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Gilles Simon (n°12) a besoin de cinq manches pour se défaire de Ricardo Mello, mercredi, au 1er tour (3-6, 6-3, 6-4, 3-6, 6-4 en 3h32'). Le Niçois retrouvera désormais Guillermo Garcia-Lopez, tombeur (6-3, 1-6, 7-6 [1], 4-6, 7-6 [4]) de son compatriote Daniel Gimeno-Traver.
Mieux physiquement, Gilles Simon domine (6-4, 6-7[4], 6-4, 6-3) Guillermo Garcia-Lopez et rejoint Juan Martin del Potro au troisième tour.
Gilles Simon va retrouver Juan Martin Del Potro.(REUT)
A New York, c'est vogue la galère pour Gilles Simon. Il rame, il rame mais il gagne. Lors de ses deux premiers tours, sa qualité de jeu suit son bulletin médical. Alors il souffre, s'accroche et attend que ça passe. Et ça passe comme ses douleurs au cou et au dos. Après cinq sets et 3h22' de match au premier tour, il s'impose (6-4, 6-7 [4], 7-5, 6-3 en 3h39') contre Guillermo Garcia-Lopez pour rejoindre Juan Martin Del Potro. Avec ses ampoules et ses cinq sets au tour précédent, l'Espagnol lui rend bien la pareille. Chacun ses maux.
Marathonien des courts, le 12e mondial joue la montre. Plus les jours passent, plus son cou le laisse tranquille et plus son jeu peut s'exprimer. Il n'est plus à la merci du jeu adverse. Faire mal jouer l'adversaire, c'est bien un temps, mais Gilles Simon commence à trouver le temps long. Moins raide, il attaque, son nombre de points gagnants (46 pour 50 fautes directes) et ses 11 aces donnent une note positif. « Il a fait des bonnes séquences d'attaque, notamment avec son coup droit. Aujourd'hui c'était beaucoup mieux, se réjouit son entraîneur Thierry Tulasne, porteur provisoire des raquettes de son protégé à la sortie du court n°11. Comme il n'a pas attaqué depuis un petit moment, il a raté quelques volées et quelques attaques. Mais je pense que ce match va lui donner confiance. »
«Je pouvais frapper plus fort, ce n'était pas toujours grandiose, mais je pouvais au moins faire ce que je voulais. Ca m'a fait beaucoup de bien. »
Quand le physique tient, l'esprit peut s'occuper du jeu et seulement du jeu. Si Gilles Simon manque de rythme, il retrouve le plaisir de frapper et de lâcher des coups droits. « Mes douleurs sont passées. J'espère que ça va durer. Je pouvais frapper plus fort, ce n'était pas toujours grandiose, mais je pouvais au moins faire ce que je voulais, savoure le Tricolore. Ca m'a fait beaucoup de bien. » C'est déjà ça. Il reste la constance et la fatigue. Face à Guillermo Garcia-Lopez, il aurait pu s'épargner la perte du deuxième set après avoir débreaké à 4-3. Avec plus de 7 heures en deux tours, il ne se ménage pas. Mais ses heures sup n'inquiètent pas son coach : « Il a passé pas mal de temps sur le court, mais il aime bien courir partout et faire des longs matches. » Il est servi à New York. Sophie DORGAN, à New York
Direction le troisième tour pour Gilles Simon à New York (Dur, Extérieur, Etats-Unis). Tête de série n°12, il a pour cela pris le meilleur sur l'Espagnol Guillermo Garcia-Lopez en quatre manches (6/4, 6/7, 7/5, 6/3). Simon tentera donc de se hisser en huitièmes de finales et il affrontera, pour ce faire, Juan Martin Del Potro qui s'est défait de Diego Junqueira.
Gilles Simon remporte son bras de fer (4-6, 7-6[5], 6-2, 7-6[3]) face à Juan Martin Del Potro. En huitièmes, il affrontera John Isner.
