, su ídolo en la adolescencia · Le encantan los dulces · Su nombre significa 'viento que sopla desde el este'

Alize Cornet (Niza, 1990) es una de las jóvenes promesas del tenis francés y una de las cuatro jugadoras que se medirá esta semana a España en los play-off de ascenso al Grupo Mundial de la Fed Cup. Recién llegada a Lleida con el equipo nacional, la simpática jugadora gala atiende la llamada de MARCA.com.

"Me considero una jugadora muy competitiva, perfeccionista, luchadora, expresiva y que le gusta hacer todo bien en cada momento. Suelo gritar mucho para animarme a mí misma (lo hace en castellano, inglés y español por igual)". Así se define Alize Cornet, quien tuvo su primer contacto con una raqueta a los cuatro años en el 'Tennis Club des Arènes de Cimiez' de su Niza natal. Su temprano salto al circuito profesional con sólo 15 años se vio respaldado por unos excelentes resultados entre los que destacan la conquista del Roland Garros júnior (2007), la final en Roma (2008) y su primer título, y hasta la fecha único, en Budapest (2008). Todos ellos con un denominador común, la tierra batida. "Prefiero jugar sobre arcilla. Es la superficie en la que me encuentro más cómoda y donde he tenido mejores resultados", comenta Alize, que tras un irregular comienzo de temporada donde no ha pasado de octavos de final en ningún torneo, espera tener mejor suerte a partir de ahora.

Cornet viene de caer la semana pasada en la primera ronda de Charleston, evento disputado sobre tierra verde grisácea, y ahora comienza en España una minigira que le llevará a jugar en Lleida, Fes, Madrid, Roma y Roland Garros, todos ellos sobre el tradicional tapete rojizo. Primera parada, la Fed Cup, competición en la que tiene un bagaje de 2-10 hasta la fecha. Un billete en el Grupo Mundial en juego ante España. "Creo que será una eliminatoria difícil porque ellas son muy buenas jugadoras y actuamos como visitantes", comenta Alize, que descarta que el tenis femenino español esté en crisis: "No tienen ninguna tenista en el 'Top-20', pero sí tres entre las 60 mejores y seis entre las 100 primeras. Tienen un buen nivel, sobre todo en tierra. Y entre ellas hay jugadoras como Carla Suárez que aún es muy joven y puede seguir mejorando".

Buscando el relevo de Mauresmo y Dechy
Desde que Francia cayera en la final de la Fed Cup del 2005 ante Rusia (2-3), ha seguido siempre el mismo guión: perder en primera ronda y mantener el puesto entre los ocho mejores países del mundo en el play-off de permanencia. "Desde que dejaron el equipo Amelie Mauresmo o Nathalie Dechy, nos ha costado encadenar dos buenos resultados. Ahora mismo tenemos a dos jugadoras de un alto nivel como Marion Bartoli y Aravane Rezai y gente joven que viene fuerte por detrás y que serán habituales en el 'Top-100' los próximos años". La última parada de esa gira sobre tierra batida será en casa, en Roland Garros, un torneo que ganó como júnior pero en el que nunca ha superado la tercera ronda como profesional. ¿Se ve capaz de ganar un torneo de estas características? "Tengo sólo 21 años y no sé lo que puede pasar en mi carrera. Ganar en Francia es muy difícil y creo que todavía tengo mucho que mejorar, pero no cabe duda que me haría especial ilusión por ser un Grand Slam que encima se juega en mi país".

A las órdenes de Laurent Orsuni, Alize ocupa actualmente el puesto 67 del ranking, si bien su mejor marca fue el puesto 11 que alcanzó en febrero de 2009. Los objetivos de la tenista gala pasan por recuperar el nivel que le llevó a estar ahí arriba y dar un paso más en la clasificación mundial. "La meta más inmediata es volver a verme entre las 40 ó 50 mejores. En un futuro más lejano, todo puede pasar. Hace dos años ya estuve la número 11 del mundo y demostré que puedo estar ahí. Me veo capaz de dar el salto al 'Top-Ten'", comenta la francesa, que dice no ser supersticiosa, aunque sí seguir una serie de rituales antes de saltar a la pista: escuchar música en su iPod (dice motivarse con música dance o house), preparar ella misma sus raquetas y animarse antes de cada partido. En cuestión de ídolos, siempre se fijó en Andy Roddick (puso el nombre de Andy a su perro después de que el estadounidense ganara el US Open en 2003), aunque en estos momentos lo hace más en Kim Clijsters: "Aunque hay un buen nivel en el circuito, sobre todo en el 'Top-15', no hay una jugadora que destaque por encima del resto en estos momentos. La número 1 del mundo es Caroline Wozniacki, aunque a mí me gusta más Kim".

