«Je veux tout voir ce que j'ai raté la première fois!»

Sharapova confirme sa visite à Montréal.

On ne pourra pas accuser Maria Sharapova de manquer de sérieux dans ses intentions de visiter Montréal cet été.

Après une première annonce sur Internet au début de juin, la sportive la plus médiatisée au monde a reconfirmé hier, de vive voix cette fois, sa présence à la coupe Rogers, qui se tiendra du 26 juillet au 3 août sur les courts du stade Jarry.

À la demande d'Eugène Lapierre, la troisième joueuse à la WTA a accepté de participer à un appel conférence avec les médias montréalais en direct de Wimbledon. Après les annulations en rafale d'il y a deux ans, dont celle de Sharapova, Lapierre voulait assurer les détenteurs de billets du sérieux des joueuses.

Comment s'est comportée la blonde de six pieds trois pouces, âgée de 21 ans, au bout du fil? Elle n'aurait pas pu être plus gentille.

«D'abord, j'ai décidé d'établir mon calendrier plus intelligemment en disputant moins de tournois, afin de limiter les blessures. Mais comme je voulais jouer une fois entre Wimbledon et les Jeux olympiques de Pékin, j'ai choisi Montréal, après tous les bons mots que les filles m'ont répétés à propos du tournoi», a-t-elle commencé par expliquer.

Sharapova est venue une fois à Montréal. Elle avait atteint les quarts de finale en 2004, à sa première sortie après avoir gagné le tournoi de Wimbledon au jeune âge de 17 ans.

Elle déplore le fait qu'elle n'avait pas eu beaucoup de temps pour découvrir la ville, étant prise dans un tourbillon.

«Je compte bien me reprendre pour tout voir ce que j'ai raté, en espérant que ce sera la bonne occasion pour remporter la finale», a ajouté Mademoiselle personnalité.

Wimbledon toujours aussi magique

De bonne humeur, Maria Sharapova a abordé plein de sujets.

Maintenant qu'Ana Ivanovic (la championne de Montréal en 2006) est devenue numéro un grâce à son titre aux Internationaux de France il y a quelques semaines, voit-elle une nouvelle rivalité naître?

«Il ne fait pas de doutes qu'Ana appartient à la catégorie des grandes joueuses. Avant cette victoire, elle avait atteint quelques finales au grand chelem. Nous voulons toutes être au sommet. Quant à la rivalité, cela permettra au grand public de voir du tennis plus intéressant», a-t-elle commenté.

Sharapova peut faire sa «comique» parfois, comme lorsqu'il a été question de son jeu à deux jours de Wimbledon.

«J'ai un coup droit et un revers aussi !», a-t-elle dit à la blague.

Dans les faits, elle n'a pas joué depuis Paris, et a même sauté les étapes préparatoires sur gazon.

«J'ai par contre passé la dernière semaine à Wimbledon pour m'ajuster aux surfaces plus rapides et aux rebonds plus bas. Jusqu'ici, tout va bien en ce qui concerne mon jeu et ma santé (lire les blessures)», a-t-elle précisé.

Wimbledon apporte à la Russe une motivation particulière.

«C'est effectivement toujours très spécial de revenir sur le site où tu as obtenu ton premier succès au grand chelem», a mentionné celle qui en totalise trois en incluant l'Omnium des États-Unis en 2006 et les Internationaux d'Australie en janvier dernier.

«Mais Wimbledon a toujours été particulier de toute façon, depuis mes premières visites à 14 ou 15 ans sur le court numéro 19. C'est une affaire de tradition, faut-il croire», de conclure Sharapova.

http://www2.canoe.com/sports/nouvelles/archives/2008/06/20080622-080402.html

Sharapova: «J'ai appris de mes erreurs»

Vincent Brousseau-Pouliot
La Presse

L'humour permet de se faire pardonner bien des choses. Et Maria Sharapova compte justement se servir de son sens de l'humour afin d'amadouer les amateurs de tennis québécois.

Après quatre ans d'absence au Canada, la grande vedette du tennis féminin participera à la Coupe Rogers du 26 juillet au 3 août au stade Uniprix.