Gilles Simon a gagné un terrible bras de fer.(REUT)
«Je voudrais bien résister un peu moins et faire dix centimètres de plus.» Gilles Simon n'en démord pas, mais ce n'est pas certain que Juan Martin Del Potro soit d'accord avec cette affirmation. Pendant 3h57' sur le court Louis-Armstrong, l'Argentin vit un douloureux marathon de New York. Spécialiste du contre et des matches au long cours sur cet US Open, le Français lui propose un menu indigeste sous la chaleur et l'humidité. Avec sa grande carcasse de 1,98 m et ses 83 kgs, le vainqueur de l'édition 2009 entame un sprint. Avec ses 69 kgs et son 1,81 m mesuré à Cincinnati, le 12e mondial débute son marathon. Mais il s'en passerait volontiers. «C'est juste que je suis léger et que j'ai un bon timing, je dépense donc peu d'énergie quand je frappe, explique le 12e mondial. C'est souvent la frappe qui fait mal à l'image des joueurs qui se décalent. Ils s'épuisent. Quand je tiens la gamme revers pendant dix ou quinze frappes, je ne dépense aucune énergie. »
Plus puissant, Juan Martin Del Potro gagne son sprint au premier set. Meilleur contreur, Gilles Simon gagne son marathon en quatre sets (4-6, 7-6 [5], 6-2, 7-6 [3] en 3h57'). Mais le Tricolore ne fait pas que résister. Pour tenir, il s'offre des points gratuits au service (13 aces, 58% de premières balles, 77% de points gagnés derrière sa première). Pour tenir, il s'offre des accélérations en coups droits (15 coups droits gagnants et 47 points gagnants). Fort de ses bouffées d'oxygène sur son service, il peut s'occuper de l'engagement adverse. Mais la tension est palpable. «J'étais très tendu, je n'ai pas réussi une minute à me relâcher pendant le match, déplore le Tricolore. Au moment où ça commençait à être plus tranquille, je me suis de nouveau crispé. C'était physiquement très dur. »
«Il a beau marcher lentement et prendre du temps, je ne l'ai jamais vu s'effondrer physiquement. La dernière fois ici, il m'a enterré physiquement. J'étais donc bien content de finir en quatre sets. »
Pendant 1h43', il ne trouve pas la faille, n'arrive pas à retourner, mais le temps joue pour lui. « Mon retour était catastrophique aujourd'hui. Il ne servait pas spécialement fort au début de match. A 110-115 m/h, je ne retournais jamais jusqu'à 6-4, 2-2, constate Gilles Simon, heureux d'avoir empoché les points importants. La première balle de break, je trébuche tout seul en retournant. » En remportant le tie-break du deuxième set, il fait pencher la tour de Tandil. « Si je gagne ce tie-break, je pense que j'aurais pu gagner le match », constate l'Argentin. Plus les minutes passent, plus l'Argentin décline. Privé d'une de ses armes majeures, le service (6 aces, 59% de premières balles), il tangue, force et finit par rater (72 fautes directes) : « Ce n'est pas facile de revenir en Grand Chelem après une année sans compétition et de jouer des matches en trois sets gagnants avec ce temps. Aujourd'hui, il faisait très chaud. J'ai encore besoin de retrouver mon jeu, ma condition physique et mes esprits. Cela prend du temps. »
Fin tacticien, Gilles Simon s'applique à lui faire toujours jouer la balle de trop et il réalise son premier break à 2-2 au troisième set. Mais l'équilibre entre attendre la faute et rester agressif présente une frontière tenue. Après avoir breaké à 2-2 dans la quatrième manche, le protégé de Thierry Tulasne paie sa passivité, sauve trois balles de set à 5-4 (0-40) et doit batailler jusqu'à la fin pour terrasser le géant. Et il est temps : «Je ne suis pas persuadé que le temps joue pour moi contre lui. Il a beau marcher lentement et prendre du temps, je ne l'ai jamais vu s'effondrer physiquement. La dernière fois ici, il m'a enterré physiquement. J'étais donc bien content de finir en quatre sets.» Même pour un marathonien, onze heures de jeu en trois matches, ça pèse dans les jambes et dans la tête. Et en huitièmes, il va affronter un spécialiste du marathon, John Isner. Sophie DORGAN, à New York
Malgré de nombreuses occasions, Gilles Simon s'incline (7-6, 3-6, 7-6, 7-6) contre John Isner. L'Américain affrontera Andy Murray pour son premier quart en Grand Chelem.
Toute la frustration de Gilles Simon.(AFP)
En tennis, les points importants font la différence. C'est une évidence. Contre John Isner, c'est une question de survie. Gilles Simon en fait l'amer constat avec une défaite (7-6 [2], 3-6, 7-6 [2], 7-6 [4] en 3h39') en huitièmes de finale. « C'est un match que j'aurais pu gagner 100 fois, j'ai raté beaucoup d'occasions, beaucoup trop, déplore le 12e mondial, très affecté. Je ne m'attendais pas à en avoir autant face à un joueur avec un tel service. Quand on a des occasions, il faut les concrétiser. A l'arrivée, cela fait une défaite en quatre sets qui laisse des regrets. » A chaque balle de break, son regret ou presque. Et le premier set touche les sommets de la frustration.
« Si je gagne le premier, je pense que je peux terminer en trois sets», lâche le Français dépité. Après un set et demi, Gilles Simon breake autant l'Américain que ses trois premiers adversaires. Et ses quatre breaks le mènent à... 6-7, 3-1. Comment ne pas repenser à ce break d'entrée pour mener 2-0 ? « Quand tu le breakes, tu as toujours l'impression que tu viens de faire un exploit et qu'il ne faut absolument pas le lâcher. C'est ce qui est dur. » Comment ne pas ressasser ce service perdu à 6-5 ? «Je fais un jeu catastrophique. Son style de jeu n'aide pas, mais il y avait des occasions. Quand tu sers pour le set, ce n'est pas son service qui te gêne. Quand tu ne fais pas ton jeu, c'est de ta faute. »
«Je vais essayer d'oublier cette défaite. Ce n'est pas une très belle défaite, c'est le genre de match qui peut me rester dans la tête.»