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Alizé Cornet : au revoir, pays des Merveilles



dimanche 22 mai 2011 par Thibaut Fraix-Burnet

La carrière d'Alizé Cornet a pris fin le 25 janvier 2009. Sa première carrière… Très exactement au terme d'un 1/8e de finale de l'Open d'Australie. Défaite par Dinara Safina, alors n°3 mondiale, non sans avoir disposé de deux balles de match, la Niçoise, sans qu'elle en ait conscience, achevait un premier cycle de vie à 19 ans seulement. Jusque-là, le sort, tel un miroir, lui rendait son merveilleux sourire. Astucieuse et maligne, la pimpante demoiselle pliait le monde à ses désirs avec aplomb.

Le doute n'encombrait pas son univers. Et pour cause, dans les catégories de jeunes, elle survolait toute les compétitions. Si rares qu'étaient les défaites, elles n'assombrissaient jamais son horizon. Championne de France, championne d'Europe, elle franchissait toutes les étapes, en brûlant même certaines au passage. Son parcours sportif trouvait un écho à l'école, puisqu'Alizé était une élève parfaite, voire particulièrement mature au point d'avoir un an d'avance.

Son début de carrière à haut niveau était encore plus ahurissant. Il faut dire qu'elle était bien épaulée par son entraîneur, Pierre Bouteyre. En 2005, alors qu'elle figure au 645e rang mondial, elle profite de sa wild card aux Internationaux de France pour se révéler en battant la Russe Alina Jidkova (71e) en deux sets au 1er tour. Elle n'a que 15 ans… Au deuxième tour, elle évolue sans complexe face à Amélie Mauresmo sur le central. A l'image d'Alice, l'héroïne de Lewis Carroll, Alizé effectue sans crainte un vertigineux saut dans l'inconnu et s'en trouve grisée.

En 2006 et 2007, le Pays des Merveilles se dessine. Les défis accessibles de son âge comme le permis de conduire manque de saveur à ses yeux, tandis que la conquête du titre junior à Roland-Garros en 2007 et des trophées dans les compétitions ITF l'attirent d'avantage. Toujours à l'image d'Alice, Alizé agit avec audace et insouciance et se montre attentive à tous et à tout. L'entraînement est un jeu et la compétition récompense le travail accompli.

« Peut-être ai-je pensé que j'étais arrivée ? »

2008 est sa meilleure année. Comme si, subjugué par tant de cœur, le destin rendait définitivement les armes. Non seulement, la miss remporte son premier titre à Budapest mais elle atteint les finales à Acapulco et Rome, avant d'être sélectionnée en équipe de France de Fed Cup. Elle flirte aussi avec la deuxième semaine à Roland-Garros et à l'US Open. Terminant sa saison au 16e rang mondial, elle atteint le 11e en février 2009. Pile au moment où sa première carrière prend fin. Son rêve s'achève, la réalité prend le dessus.

Alice-Alizé se réveille soudain dans la peau d'une 11e mondiale sans y avoir trop pensé. "Ce n'est jamais facile de gérer une année aussi bonne que ma saison 2008, expliquait-elle dans Tennis Info. Enfin, j'imagine que c'est ça… Peut-être ai-je pensé que j'étais arrivée ? Peut-être ai-je oublié que tout ce que j'avais accompli en 2008, c'était à la force du poignet et qu'en 2009, je me suis un peu relâchée. Comme si ma place dans le top 20 était acquise et que maintenant que j'y étais j'allais forcément y rester ? Je me suis rendu compte qu'il était difficile d'arriver au tout haut niveau mais qu'il était encore plus dur d'y rester."