Comme tournoi préparatoire aux Jeux olympiques de Pékin, Sharapova a choisi le tournoi montréalais au détriment de deux tournois en Californie, où elle réside pourtant depuis deux ans. «Grâce aux Jeux olympiques, je serai enfin à Montréal», a-t-elle dit à la blague hier au cours d'un appel conférence avec les médias canadiens.

Plus sérieusement, Sharapova a expliqué avoir arrêté son choix sur la Coupe Rogers en raison du calibre de jeu. Sept des 10 meilleures joueuses au monde devraient participer à la Coupe Rogers. «Je ne voulais pas disputer le tournoi olympique sans préparation et la Coupe Rogers sera un tournoi très relevé», dit-elle.

Et sa réputation de déclarer forfait à la dernière minute en raison de blessures? Encore une fois, Sharapova a répliqué avec son arme la plus efficace: son sens de l'humour. «Malheureusement, je ne peux pas prédire l'avenir! Je suis en santé présentement, mais il ne faut pas oublier que c'est le moment de l'année où il y a le plus de blessures. Nous sommes au milieu de la saison, après deux Grands Chelems presque consécutifs (Roland-Garros et Wimbledon), et nos corps montrent des signes de fatigue. Heureusement, j'ai mieux choisi mon calendrier cette année. J'ai appris de mes erreurs», dit-elle.

Des résultats ordinaires ici

En deux participations à la Coupe Rogers, en 2003 et 2004, Sharapova n'a jamais atteint les quarts de finale au Canada. Des résultats ordinaires pour celle qui a déjà occupé le premier rang mondial.

Hier, l'athlète de 21 ans a confié ne pas avoir non plus de souvenirs mémorables de Montréal à l'extérieur du terrain. «Pour être honnête, je n'ai pas beaucoup de souvenirs de Montréal, dit-elle. Mais j'ai entendu tellement de compliments sur la Coupe Rogers. Croyez-moi, je connais la qualité du tournoi même si je n'ai pas joué au Canada dernièrement...»

Wimbledon, son préféré

Malgré ses compliments à l'égard de la Coupe Rogers, Sharapova a le même tournoi préféré depuis son enfance: Wimbledon, qu'elle a remporté en 2004, à l'âge de 17 ans. «Depuis que je suis toute petite, Wimbledon a une signification spéciale pour moi, dit-elle. Quand j'ai gagné le tournoi, j'ai senti toute la tradition du tournoi. Vous méritez alors le respect des amateurs de tennis.»

Cette année, Sharapova est troisième tête de série au tournoi de Wimbledon, qui s'amorce demain au All England Club de Londres. «J'ai eu une excellente semaine à l'entraînement, dit-elle. J'ai pu pratiquer quelques petites choses afin d'améliorer mon jeu sur gazon.»

Depuis sa défaite en huitième de finale à Roland-Garros, Sharapova a cédé son premier rang mondial à la Serbe Ana Ivanovic, favorite pour remporter Wimbledon. «Je ne connais pas beaucoup Ana sur le plan personnel, mais c'est une très bonne joueuse, dit Sharapova. Je n'étais pas surprise qu'elle ait gagné son premier tournoi du Grand Chelem à Roland-Garros car elle avait de l'expérience, ayant déjà atteint la finale à deux reprises. Ce sera une fin de saison intéressante car plusieurs joueuses auront la chance de terminer au premier rang mondial.»

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Sharapova : "Je ne vis pas avec des regrets"



Maria Sharapova retrouve avec plaisir le gazon de Wimbledon. C'est ici à Londres que la Russe a remporté son premier tournoi du Grand Chelem, à 17 ans. Elle nous raconte son histoire d'amour avec le temple du tennis.

Wimbledon est un tournoi où vous avez de bons souvenirs...

J'aime l'Angleterre et mes plus grand succès ont eu lieu dans ce temple du jeu. Cela ramène pleins de souvenirs à la surface de revenir... Même lors de mes années juniors, j'aimais bien venir en tournoi et puis la vie me plaît ici, il y a du style... Je crois que c'est pour cela que les joueurs sont pressés d'être à l'année prochaine.