Avec John Isner, les occasions se mesurent à sa performance au service : 5 aces dans les deux premiers sets, 21 dans les deux suivants. Mais il ne faut pas réduire le jeu de l'Américain à des dunks de basket. Avec ses grandes frappes en coup droit, sa prise de risques maximale sur les secondes balles adverses et sa bonne volée, il prend sa chance et son audace paie avec un premier quart de finale en Grand Chelem. Le 22e mondial met sous pression en permanence son adversaire et Gilles Simon se tend. « J'étais beaucoup trop tendu pour être bon dans les moments importants. Je n'ai pas très bien joué aujourd'hui. En revers, cela fait longtemps que je n'ai pas fait un match aussi mauvais, déplore le Tricolore. J'avais beaucoup de mal à frapper et à m'engager, cela lui laissait le temps de se décaler et de me faire bouger. »
Plus le temps passe, plus l'Américain prend des risques. Fatigué, il se rue au filet. Touché par une excellente tournée américaine, il sert de mieux en mieux. C'est un paradoxe de plus ! Il sauve deux balles de quatrième set à 5-4 sur un ace (26 au total) et sur une énorme deuxième balle kickée suivie d'une volée déposée. Après Nicolas Mahut à Wimbledon, John Isner assomme Gilles Simon. « Je vais essayer d'oublier cette défaite, avoue le 12e mondial. Ce n'est pas une très belle défaite, c'est le genre de match qui peut me rester dans la tête. » Avant la Coupe Davis à Cordoue, il devra éviter de jeter un oeil sur la feuille de stats : plus de breaks, plus de points gagnés, cinq breaks sur douze occasions et une défaite... - Sophie DORGAN, à New York
TULASNE : «LES REGRETS AU PREMIER SET» « Les seuls regrets se situent au premier set car Isner joue un peu moins bien et surtout sert moins bien. Gilles a deux fois le break d'avance, notamment à 6-5. Il se crispe à ce moment-là. En dehors du premier set qu'il doit vraiment gagner, il fait tout ce qu'il peut et son adversaire joue super bien sur les points importants. Il sort des aces sur les balles de break. Sur les balles de set, il fait service-volée. A la fin, il fatigue, mais il joue mieux car il fait service-volée. En faisant service-volée, il est encore plus difficile à jouer. Gilles n'a pas raté son match, son adversaire a vraiment été très bon. »
David Ferrer domine (6-1, 6-4, 6-1) Gilles Simon (6-1, 6-4, 6-1) et permet à l'Espagne de mener 2-0. Dans son histoire, la France n'a jamais pris une telle correction lors des deux premiers simples.
La préparation peut s'appuyer sur l'illusion, le terrain repose sur la réalité. Dans son arène sur terre battue, l'Espagne est beaucoup trop forte pour la France. Dans leur histoire en Coupe Davis, les Bleus n'ont jamais reçu une telle correction lors des deux premiers simples. En deux matches, ils grappillent dix jeux ! « Ils ont été supérieurs dans tous les secteurs du jeu. Ils ont été plus réguliers, ils ont été plus solides physiquement, ils ont mieux servi et ils ont raté moins d'attaques que nous, énumère Guy Forget. Il faut l'accepter même si c'est dur à avaler. » Après la démonstration (6-3, 6-0, 6-1) de Rafael Nadal contre Richard Gasquet, David Ferrer prend le relais et ne laisse pas tomber le bâton en infligeant (6-1, 6-4, 6-1) à Gilles Simon.
Pendant 2h07', le 5e mondial ne lâche rien. Dans la fournaise andalouse, le "poux" court, contre et agresse le Français. Il ne montre qu'un signe de faiblesse. Mais c'est après le match où il s'allonge sur le court pour recevoir des soins en raison de crampes. Fidèle à sa stratégie, il pousse le Français à toujours frapper la balle de trop. Une attaque, ça va. Deux attaques, ça commence à coincer. Trois attaques, ça craque. « En attaque ou en défense, quand il prend le jeu à son compte, il ne rate pas. Quand il est en défense, il ramène tout et il couvre super bien son terrain. Il n'y avait pas énormément de failles aujourd'hui (vendredi) dans son jeu, constate Gilles Simon. Il aurait peut-être fallu que j'arrive à me libérer davantage et à saisir mes quelques occasions, notamment au deuxième set. »
« A deux sets à zéro avec Zébulon en face qui saute partout et qui remet tout, cela commence à être très dur.»
D'entrée, le Français prend le mur. Groggy, il tente alors le tout pour le tout à 6-1, 1-0 avec un retour gagnant de coup droit pour débreaker. Il frappe plus fort et essaie de prendre le jeu à son compte. Pour faire un jeu, le Français semble condamner à l'exploit. Il doit chercher le K.-O. sur chaque frappe. Avec cette stratégie, il tient l'Espagnol au deuxième set où il décroche ses seules occasions du match (2 breaks sur 6). Mais le moindre faux-pas, notamment des volées faciles, se traduit par la perte de la manche.
« Quand je rate une attaque un peu facile, cela prend tout de suite beaucoup d'importance dans le jeu. La difficulté est qu'il ne faut rien rater, résume le 11e mondial. Je peux le faire au moins sur un set pour essayer d'amener le combat un peu plus loin. Mais aujourd'hui, je n'en ai pas été capable. » A deux sets à zéro, Gilles Simon perd le fil, le chemin est trop long et l'adversaire trop grand. « A deux sets à zéro avec Zébulon en face qui saute partout et qui remet tout, cela commence à être très dur », sourit le Tricolore qui ajoute lucide : « C'est un bilan sans appel. Ce sont deux points bien mérités pour l'Espagne. » La réalité du terrain ne trompe pas. Sophie DORGAN, à Cordoue
Gilles Simon, exempté de 1er tour en tant que tête de série n°3, a connu toutes les peines du monde pour se défaire de Yen-Hsun Lu, mercredi, lors de son entrée en lice. Mené 7-6 [4], 4-2, le Niçois s'en est finalement sorti en 2h54' (6-7 [4], 7-5, 6-4). Il retrouvera Matthias Bachinger en quarts de finale.