La dégringolade s'avère lente, pleine de tentatives de rebond. Alizé Cornet perd confiance et concède des défaites inexplicables. Ses larmes coulent souvent et sa haine de la défaite se mue en abattement et en incompréhension. Elle parvient tout juste à limiter les dégâts en finissant l'année au 50e rang mondial.

Le courage et la combativité restent ses vertus cardinales
Alizé démarre la saison 2010 avec une foi renouvelée. Malheureusement, un échec en Fed Cup, une épreuve à laquelle elle tient beaucoup sans être beaucoup payée de retour, l'a replonge en enfer dès le mois de février. Et si, parfois, lors d'événements de moindre importance, elle se retrouve un peu, les grands rendez-vous qu'elle se fixe sont autant de déceptions. La magie de 2008 se refuse à elle. Redevenue 88e mondiale en septembre 2010, Alizé prend le pari de renouer avec ses sensations dans les compétitions du deuxième échelon. Le courage et la combativité restent ses vertus cardinales. Elle doit renoncer aussi, renoncer au passé. Fin 2010, elle finit par se séparer de Pierre Bouteyre, son coach de toujours.

La demoiselle a réalisé que dans le métier qui lui est tombé dessus, la gloire est aussi éphémère que les échecs sont cruels. Et si sa jugeote de jeune fille éveillée lui a servi de coupe file dans la vie, la véritable maturité est celle du désenchantement.

Avec son nouvel entraîneur, Laurent Orsini, un gars de chez elle, un Niçois, elle insiste sur l'amélioration de son comportement sur le court et sur le jeu vers l'avant. Le chemin est long, même si la Française réalise un bon Open d'Australie, remportant peu après son premier match en simple en Fed Cup. Naviguant entre hauts et bas depuis, la demoiselle a le grand mérite d'insister toujours. Sûre que cette attitude positive se transformera en visa pour un nouveau Pays des merveilles.

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Cornet et l'impatience du résultat



22/05/2011 - 08:22 - Mis à jour le 22/05/2011 - 11:18

Au sein d’un tableau peu relevé jusqu’en 1/8 de finale, Alizé Cornet entame Roland-Garros avec faim face à la Tchèque Renata Voracova, 122e mondiale, dès 11h sur le court Lenglen. L’occasion pour la Niçoise (80e) de repartir enfin sur des bases saines, quatre ans après son titre acquis en juniors.

Depuis quelque temps, Alizé Cornet se fait plus discrète. Le circuit féminin est un long chemin de croix pour la jeune Niçoise, qui ne lui donne pas autant de satisfaction qu’elle voudrait. C’est davantage en coulisses que la jeune Française fait parler d’elle*. La première partie de saison sur dur ne s’est pourtant pas mal passée : un 3e tour à l’Open d’Australie et un autre à Indian Wells lui ont redonné du baume au cœur qu’une nouvelle saison difficile en Fed Cup et sur terre battue a fini par lui reprendre. D’un côté, les critiques très sèches du capitaine de l’équipe de France, Nicolas Escudé, envers elle ont été mal digérées. Surtout suite à sa défaite au 1er tour à Moscou face à la Russe Anastasia Pavlyuchenkova alors que la France était à un set d’une qualification inespérée. De l’autre, les résultats sur surface ocre n’ont pas poursuivi le bon élan du début de saison.

C’est pourtant motivée, malgré ses deux victoires en sept matches sur terre, qu’Alizé va se jeter à corps perdu dans Roland-Garros, presque comme chaque année depuis 2007, année où elle remporta la compétition chez les juniors. Un bon résultat dans ce tournoi du Grand Chelem qu’elle apprécie tant pourrait lui permettre de se rapprocher de son objectif de début d’année : rentrer dans le Top 50. "Je n’ai pas vraiment de raison particulière pour expliquer pourquoi je réussis mieux sur dur que sur terre battue, alors que c’est une surface sur laquelle j’évolue depuis toujours. Mais je pense tout simplement que je suis moins patiente sur le court. J’ai davantage envie de finir les points plus rapidement que de partir dans des rallyes interminables. Mon jeu a évolué en conséquence et je pense que les surfaces dures me conviennent de plus en plus pour cette raison.»"