Vous avez le temps de sortir du village ?

Pas vraiment, je reste dans l'enceinte du tournoi pendant les deux-trois semaines où je joue Wimbledon. J'ai mes restaurants favoris et si j'ai le temps je fais du shopping en ville. Je vais souvent chez Topshop, c'est ma boutique favorite. Je deviens folle lorsque j'entre là dedans.. généralement, j'y vais à la fin de mon séjour...

Quelle est la différence entre Wimbledon et les autres tournois ?

En un mot, c'est la tradition. En plus, les spectateurs sont très polis. A l'Open d'Australie, les gens vont et viennent, il y a du bruit et beaucoup d'encouragements. Ici on vous traite avec respect. On vous traite comme si l'événement était spécial et il l'est. Même quand je jouais le tournoi junior je ressentais cela. Le gros plus c'est que c'est aussi toujours plein, c'est vraiment cool et cela montre la passion des Anglais pour le tennis.

Vous avez gagné trois Majeurs, quelle est votre plus belle victoire ?

Ce sera toujours Wimbledon car c'était mon premier et c'est venu comme un choc. Wimbledon a toujours été mon tournoi favori mais gagner en étant une jeune fille cela m'a un peu prise par surprise. Je ne m'attendais pas à ce que cela soit si excitant.

Vous êtes la première russe à avoir été n°1 mondiale. Comment expliquez-vous la réussite des joueuses russes sur le circuit ?

C'est intéressant. Il y a quelques années, les Russes étaient plusieurs dans le top 50 maintenant, nous sommes plusieurs dans le top 10. Il ne faut pas généraliser car chacune a suivi sa route et nous jouons pas toutes de la même manière. Plusieurs sont parties en Espagne, j'ai choisi les Etats-Unis, ce n'est pas comme si nous venions toutes du même endroit et que nous ayons appliqué la même recette. Je crois que notre point commun c'est la détermination. Nous avons travailler très dur et c'est génial d'en récolter les fruits.

Comment expliquez-vous les difficultés du tennis anglais ?

Si je le savais, la fédération m'engagerait sur le champ... Il y a très peu de différence entre l'échec et le succès. La différence c'est de gagner des matches. L'argent ne sert à rien, il faut prendre du temps...



Kim Clijsters et Justine Henin ont pris leur retraite. Le succès est-il usant ?

Nous commençons à jouer très jeune et ce n'est pas un métier comme un autre... Alors que les filles vont au collège puis se trouvent un travail vers 23 ans. 23 ans c'est cela ? Je ne sais pas exactement mais au tennis, à cet âge là vous devez être au maximum. Cela fait si longtemps que vous mettez votre âme dans le tennis et que vous avez réalisé que cela doit être votre priorité qu'au bout d'un moment vous réalisez que la vie est différente, qu'il y a d'autres choses... Et puis, jouer au tennis fatigue très vite votre corps...

La vie de joueuse pro n'est pas un long fleuve tranquille ?

C'est un bon job mais vous voyagez 10 mois sur 12, loin de votre famille et de vos amis. Si vous avez envie de vous éclater ce n'est pas l'idéal car tous le monde veut voyager sans se dire que demain il faudra se lever tôt pour aller s'entraîner sur un court. Et puis, vous avez aussi parfois envie de faire des choses sans vous dire que cela pourrait affecter votre rendement sur un court...

Avez-vous planifié votre retraite ?

Je ne sais pas pour le moment, je ne me donne pas un programme en me disant qu'à tel âge je ferais ceci ou cela. La compétition me manquera mais je crois que je ne jouerais plus à 30 ans. Aujourd'hui, c'est l'envie d'être la meilleure qui me pousse à me lever le matin. J'aime essayer de gagner mais quand j'en aurai assez, je me concentrerais sur ma vie.

Vous avez beaucoup de supporters, comment gérez vous cela ?