Gilles Simon a souffert pour se qualifier, il y a quelques secondes, pour les demi-finales à Bangkok (Dur, Intérieur, Thailande). Tête de série n°3, le Français s'est défait de l'Allemand Matthias Bachinger en trois manches (3/6, 6/3, 6/2) sur le Center Court. Simon tentera ainsi de se hisser en finale et il affrontera, pour ce faire, Andy Murray qui s'est défait de Grigor Dimitrov.
Malgré un début de match timide, Gilles Simon domine (3-6, 6-3, 6-2) Matthias Bachinger et rejoint Andy Murray en demi-finale.
Gilles Simon se défait de Matthias Bachinger pour rejoindre Andy Murray en demi-finale.(REUT)
Lors d'un match de Gilles Simon, il ne faut pas seulement regarder. Il faut aussi écouter. Contre Matthias Bachinger, le 12e mondial livre vendredi un direct commenté pour rejoindre (3-6, 6-3, 6-2 en 1h36') Andy Murray en demi-finale. Ronchon, il maugrée dès le début du match. Son énervement se concrétise par un break sur une double faute à 2-3. Très agressif, l'Allemand joue bien, prend sa chance sur chaque balle courte, varie avec quelques amorties bien senties et suit au filet. Le Français laisse éclater sa frustration à 2-4 sur un coup droit gagnant adverse. «Il est en "chaleur"», crie le Tricolore. Puis la raquette valse. Sur un ace, le 98e mondial clôt les débats du premier set.
Rouillé par son marathon de la veille, le Français se montre passif. Agacé, il accumule les erreurs. A 3-6, 2-1 (30-0), il lance : «Je suis rôti.» Frustré, il n'arrive pas à trouver la faille sur la première balle adverse (100% de points gagnés par l'Allemand jusqu'à 3-6, 2-1). Mais il faut se méfier des apparences. Gilles Simon connaît bien la musique. Il râle, il râle, mais il ne sort pas du match. Il débranche le son en milieu de deuxième set et attend la baisse de son adversaire. Cela ne tarde pas.
Bachinger craque
A l'approche du premier exploit de sa carrière, l'habitué des challengers (85e mondial, meilleur de sa carrière en août à 24 ans) se crispe et offre le break au protégé de Thierry Tulasne sur deux doubles fautes à 3-6, 4-3. Gilles Simon peut dérouler. Sur un coup droit gagnant, il conclut la deuxième manche et prend la mesure de son adversaire. Le direct n'est plus commenté malgré quelques petits commentaires à l'attention de son entraîneur, mais les points défilent...
Il retourne toutes les premières balles adverses et ne laisse plus respirer l'Allemand pour enchaîner sept jeux d'affilée et mener 4-0 au troisième set. Le vainqueur du tournoi en 2009 redevient le patron du terrain et ne lâche plus sa proie. Face à Andy Murray en demi-finale, le dialogue s'annonce intéressant. C'est la neuvième fois qu'ils vont discuter et l'Ecossais reste sur sept victoires. S.D.
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Sujet: Re: Articles tennistiques 2011 Sam 1 Oct 2011 - 15:04
Simon bute sur Murray
Tennis - ATP - Bangkok
Gilles Simon a de nouveau buté sur Andy Murray et s'est incliné samedi en demi-finales (6-2, 3-6, 6-2). Le Britannique jouera le titre contre Donald Young.
Gilles Simon a lutté mais a dû de nouveau céder contre Andy Murray.(REUT)
Gilles Simon a tout tenté mais il s'est encore cassé les dents sur Andy Murray. Pour la huitième fois en neuf confrontations, le Français a été dominé par l'Ecossais. Samedi à Bangkok, il s'est incliné pour la huitième fois consécutive face au n°4 mondial (6-2, 3-6, 6-2) et ne disputera donc pas une nouvelle fois la finale de ce tournoi où il s'était imposé en 2009.
Murray, lui, aura l'occasion de remporter ce titre pour la première fois après sa défaite en finale en 2005 face à Roger Federer. Il partira logiquement favori face à l'Américain Donald Young, tombeur de Gaël Monfils. Ce dernier l'avait battu à Indian Wells cette saison mais Murray avait pris sa revanche en huitièmes de l'US Open. Après le Queen's et Cincinnati, Murray vise un troisième trophée en 2011 et surtout la troisième place mondiale pour le moment détenue par Roger Federer, comme il l'avait confié après son dernier match. Simon ne trouve pas la clé
Samedi, il a fait forte impression dans la première manche. Prise de balle précoce, capacité à trouver des angles croisés en coup droit comme en revers avant de souvent accélérer en coup droit décroisé dans le contre-pied. Parti en trombe, il a débordé Simon qui ne parvenait pas à s'organiser. Mais le Tricolore a mis en route la machine à contrer. Profitant d'une baisse de régime de Murray, il a pris le deuxième set en mains (3-1), ne se frustrant pas après le retour de son adversaire (3-2) pour mieux enfoncer le clou (5-2, 6-3).