"Mon jeu a évolué"
Ce changement presque radical pour la résidente du club de Sofia Antipolis, près de Nice, est suivi de près par Laurent Orsini depuis novembre dernier. Entraînée depuis ses débuts par Pierre Bouteyre, Cornet a changé de structure suite à l’éloignement de Lagardère du milieu du tennis. La demoiselle a maintenant son propre staff et est presque devenue chef d’une petite entreprise. Dans un modèle assez répandue dans le milieu de la balle jaune, c’est donc sur ses épaules, et sans plus aucune aide d’un groupe financier privé, que repose désormais l’équilibre économique de son aventure tennistique au plus haut niveau.

Quand les résultats suivent, tout va bien. Quand ils tardent à poindre, c’est une autre histoire. "En ayant peu de résultats sur terre, je suis revenue en arrière. J’étais 65e mondiale après Indian Wells. Là, je suis 80e, donc loin de mon objectif. Ma nouvelle structure me plaît beaucoup, le challenge est à la fois très stressant et très excitant. Mais ce que j’attends aussi de ma nouvelle collaboration avec Laurent Orsini est d’avoir des résultats et, pour le moment, j’ai du mal à les voir venir. "

Objectif à Roland-Garros : un 3e tour
Le positif dans tout ça est qu’Alizé Cornet est arrivée à un moment de la saison où elle n’a que peu de points à défendre, dont une demi-finale à Bad Gastein sur la terre battue autrichienne (130 points). L’an passé, elle s’était arrêtée au premier tour à Roland-Garros, Wimbledon et l’US Open. Une raison pour se relaxer avant d’entamer les prochains mois de compétition plus importante. A Paris, la Niçoise est, en plus, assez bien tombée : elle débutera face à la Tchèque Renata Voracova, 122e mondiale. "C’est une bonne joueuse sur terre battue qui joue beaucoup à plat. Si elle m’a dominée les deux fois où nous nous sommes rencontrées, j’ai un bon coup à jouer car elle n’a rien montré sur terre cette année et c’est un match bien plus à ma portée que si j’étais tombée sur une tête de série."

"J’aime avoir des objectifs définis et cette année, je veux arriver au moins au 3e tour, comme à l’Open d’Australie en début d’année. " Logée en haut du deuxième quart de tableau, Alizé n’a pas fixé cet objectif par hasard car la N.4 française ne croiserait une première joueuse tête de série qu’au 3e tour. La Russe Alisa Kleybanova, tête de série N.23, potentielle adversaire au 2etour mais finalement malade, a laissé sa place à sa compatriote Anastasia Pivovarova, laissant à Cornet l’espoir de jouer un troisième match de suite à Paris pour la première fois depuis 2008 face à une autre Russe, Anastasia Pavlyuchenkova, la 24e mondiale croisée en Fed Cup au mois de février et celle qui l’avait sortie dès le 1er tour l’an passé Porte d’Auteuil. Rien de tel pour repartir du bon pied et refaire parler de soi de façon plus positive.

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Cornet passe

22/05/2011 - 12:45 - Mis à jour le 22/05/2011 - 12:49

Alizé Cornet a passé sans encombre le premier tour de Roland-Garros en dominant en deux sets la Tchèque Renata Voracova (6-4 6-2) et retrouvera au deuxième l'Espagnole Llagostera Vives ou la Russe Pivovarova, lucky-loser.

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Cornet se rassure

22/05/2011 - 14:51 - Mis à jour le 22/05/2011 - 15:00

Arrivée à Roland-garros en plein doute, avec une seule victoire lors des sept derniers matches, Alizé Cornet a finalement su faire fi de la tension au premier tour de Roland-Garros pour se défaire de la Tchèque Voracova (6-4 6-2).