On ne sait jamais ce qui va se passer, c'est une surprise d'être reconnue partout dans le monde. Cela ne me fatigue pas car donner un autographe c'est seulement 10 secondes et je peux toujours mener une vie normale et voyager. Je crois juste que ma vie est un peu différente de celle des autres jeunes de 21 ans...

Avez-vous déjà regretté une déclaration publique ?

Je ne vis pas avec des regrets. Je suis moi même et je n'hésite pas à dire ce que je pense même si bien sûr il faut penser avant de s'exprimer. Je crois que l'on ne peut pas faire l'unanimité et en plus cela ne serait pas marrant.

Vous avez mis en place la Fondation Maria Sharapova, quel en est le but ?

Gamine, je rêvais de jouer au tennis. Il y a beaucoup d'enfants qui ont des rêves mais qui ne pensent pas pouvoir les réaliser. J'ai envie de leur donner les moyens de réussir quel que soit leur rêve. Si c'est d'avoir 20 sur 20 à l'école ou d'être professionnel de tennis, peu importe...Donc je suis devenue ambassadrice des Nations Unies. Cela permet de donner une voix aux gens comme ceux de Chernobyl où je me rendrai cette année afin de voir les écoles et les hôpitaux qui y ont été construits par la fondation. En gros, je veux trouver des manières pour aider les gens autant que je le peux.

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Sharapova a récupéré



Pour son premier match depuis son élimination à Roland Garros, Maria Sharapova a impressionné devant Stéphanie Foretz. Venus Williams a eu plus de mal à se mettre en route.

par Bastien Aubert, le 24-06-2008

Sharapova impressionne

Deux séances d’entraînement par jour et une furieuse envie de rattraper sa sortie de route prématurée à Roland Garros. Maria Sharapova avait annoncé la couleur avant d’entrer en lice à Wimbledon devant Stéphanie Foretz et sa préparation en amont a porté ses fruits. La Française, rapidement mise sous pression, a compris très tôt qu’elle ne pourrait pas rivaliser. En à peine une heure de jeu, elle a rendu les armes en toute logique. Breakée d’emblée sur un retour long de ligne de la Russe, Foretz courrait toujours après le score sans jamais le rattraper. Elle débloquait son compteur après une petit quart d’heure mais ses espoirs de retour étaient vains car en face, c’était du très haut niveau. Croisés ou en longs de la ligne, tous les coups de fond de court de la Sibérienne faisaient mouche.

La tenante carbure au diesel

Après 40 minutes de jeu, elle menait largement (6/1 2/1) et n’était plus rejointe même si elle avait du mal à boucler la partie à cause d’un sursaut d’orgueil de son adversaire (6/1 6/4). Au deuxième tour, elle sera opposée à sa compatriote Alla Kudryavtseva, qu’elle avait archi-dominée à Roland Garros en 2007. Avant elle, Venus Williams avait ouvert son tournoi sur le Centre Court mais de moins belle manière. Menée par un break par Naomi Cavaday, elle attendait le jeu décisif pour enfin sortir son meilleur tennis. La suite se passait de commentaires, la tenante du titre déroulant avec une belle marge de progression (7/6 6/1). Une autre Britannique, Anne Keothavong, l’attend au deuxième tour. Parmi les autres têtes de série, aucune grosse surprise n’est à signaler. Flavia Pennetta a surclassé Julia Vakulenko (6/3 6/4) alors que Sania Mirza, qui revient d’une opération au poignet, a eu plus de difficultés devant Catalina Castano (6/7 6/3 6/4).

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Stylish Sharapova keeps it short



Maria Sharapova arrived on court in a white tuxedo-style top and shorts and took just over an hour to tuck away her first round rival Stephanie Foretz in 75 minutes.

Sharapova's outfit threatened to be the biggest talking point of the Court One clash as she eased through a totally one-sided opening set but Foretz found her feet in the second set and Sharapova had to work a bit harder to seal a 6-1, 6-4 victory.

Initially Sharapova prospered against an apprehensive opponent, who had won just two matches in seven previous appearances at Wimbledon. The Russian broke serve at the first opportunity and coasted into a 3-0 lead.