Mais il n'a pas tenu. Murray, qui avait commencé à lâcher prise dans les longs échanges, a retrouvé patience et énergie pour faire céder la défense de Simon. Au terme d'un match de très bonne qualité, l'Ecossais reste pour le Tricolore un casse-tête tant il maîtrise mieux ce jeu du chat et de la souris. Ils évoluent dans une filière similaire mais le n°4 mondial fait tout mieux et avec plus de puissance. Depuis sa victoire à Rome en 2007, Simon ne lui a d'ailleurs dérobé que deux sets en huit matches.
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Sujet: Re: Articles tennistiques 2011 Mar 4 Oct 2011 - 16:34
Simon sorti d'entrée
Tennis - ATP - Pékin
Gilles Simon n'aura pas profité longtemps de son séjour à Pékin. Le Français a en effet été dominé dès le premier tour, mardi, par Marcel Granollers (6-3, 6-1). Il aura fallu seulement 1h09 à l'Espagnol pour prendre le meilleur sur le Français, et s'offrir un deuxième tour face au Brésilien Thomaz Bellucci ou son compatriote Juan Carlos Ferrero. C'est surtout au service que Simon a pêché, avec seulement 40% de première balle et pas moins de 7 doubles fautes. Il a concédé au total cinq fois sa mise en jeu.
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Sujet: Re: Articles tennistiques 2011 Mar 11 Oct 2011 - 13:41
Shanghai: Simon ne fait qu'une bouchée de Montanes
Créé le 11/10/2011 - 15:24, modifié le 11/10/2011 à 15:25
Gilles Simon s'est montré expéditif, mardi, pour son entrée en matière au deuxième tour du Masters 1000 de Shanghai. Le Français a battu Albert Montanes en 57 minutes (6-1, 6-1). Il aura une belle carte à jouer en huitièmes de finale contre Ryan Harrison ou Matthew Ebden.
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Sujet: Re: Articles tennistiques 2011 Jeu 13 Oct 2011 - 13:46
Shanghai: Simon s'incline devant Ebden
Créé le 13/10/2011 - 14:10
Opposé à l'Australien Matthew Ebden, 124e joueur mondial issu des qualifications, Gilles Simon s'est incliné en huitièmes de finale du Masters 1000 de Shanghai. Passé à côté du premier set, le Niçois s'est ressaisi dans la seconde manche avant de s'incliner au terme d'une tie-break haletant conclu sur le score de 10-8 (6-2, 2-6, 7-6). Ebden a désormais rendez-vous avec Andy Murray. Pour Simon, la course au Masters est sans doute terminée.
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Sujet: Re: Articles tennistiques 2011 Jeu 13 Oct 2011 - 13:49
Simon, la mauvaise passe
Au lendemain de l'éviction prématurée de Jo-Wilfried Tsonga, Gilles Simon s'est incliné en huitièmes de finale du Masters 1000 de Shanghai, jeudi, écarté par l'Australien Matthew Ebden, 124e joueur mondial issu des qualifications (6-2, 2-6, 7-6). Une défaite qui intervient une semaine après une déconvenue cuisante essuyée à Pékin. La fin sans doute des illusions de Masters pour le Niçois. Rafael Nadal est également tombé, surpris par l'Allemand Florian Mayer (7-6, 6-3).
Gilles Simon n'a pas eu la tournée chinoise heureuse. (Reuters)
Quelques jours après son passage éclair à Pékin - une parenthèse refermée à peine ouverte par Marcel Granollers (6-3, 6-1) - Gilles Simon se devait de repartir de l'avant à Shanghai. "Même si mon match contre Granollers donne l'impression que c'est n'importe quoi, ça ne l'est vraiment pas. Quand tu as envie d'être ambitieux, d'être fort, tu prends des risques. Et quand ça fait trois ans que tu n'en as pas pris, c'est dur, avait confié le Niçois, alors en pleine crise de foi, sitôt éliminé du tournoi pékinois. Voilà, c'est peut-être trois ans de frustration qui sont ressortis sur un seul match. Fallait bien que ça arrive à un moment. Cela me permet de voir tout ce qu'il me reste à faire." Le chemin, manifestement, est encore long.
Expéditif mardi contre Albert Montanes, vainqueur 6-1, 6-1 en 57 minutes sur le Grandstand, Gilles Simon n'a pas su se montrer aussi autoritaire face à Matthew Ebden, un jeune Australien de 23 ans qui n'a pas froid aux yeux. Issu des qualifications, celui qui pointe aujourd'hui au 124e rang mondial a certes concédé son premier set du tournoi ce jeudi, mais c'est bien lui qui défiera vendredi en quarts Andy Murray. Une surprise pour l'Ecossais, sans doute, un soulagement peut-être pour Jo-Wilfried Tsonga.