ROLAND-GARROS - 1er tour
Alizé Cornet (Fra) bat Renata Voracova (Rtc) : 6-4, 6-2
Prochain adversaire : Llagosteras Vives (Esp) ou Pivovarova (Rus)

6-4 6-2, le score semble à sens unique, la qualification aisément décrochée et pourtant, Alizé Cornet a dû puiser dans ses réserves pour composter son billet pour le deuxième tour de Roland-Garros. Comme paralysée par l'enjeu, la jeune tricolore qui abordait ce tournoi en ayant gagné un seul de ses sept derniers matches a connu un début de rencontre crispant, deux premiers jeux fantomatiques pendant lesquels l'enjeu a pris le dessus sur l'enjeu. "J'étais hyper stressée. J'avais une boule dans le ventre, ça m'était rarement arrivé à ce point", incapable de se libérer, la Niçoise qui reste sur deux saisons difficiles, marquées par des contre-performances, blessures et doutes, a cependant su trouver les ressources morales pour garder la concentration nécessaire et inverser la tendance face à une adversaire qui lui offert le match sur un plateau.

Pour sa première accession dans le tableau principal après sept échecs en qualification, Renata Voracova a fait preuve d'une fébrilité salutaire pour Alizé Cornet. Coupable de 31 fautes directes, la Tchèque a donné les armes pour se faire battre et permis à Cornet de se sortir du piège et de s'offrir une victoire bonne pour le moral. "J'ai géré mon stress comme j'ai pu. C'est d'autant plus positif et agréable de gagner dans ce genre de circonstances", a lancé lucide la Française qui pourrait bien profiter du forfait dernière minute de Kleybanova dans sa partie de tableau pour voir plus loin.

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Cornet était «hyper stressée»

22/05 16h00

Alizé Cornet a reconnu avoir souffert du stress ce dimanche lors de sa victoire face à Renata Voracova.

«J’étais hyper stressée. Depuis ce matin, j’avais une boule au ventre. Cela m’était déjà arrivé dans le passé, mais pas à ce point-là. C’est donc d’autant plus positif pour moi de gagner dans ces circonstances. Je n’ai pas réussi à dominer mon stress tout le match, mais j’ai réussi l’essentiel. J’ai réussi à me calmer dans les moments importants en travaillant sur mon souffle. Je me suis concentrée sur des choses simples, et cela a marché. Mais c’est vrai qu’il y a eu beaucoup de crispation de ma part sur ce match. Le fait de jouer dimanche est spécial. C’est un peu comme si le tournoi n’avait pas commencé. En général, par le passé, je jouais plutôt le lundi ou le mardi en fin de journée. Maintenant, cela m’a quand même bien réussi, même si cela a participé de mon stress. Je n’ai pas pu m’empêcher de me dire que si je perdais, c’était comme si je n’avais pas joué le tournoi», a déclaré Alizé Cornet en conférence de presse d’après match.

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Alizé Cornet
Que représente pour toi Roland Garros?

(credits : Youtube / roadtorolandgarros)

https://www.youtube.com/watch?v=nwVuccmCcSM

Cornet impuissante

Le 25/05/2011 à 14:18 | Mis à jour le 25/05/2011 à 15:42

Alizé Cornet n'a absolument rien pu faire face à Nuria Llagosta Vives. La Française a été éliminée sèchement (6-0, 6-2) par l'Espagnole, qui sortait des qualifications.

Le court Suzanne-Lenglen ne porte pas chance aux Français, ce mercredi. Mais si la lourde défaite de Maxime Teixeira face à Roger Federer était attendue, celle concédée par Alizé Cornet face à Nuria Llagostera Vives est décevante (6-0, 6-2). La Niçoise, 78e mondiale, héritait d'une adversaire à sa portée. L'Espagnole lui rend 34 places au classement mondial, dix ans (31 ans contre 21) et n'avait remporté aucun match sur le circuit principal cette saison, avant son premier tour contre Pivovarova, qui suivait ses trois succès en qualifications.

Pourtant, hormis un premier jeu équilibré (8 minutes), la partie fut à sens unique. Cornet n'a jamais pu trouver de solution face au jeu de l'Espagnole, à la fois conquérante et sûre (26 coups gagnants, 17 fautes directes). La Niçoise, au ratio nettement négatif (7/21), a juste sauvé l'honneur, devant un public plus clairsemé que pour le premier match, et sans espoir.