But even at that stage Foretz, who was wearing tinted glasses, was prepared to punish the Sharapova second serve, although her own delivery too often left itself open for thumping returns and the opening set was over in 27 minutes.

Foretz did better by prolonging the rallies in the second set, when Sharapova did not respond in the expected fashion by coming forward in a bid to shorten them. So Foretz edged herself more and more into the match, but without managing to make much impression on the score.

Sharapova held off that renewed challenge to break for a 5-2 lead after a lengthy game of four deuces and a routine victory seemed to be just minutes away.

But Foretz, spectacles glinting in the sun, started hitting deeper and harder and Sharapova's bid to wrap up the match was foiled as the French woman closed the gap to 5-4.

But, to the relief of her followers, Maria served out safely at the second time of asking, aided by some errors from the other side of the net. Kisses were blown to all areas of No.1 Court and the third seed's title chase was safely under way.

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How do you clothe a girl like Maria?



But enough about the tennis. Let's talk clothes. That was how it seemed to Maria Sharapova following her first round win over Stephanie Foretz. There were just a couple of token queries on the subject of the match, and then an avalanche on the main business of the day – her much-vaunted "tuxedo" outfit. Was it comfortable? Had she worn it in practice to see how it felt? What inspired it? And so on. Sharapova started laughing.

"I love how 10 of the questions are about what I'm wearing," she smiled. "It's amazing. Every time I get asked about it, it still amazes me."

Oh, all right then. So, for the record, she was of course pleased with her start to the Championships.

"It was definitely good, considering I didn't have a warm-up tournament like I usually do," she said. "My main goal was just to get a feel for the grass as fast as I could and get the job done." That was exactly what she did on No.1 Court – and she did it wearing a waistcoat and shorts ensemble, with the waistcoat part just a touch translucent.

"I do usually test-wear clothing for one practice, but I do it seven months or so ahead because the process takes quite a long time," she disclosed. "It's pretty far in advance. I mean, I already know what I'm wearing in 2009.

"I love tuxedo jackets and menswear in general, a bit baggier and wider. I loved when the whole wide-legged pant trend set in. I didn't wear my pants on court today but they're very wide-legged and high-waisted. You can't go wrong with that trend. I'm tall and I can pull those things off. It was fun to do because there's only so much you can do with white. So I thought why not do shorts this year? I've never done it at a Grand Slam, and if there's one place to do it, it's here."

So, as a dedicated follower of fashion, what did Sharapova make of the white double-breasted raincoat worn by Serena Williams and the cream cardigan sported by Roger Federer in their opening matches yesterday? Alas, the number three seed had not seen the raincoat. But she judged the cardigan "classic and beautiful".

"I think the attention paid to what we're wearing is great," said Sharapova. "Tennis is not a sport where you have to wear uniforms. I can have a voice in what I like, what I don't like, my inspirations, the colours I feel like wearing. I've loved fashion since I was very young. I've loved creating things. I loved working with thread and needles, making things."

She enthused at great length about the inventiveness of her clothing supplier Nike, although she was prepared to admit that there are bumps along the way.

"Numerous times – tons of times – they've brought in a concept to show me where I shook my head," she conceded.

Anything else we need to talk about? Ah yes. The football. Russia are in the semi-finals of Euro 2008, and Sharapova is thrilled.

"I'm so proud," she said happily. "It was nerve-wracking in the quarter-final against Holland when it was tied with five minutes left. I thought we'd had it. But we're brave. We're strong. We work hard at what we do. Good things happen."

If that is Sharapova's own game plan for the fortnight, then it sounds a good one.

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Maria Sharapova jouera en smoking à Wimbledon !

Maria Sharapova va-t-elle révolutionner l'étiquette du plus vieux tournoi de tennis au monde ?

L'équipementier de la joueuse de tennis russe, Nike, a décidé de la vêtir d'un smoking sportif blanc, pour ses entraînements d'avant-match sur les pelouses de Wimbledon. La numéro 2 mondiale dispute ce tournoi en short, pour la première fois, et non pas avec sa célèbre jupette.