Battu 6-2, 2-6, 7-6 en s'étant montré incapable de convertir l'une de ses cinq balles de break dans le premier acte et en ayant passé une première balle sur deux seulement tout au long du match, Gilles Simon - qui a toutefois eu le mérite de ne baisser pavillon que sur la cinquième balle de match de son adversaire dans le tie-break ultime (10- - a ainsi rendu un sacré service à son partenaire de sélection. Dixième à la Race, le Niçois était de ceux qui pouvaient inquiéter le Manceau, pour l'heure détenteur du dernier billet pour le Masters de Londres, en allant loin à Shanghai. Dans la matinée, Nicolas Almagro, le neuvième homme, avait déjà épargné "Jo" en tombant devant Andy Roddick (6-3, 6-4). Pour Gilles Simon comme pour l'Espagnol, le rendez-vous des maîtres semble désormais très lointain. En attendant, Matthew Ebden tient la performance de sa carrière... et Florian Mayer n'est pas près non plus d'oublier cette soirée chinoise !
Promis au terminus ce jeudi face au n°2 mondial, l'Allemand s'est sublimé pour dominer Rafael Nadal en deux manches (7-6, 6-3), réussissant le tour de force de ne pas offrir une seule opportunité de break au Majorquin. Avec 89% de points obtenus derrière ses premières balles, Mayer s'est montré souverain dans l'échange, tirant profit au mieux des largesses d'un Nadal encore finaliste la semaine passée à Tokyo et manifestement rincé. Plus que jamais l'Espagnol devrait militer pour une refonte du calendrier mondial. Un sujet délicat qui courait encore dans les coulisses de ce Masters 1000 de Shanghai hier...
Membre n° : 3 Nombre de messages : 14210 Inscription : 02/08/2007
Sujet: Re: Articles tennistiques 2011 Jeu 13 Oct 2011 - 14:51
Simon tombe de haut
Gilles Simon s'est incliné jeudi en trois sets (6-2, 2-6, 7-6 [10/8]) contre Matthew Ebden, un adversaire issu des qualifications. Le Masters s'éloigne.
Le Masters de Londres s'est éloigné à grands pas pour Gilles Simon. Alors que le Français avait une occasion parfaite pour compenser une partie de son retard sur Jo-Wilfried Tsonga afin de disputer l'ultime rendez-vous de la saison, l'actuel 11e à la Race a été éliminé jeudi en huitièmes du Masters 1000 de Shanghai par un joueur méconnu, Matthew Ebden. C'était la première fois qu'il rencontrait l'Australien, issu des qualifications et 124e mondial.
Une première inoubliable
Le Français se souviendra certainement de cette première, qui a duré 2h09, car Matthew Ebden s'est révélé être un adversaire redoutable. Du haut de ses 23 ans, l'Australien a fait montre d'une maîtrise surprenante en première manche, sauvant toutes les balles de break concédées (5) et en transformant deux sur trois (6-2). Dans la deuxième manche, les rôles se sont inversés. Gilles Simon a sauvé quatre balles de break, a pris deux fois le service à son adversaire pour recoller à un set partout (6-2). Ils se sont enfin livrés un sacré duel, qui s'est terminé au tie-break. L'Australien s'est rapidement détaché, pour mener 5-2. Gilles Simon est revenu une première fois, avant de concéder une première balle de match, à 6-5. Il la sauvera, comme les deux suivantes, mais il concédera la quatrième et dernière (10-.
Tsonga s'en sort bien
Ce revers de Gilles Simon fait les affaires de Jo-Wilfried Tsonga, qui, malgré son revers mercredi face à Kei Nishikori, reste solidement accroché à la 8e place à la Race. Le Manceau s'en sort bien puisque Robin Söderling (10e) soigne toujours sa mononucléose, l'Argentin Juan Martin Del Potro (12e) prépare exclusivement la finale de Coupe Davis contre l'Espagne et Nicolas Almagro a été éliminé en huitièmes par Andy Roddick dans la matinée.
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Sujet: Re: Articles tennistiques 2011 Mar 25 Oct 2011 - 6:54
St-Petersbourg - Simon tombe de haut
24/10/2011 - 19:15 - Mis à jour le 25/10/2011 - 00:09
Au 1er tour de St-Pétersbourg, Adrian Mannarino a battu Gilles Simon, 12e mondial et tête de série N.1 en Russie, 2-6, 6-4, 6-4. Une mauvaise affaire pour le Niçois en quête de points ATP pour se qualifier pour la Masters Cup. Le 86e mondial affrontera Ernests Gulbis ou Lukas Rosol au prochain tour.
Gilles Simon a vécu une sale soirée. Parti à St-Pétersbourg où il est tête de série N.1, le Niçois a été cueilli à froid dès son match d'entrée par une vieille connaissance, Adrian Mannarino. Le 86e mondial a dominé son aîné en trois manches (2-6, 6-4, 6-4) et fauche le 12e mondial en plein sprint dans la course à la qualification en Masters Cup. Doublé par Janko Tipsarevic, vainqueur à Moscou de son 2e titre de la saison, Simon, 11e joueur du classement Race établi sur la saison, sait désormais qu'il ne pourra pas revenir sur la 10e place, ni même sur la 9e tenue par Nicolas Almagro.
Après six défaites de suite sur le circuit principal depuis Wimbledon, Mannarino retrouve des couleurs en battant son premier joueur du Top 20 depuis... Gilles Simon cette saison au Queen's, où ce dernier a été contraint à l'abandon au 2e tour. Le Niçois a eu pourtant 13 balles de break à St-Pétersbourg, mais n'a réussi à prendre la mise en jeu adverse qu'une seule fois sur les huit dernières occasions. Opposé au 2e tour au vainqueur du match Gulbis/Rosol, Mannarino a l'occasion de bien finir la saison mieux qu'il ne l'a commencée. De son côté, Gilles Simon a tout le temps pour se rendre à Valence en Espagne pour préparer l'avant-dernier tournoi de la saison régulière, avant le Masters de Paris-Bercy, pour tenter le tout pour le tout.