«Le score ne reflète pas le match»
«Je n'étais pas tendue, bien moins qu'au premier tour, mais j'ai joué trop court tout le match, a reconnu Cornet, souriante et pressée puisqu'elle devait rejoindre Virginie Razzano pour jouer en double. Je me suis battue comme une diablesse mais sans pouvoir la gêner. Elle jouait un mètre à l'intérieur du court. Le score ne reflète pas le match, il y a eu beaucoup de jeux accrochés, d'ailleurs 1h26' pour 6-0, 6-2, c'est long.»

La Niçoise va maintenant aborder «pour le plaisir» la campagne sur gazon : «Ce n'est pas ma tasse de thé mais c'est juste trois tournois dans l'année. Ça va me permettre de travailler mon jeu vers l'avant. Je ne perds pas espoir de retrouver le top 50, ou le top 30. Si je me déclarais morte à 21 ans, ce serait triste. Si j'arrive à me lâcher en match, car je manque de confiance et de repères, ça peut le faire.»

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Roland Garros 2011
2nd round Cornet vs Llagosta Vives
Post match interview
(credits: rolandgarros.com)

http://www.rolandgarros.com/fr_FR/multimedia/2011-05-25/013027680f08000000fb.html

Birmingham - Déjà terminé pour Cornet

Le 06/06/2011 à 15:26 | Mis à jour le 06/06/2011 à 15:27

Balayée dès le deuxième tour de Roland Garros, Alizé Cornet n'est pas parvenue à se relancer à Birmingham. Au premier tour du tournoi anglais, la Française a été battue en deux sets par la Russe Alla Kudryavtseva (7-6 [2], 6-1). Cette dernière affrontera au prochain tour Casey Dellacqua ou Sandra Zahlavova.

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Cornet sortie

Le 21/06/2011 à 15:39

Alizé Cornet s'incline au 1er tour, lundi, face à Kateryna Bondarenko (7-5, 6-2).

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Cornet à la trappe

21/06 15h40 - Tennis, Wimbledon

Alizé Cornet n’a pas passé l’écueil du premier tour à Wimbledon.

La nuit n’a pas été bénéfique à Alizé Cornet. La Niçoise, qui était menée un set à zéro lorsque la pluie s’est invitée lundi, n’a pas pu renverser la vapeur contre Kateryna Bondarenko mardi (7/5 6/2). L’Ukrainienne jouera l’Italienne Errani au 2e tour.

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Cornet en chute libre !

Lundi 25 Juillet 2011, 18:40

Très mauvaise opération pour Alize Cornet à la publication du Classement WTA de ce lundi 25 juillet 2011. Battu dès le premier tour à Bad Gastein cette année alors qu'elle avait été demi-finaliste l'année dernière, la française laisse en effet échapper 129 points et recule ainsi de 15 places pour pointer désormais au 89ème rang mondial.
Alors qu'on avait perçu, en début de saison, une réelle amélioration dans le jeu de celle qui fut 11ème mondiale en février 2009, elle semble malheuresement être retombée dans ses travers. Il ne reste plus qu'à espérer qu'elle nous fasse rapidement mentir et pourquoi pas dès ces prochaines semaines sur les ciments américains.

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Cornet ne s'inspire pas de Tsonga

9/08 09h08 - Tennis

Sur RMC, Alizé Cornet est revenue sur sa séparation avec son entraîneur, Laurent Orsini, et son désir de poursuivre sa carrière sans coach pour le moment. Soit le même choix que Jo-Wilfried Tsonga, même si elle se défend de s'en être inspirée. «Oui et non. Quand un joueur marche bien et qu’il est tout seul, on y pense, c’est sûr. Surtout que je parle souvent avec Jo, on s’entend bien et il a l’air très épanoui en ce moment. Mais c’était juste une décision qui s’est imposée d’elle-même. Je n’ai pas eu à prendre exemple sur quelqu’un. J’espère, par contre, que ça me portera autant chance qu’à lui.»

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