Espérons que cette nouvelle tenue lui portera chance...A Roland Garros, elle avait été éliminée en quart de finale alors qu'elle portait les boucles d'oreilles de son sponsor Tiffany & co !

En short, en jupe, en smoking ou en robe du soir, elle est toujours aussi belle la Sharapova !

www.purepeople.com

Sharapova surclassée

Maria Sharapova a été sortie au deuxième tour de Wimbledon par Alla Kudryavtseva (6/2 6/4).

Lauréate en 2004, Maria Sharapova ne connaîtra pas le même parcours cette année. La Russe a été sortie sans gloire par sa compatriote Alla Kudryavtseva (6/2 6/4) avec pas moins de 8 doubles fautes ! Elle sera opposée à Shuai Peng.

www.sport24.com

Maria Sharapova brille au défilé Valentino !

La joueuse de tennis Maria Sharapova, qui vient de se faire sortir au deuxième tour du tournoi de Wimbledon, - mais qui compense en étant l'égérie de nombreuses marques — était resplendissante au défilé Valentino à Paris, hier.

Le show, qui s'est déroulé Place Vendôme, a attiré les foules. Le couturier Giorgio Armani, l'actrice Camilla Belle (dont Suri Cruise est le portrait craché) ou encore Farida Khelfa (la meilleure amie de notre première dame et ancienne égérie de Jean Paul Gaultier) Riley Keough la petite-fille d'Elvis Presley et Georgio Armani ont admiré les créations d'Alessandra Fracchinetti dans un cadre féerique.

(purepeople)

PHOTOS
(gettyimages)

Les machos russes ne veulent pas de Sharapova comme porte-drapeau

Le président de la fédération russe de tennis a interdit à Maria Sharapova de porter le drapeau russe lors de la cérémonie d'ouverture des JO de Pékin, car "ce n'est pas fait pour les filles"...

"Je ne veux pas que Maria Sharapova porte le drapeau russe. C'est une responsabilité trop grande pour une femme, mieux vaut que ce soit un homme". Shamil Tarpishev, homme à tout faire du tennis russe, est apparemment plus bavard lorsqu'il endosse son costume de président de la fédération que quand il est assis sur la chaise de coach des équipes russes de Coupe Davis ou de Fed Cup... Déjà peu enclin à ce que Maria Sharapova dispute les JO de Pékin (il aurait préféré qu'elle se concentre sur l'US Open), Tarpishev vient de lui refuser le droit de porter le drapeau russe, le 8 août prochain. "Maria va jouer son premier match deux jours après la cérémonie d'ouverture, donc ce n'est pas le moment d'aller dans un stade pendant quatre heures en plein soleil. Elle va se faire mal aux bras. Cela aurait une mauvaise influence sur son jeu et elle perdrait la moitié de ses capacités", a-t-il argumenté. C'est Maria Sharapova elle-même qui avait demandé à être porte-drapeau. Elle n'a donc plus qu'à se concentrer sur son tournoi, dont elle sera l'une des favorites, au sein de l'impressionnante armada russe, composée de Svetlana Kuznetsova, Elena Dementieva et Dinara Safina.

www.myfreesport.fr

MARIA WINS AN ESPY!

For the second consecutive year and for the third time Maria has won the ESPY for 'Best Female Tennis Player'. Congratulations Maria!

Maria beat other finalists Justine Henin and Ana Ivanovic for the award. The ESPY Awards is an annual sports awards event created and broadcast by American cable television network ESPN and the all of the awards are voted for by fans online.

Source: site officiel

Et une vidéo de Maria aux Espy: http://fr.youtube.com/watch?v=PdKc2RV35bs

Sharapova forfait

Tennis - WTA Montreal

La Russe Maria Sharapova, vainqueur de la Polonaise Marta Domachowska au 2 etour du tournoi de Montréal, a déclaré forfait pour la suite du tournoi suite à une blessure à l'épaule droite.