Gilles Simon (n°5) s'incline au 1er tour, lundi à Valence, face à Nikolay Davydenko (6-4, 4-6, 6-3 en 2h14').
Mauvaise affaire pour Gilles Simon. (EQ)
Mené un set et un break (3-1), le protégé de Thierry Tulasne a aligné trois jeux de rang (4-3), s'emparant pour la première fois de l'engagement adverse dans le sixième jeu. Avant de doubler la mise, dans le dixième, pour revenir à hauteur (6-4).
Rapidement mené 3-1 dans la manche décisive, le Français, qui n'avait plus perdu face au Russe depuis 2007 - sa seule défaite à ce jour pour cinq victoires -, voit s'éloigner un peu plus le Masters. Actuellement 12e (avec 2155 points), il est toujours en mesure de se qualifier, mathématiquement parlant. Mathématiquement seulement ? Davydenko, de son côté, retrouvera désormais Nicolas Mahut, issu des qualifications, ou Guillermo Garcia-Lopez. Rédaction
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Sujet: Re: Articles tennistiques 2011 Sam 12 Nov 2011 - 17:46
Simon tombe aussi
Tennis - ATP - Bercy
Comme les quatre autres Tricolores qui avaient joué plus tôt, Gilles Simon a été éliminé du Masters 1000 de Bercy par Juan Monaco (6-4, 6-0). L'Argentin rejoint Mardy Fish en huitièmes de finale.
Gilles Simon quitte avec une grimace le central de Bercy : en quête de sensations, il a perdu contre Juan Monaco, mercredi.(EQ)
Gilles Simon n'a jamais trouvé la faille. Opposé à un joueur argentin qui arrivait en pleine confiance, le Tricolore a coulé à pic. Battu en deux sets (6-4, 6-0 : le même score qu'en 2010 au 2e tour face à Söderling), le 14e joueur mondial a été emporté par le très bon niveau de jeu de l'Argentin mais aussi par ses 30 fautes directes et ses 48% de premières balles. En manque de confiance ces dernières semaines, le Tricolore s'est englué dans le jeu d'un adversaire qui arrivait, lui, débarrassé de doutes.
Finaliste dimanche dernier à Valence, Monaco a confirmé mercredi les victoires acquises la semaine passée sur des joueurs comme Almagro, Ferrero et surtout Ferrer. Solide sur ses bases, il a joué au mur face à Simon en neutralisant toutes les attaques, en contrant toutes les accélérations et en profitant de la moindre balle courte pour faire la différence. On a quasiment envie de dire qu'il a fait du Gilles Simon des grands jours en poussant l'adversaire à la rupture. Le protégé de Thierry Tulasne de son côté a évidemment payé son manque de repères, lui qui depuis sa demie à Bangkok n'a gagné qu'un seul match en cinq tournois. Tout ce que Simon a tenté est parti dans les bâches ou le filet, toutes ses bonnes intentions offensives ont fini soit contrées soit à la faute. Il y a des jours comme ça où rien ne va.
«Finir sur un 6-0, ce n'est pas ce que je souhaitais pour finir ma saison.»
Si les fautes grossières parfois commises ont également provoqué quelques sifflets dans le public, les spectateurs parisiens ont globalement essayé de lui sortir la tête de l'eau par des encouragements. Pour les remercier, Simon n'a pu que leur envoyer un pouce levé, timide, à sa sortie du court. Tellement conscient que le spectacle offert n'avait pas été à niveau de leurs attentes. Et encore moins des siennes. «Finir sur un 6-0, ce n'est pas ce que je souhaitais pour finir ma saison. Mais je n'ai pas été bon tout simplement alors que lui, oui. Je n'ai jamais trouvé le rythme, je ne savais pas non plus comment m'y prendre. La surface est très lente alors la balle revient tout le temps. Il a été plus patient que moi donc voilà, j'ai fait 30 fautes et lui non», a ainsi confié le Français. Simon a décidé de prendre des mesures drastiques pour donner une nouvelle dimension à son jeu mais pour l'instant il reste dans la phase la plus douloureuse de la mutation. Carole BOUCHARD, à Bercy
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Sujet: Re: Articles tennistiques 2011 Dim 27 Nov 2011 - 13:32
SIMON BLESSÉ
Publié le 22-11-11 à 13:30
La troisième journée des Interclubs a été fatale à Gilles Simon. Après un succès aisé en simple face au Belge du TC Porte du Hainaut Yannick Reuter, le numéro un du TC Paris s'est blessé samedi à l'aine lors de l'échauffement du double.
Après des soins, le Parisien est revenu sur le court. Mais après une vingtaine de minutes, il a préféré abandonner.
Gasquet, Simon, Clément, Llodra à l’Open de tennis de Caen (Normandie) du 10 au 13 décembre 2011
5 décembre 2011
Gilles Simon (n°12 au classement ATP), Richard Gasquet (n°19), Michael Llodra (n°47) et Arnaud Clément (n°153) au Zénith de Caen (Normandie) : la capitale du Calvados accueille du 10 au 13 décembre 2011 de belles têtes d’affiche du tennis français.
En effet, le Tennis Club de Caen, et son jeune président Aristide Olivier, a réussi son superbe pari : proposer un tournoi homologué à l’abord des fêtes de fin d’année. Et pour les joueurs, c’est l’opportunité de se préparer, sur un green set, avant de s’envoler en direction de Melbourne pour l’Open d’Australie (à compter du 16 janvier 2012).
L’originalité de cet Open de Caen est aussi d’offrir un tournoi amateur. Lors des phases de qualification, plus de 500 participants étaient inscrits (soit 900 matchs). Cet engouement populaire pour la balle jaune doit aussi se vérifier dans les gradins du Zénith de Caen capables de recevoir jusqu’à 4 500 spectateurs chaque jour avec des tarifs attractifs. Assurément, le pari du TC Caen est bien en passe d’être gagné !
Le programme : - samedi 10 décembre à partir de 14 h : 1/8e de finale - dimanche 11 décembre à partir de 14 h : 1/4e de finale - lundi 12 décembre à partir de 18 h 30 : 1/2 finale - mardi 13 décembre 20 h : finale
Tarifs : Places en vente sur le réseau Citylive www.citylive.fr Placement libre assis: Public 8€ et 6 € - de 12 ans ; CE : 6 €. Placement numéroté: Public 11,50 € et 8,50 € - de 12 ans. Pass de 4 jours : 21 € www.tennisclub-de-caen.com
Le tennis de luxe retourne à Bilbao pour le IV Masters de Tennis
Rédaction - 07/12/2011
La quatrième édition du IV Masters Tennis Bilbao-Bizkaia accueillera des joueurs renommés tels que David Ferrer, Feliciano López, Nicolás Almagro, Gilles Simon, Milos Raonic et Tommy Robredo.
Le tennis de luxe retourne à la capitale biscayenne avec le IV Masters Tennis Bilbao-Bizkaia auquel participeront des joueurs tels que David Ferrer, Feliciano López, Gilles Simon et Miles Raonic.
Le tournoi se disputera au pavillon Bilbao Arena de Miribilla, du 12 au 15 décembre pour la première phase, et du 16 au 18 décembre, pour la phase finale.
Avec 15 000 personnes dans le public, la quatrième édition du IV Masters Tennis Bilbao-Bizkaia accueillera des joueurs renommés tels que David Ferrer, Feliciano López, Nicolás Almagro, Gilles Simon, Milos Raonic et Tommy Robredo.
Le IV Masters de Tennis Bilbao est l'événement de tennis le plus important de l'année dans la capitale biscayenne et montre un tennis de très haut niveau. Cette année, le tournoi se jouera sur une piste noire, pour la première phase comme pour la phase finale.
"On nous avait commenté la possibilité d'avoir une piste noire et, au début, l'idée nous a fait un peu peur, mais finalement nous avons accepté", a souligné Alberto Larrondo, un des organisateurs du tournoi.
"Ainsi, nous avons communiqué aux joueurs de porter des vêtements avec des couleurs claires pour que la visibilité soit parfaite", a assuré Larrondo.
Devant plus de 4 000 personnes au Zénith de Caen, le n°12 mondial Gilles Simon s’est imposé en deux sets face à Richard Gasquet, sept places derrière lui au classement ATP, ce mardi 13 décembre.
Il lui avait fallu trois sets pour venir à bout d'Arnaud Clément hier. Il ne lui en a fallu que deux ce mardi soir pour prendre le meilleur en finale du 5e Open de Caen, le premier au Zénith, sur Richard Gasquet. Le n°12 mondial s'est imposé en deux sets (7-5, 6-4). Si les deux joueurs ont peiné pour se départager dans le premier, le deuxième a vite tourné à l'avantage du natif de Nice qui s'était mis à l'abri en menant 4 jeux à 0, avant de gérer son avance.
Gilles Simon a profité de la cérémonie de clotûre pour donner rendez-vous au pubic caennais l'année prochaine. Richard Gasquet lui a ensuite emboîté le pas. "Je ne dirai pas que je reviendrai si ce n'est pas pour revenir", affirmait le Biterrois avant d'ajouter : "je joue partout dans le monde et je peux vous assurer que ce tournoi à Caen est très bien organisé, d'autant qu'il nous permet de bien préparer l'Open d'Australie en janvier". Gilles Simon semblait tout aussi élogieux : "même sur des tournois du grand chelem, il nous arrive de jouer devant peu de monde. Alors là, être sur le court devant 4 000 personnes, c'était génial".
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- a ainsi rendu un sacré service à son partenaire de sélection. Dixième à la Race, le Niçois était de ceux qui pouvaient inquiéter le Manceau, pour l'heure détenteur du dernier billet pour le Masters de Londres, en allant loin à Shanghai. Dans la matinée, Nicolas Almagro, le neuvième homme, avait déjà épargné "Jo" en tombant devant Andy Roddick (6-3, 6-4). Pour Gilles Simon comme pour l'Espagnol, le rendez-vous des maîtres semble désormais très lointain. En attendant, Matthew Ebden tient la performance de sa carrière... et Florian Mayer n'est pas près non plus d'oublier cette soirée chinoise !