Source

JO - Tennis - RUS - Sharapova doit renoncer

31/07/2008 22:24

Le sort s'acharne sur Maria Sharapova, n°3 mondiale. La Russe, qui avait si bien commencé sa saison en s'imposant notamment à l'Open d'Australie, doit aujourd'hui renoncer à participer aux Jeux Olympiques suite à une blessure à l'épaule droite. Sharapova, déjà blessée à cette épaule en 2007, a indiqué avoir de nouveau commencé à souffrir à Indian Wells.

Après des traitements et récemment un changement de raquette, elle espérait en avoir fini, mais, cette semaine à Montréal, la douleur est revenue de manière encore plus vive. Forfait pour la suite du tournoi, elle a passé une IRM dans la journée, qui a révélée deux déchirures au niveau des tendons de son épaule. Sur son site internet, elle se dit évidemment très triste de cette situation et indique se rendre désormais à New-York pour consulter d'autres spécialistes. Plus encore peut-être que les Jeux de Pékin, c'est la suite et la fin de sa saison qui sera peut-être compromise.

L'Equipe.fr

Sharapova dépose les armes



Tennis - Pékin 2008

Victime d'une double déchirure aux tendons de son épaule droite, la Russe Maria Sharapova a annoncé sur son site internet qu'elle ne serait pas en mesure de défendre ses chances lors des Jeux Olympiques. Sa fin de saison parait même compromise.

Du rêve au cauchemar. Avec un troisième titre du grand Chelem décroché en début de saison lors de l'Open d'Australie, des victoires à Doha, à Amelia Island, une demi-finale à Indian Wells, Maria Sharapova donnait l'impression de s'engager vers la voie royale et semblait promise à prendre la suite de Justine Henin au sommet de la Hiérarchie mondiale. Son corps n'a cependant pas été mesure de tenir cette cadence infernale.

Depuis quelques semaines, l'emblématique Russe n'était que l'ombre de la joueuse dominatrice au cours du premier trimestre. Gênée par le réveil d'une blessure lancinante à l'épaule droite, l'ancienne numéro un mondiale n'avait ainsi pas été capable de passer le cap des huitièmes de finale à Roland-Garros et le deuxième tour à Wimbledon, pourtant son épreuve favorite. De traitements médicaux en changement de cordage et de raquette, l'ancienne élève de Bolletieri espérait trouver la solution à son maux récurrent mais une IRM passée à la suite de son forfait au tournoi de Montréal a révélé que le mal était profond. Deux déchirures au niveau des tendons de son épaule obligent Maria Sharapova à faire une croix définitive sur les Jeux Olympiques. Des examens plus poussés auprès de spécialistes à New-York diront si sa fin de saison n'est pas également d'ores et déjà compromise.

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Sharapova renonce pour de bon



Tennis - US Open

Outre les JO, Maria Sharapova a annoncé qu'elle renonçait également à l'US Open à cause de sa blessure à l'épaule droite. Elle devrait même être éloignée des courts pendant deux ou trois mois.

Selon Sharapova, un médecin new-yorkais David Altchek lui indiqué qu'elle jouait depuis avril avec une déchirure musculaire de l'épaule droite alors qu'une IRM (imagerie à résonnance magnétique) précédente avait révélé des problèmes de tendons. Mercredi après sa victoire au second tour au tournoi de Montréal face à la Polonaise Domachowska, l'anciennN.1 mondiale avait déclaré forfait pour le troisième tour, qu'elle devait jouer le lendemain.

La blessure ne devrait pas nécessiter d'intervention chirurgicale et Sharapova, a décidé de se rendre en Arizona pour soigner et renforcer son épaule. "Après le match de mercredi (face à Domachowska) je savais qu'il y avait quelque chose qui n'allait vraiment pas avec mon épaule droite, a-t-elle expliqué sur son site. Cela fait vraiment mal de manquer les JO et l'US Open."

Une blessure à un mollet l'a déjà contrainte à abandonner en demi-finale à Rome. La Russe est l'une des meilleures joueuses à avoir renoncé aux JO, avec les Françaises Amélie Mauresmo, médaillée d'argent en 2004, et Mary Pierce.

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