ATP Tour - Sampras loue Nadal

Eurosport | ven 24 sept, 00h 02

A New York, Pete Sampras a été impressionné par Rafael Nadal. L'ex-N.1 mondial américain pense que l'Espagnol, qui vient de remporter son 9e titre majeur à l'US Open, pourra dépasser tous les records de Roger Federer, à commencer par celui du nombre de titres en Grand Chelem (16).

"S'il est suffisamment intelligent avec son calendrier et le fait qu'il ait autant de titres à son jeune âge, il pourrait très bien le faire."

"La seule question qui se pose pour Rafael est, physiquement, combien de temps son corps pourra encaisser la façon dont il joue pour inscrire un point. Le gamin est implacable."

"C'est un but immense. Il y a beaucoup de tournois majeurs à gagner, et autant de travail en perspective."

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ATP Tour - Sampras: "Nadal peut le faire"



jeu, 23 sept 22:23:00 2010

A New York, Pete Sampras a été impressionné par Rafael Nadal. L'ex-N.1 mondial américain pense que l'Espagnol, qui vient de remporter son 9e titre majeur à l'US Open, pourra dépasser tous les records de Roger Federer, à commencer par celui du nombre de titres en Grand Chelem (16).

Pete Sampras est un ami Roger Federer. Mais l'Américain pourrait aussi entrer dans les petits papiers de Rafael Nadal. En marge d'une promotion d'un match d'exhibition face à Andre Agassi au Madison Square Garden en février prochain, l'ex-N.1 mondial n'a pas hésité à donner son sentiment sur le phénomène qu'est Rafael Nadal. "S'il est suffisamment intelligent avec son calendrier et le fait qu'il ait autant de titres à son jeune âge, il pourrait très bien battre le record de Roger Federer en Grand Chelem." Avec 16 titres majeurs décrochés entre 2003 et 2010, le Suisse en avait 8 avant ses 25 ans, soit un de moins que son cadet qui peut s'offrir son 10e titre à Melbourne en janvier prochain, réalisant ainsi le Grand Chelem sur deux saisons.

"La seule question qui se pose pour Rafael est, physiquement, combien de temps son corps pourra encaisser la façon dont il joue pour inscrire un point. Le gamin est implacable, reconnaît l'homme au 14 titres majeurs. C'est un but immense. Il y a beaucoup de tournois majeurs à gagner, et autant de travail en perspective. Je ne pense pas qu'il ait vraiment besoin de plus de titres pour avoir sa place parmi les grands sportifs que la planète ait comptés. Il a remporté les quatre titres majeurs, un titre olympique, la Coupe Davis. Et a dominé son principal rival qu'est Federer."

"Je ne sais pas s'il vise 16, 17 ou 18 titres majeurs, je pense qu'il veut juste être un joueur meilleur à chaque rencontre. Si les records arrivent, il vous dira que c'est super. Rien de plus. Roger s'était fait un but de remporter beaucoup de majeurs. Et il le peut encore. A chaque tournoi, il est fait partie des incontestables favoris. Je ne le vois pas décliner comme certains le disent." Alors ne comptez pas sur lui pour vous donner le nom de celui qu'il considère comme le meilleur de tous les temps. "Rafa est encore au milieu de sa carrière, c'est difficile de lui décerner déjà un rang parmi ceux qui ont marqué l'histoire..." Nadal a encore le temps de marquer les esprits... et celui de Sampras.

yahoo.fr
http://fr.sports.yahoo.com/23092010/70/atp-tour-sampras-nadal-peut-le-faire.html

Novak Djokovic > "Nadal est le meilleur"

Par Quentin Francart, mercredi 10 novembre 2010 à 10:48

Dans les colonnes de Marca, Novak Djokovic a déclaré que le meilleur joueur de l'année reste le n°1 mondial Rafael Nadal. L'Espagnol, qui a fait d'énormes progrès sur des surfaces qu'il n'affectionnait guère, ne cesse de susciter l'admiration de ses adversaires sur le circuit.

"Il s'est beaucoup amélioré sur les courts en dur. Et il lui reste encore une belle marge de progression. Il a un jeu incroyable et ne cesse de monter en puissance. Il n'a perdu qu'un set lors de l'US Open, c'est bien la preuve qu'il est le meilleur quelle que soit la surface."

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"Nadal ne décide pas tout"

14/11/2010 - 16:08

Jean-François Caujolle était satisfait du changement de surface à Bercy, le tournoi dont il est directeur, même s'il a beaucoup été question de sa rapidité en début de semaine, notamment après le forfait de Rafael Nadal.

"Sincèrement, si Rafael Nadal venait à ne pas jouer le tournoi dans l'avenir parce que soi-disant la surface serait trop rapide, ce serait dommageable et à mon sens pas tout à fait professionnel", a ajouté Caujolle avec son aplomb habituel. "Mais je ne pense pas que ce soit la cas. Si Nadal, Federer, Monfils et Roddick nous disaient la même chose, on y regarderait de près..."

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Murray : Nadal peut dépasser le record de titres en Grand Chelem de Federer

17.11.2010, 18h17

L'Ecossais Andy Murray, N.5 mondial a déclaré dans la presse espagnole que l'Espagnol Rafael Nadal, N.1 mondial, pouvait battre le record du plus grand nombre de tournois du Grand Chelem remportés par un seul et même joueur (16), détenu par Roger Federer. "Cette saison, il a franchi un pallier important et peut battre n'importe quel record", a déclaré Murray au quotidien Marca. Je pense que ça dépendra plus de son physique que de son tennis. S'il conserve la puissance physique qui a été la sienne dans la seconde moitié de la saison 2010, il est en route pour effacer le record de Federer ou n'importe quel autre record".

http://www.leparisien.fr

McEnroe: ''Nadal meilleur athlète que Federer''

Publié par TennisTemple.com Rédaction le Jeudi 18 Novembre 2010 à 16h25

Rafael Nadal et Roger Federer se partageant la domination du tennis mondial depuis un petit moment déjà, les comparaisons entre les deux joueurs sont monnaie courante. La dernière en date est l'oeuvre d'un ancien numéro 1 mondial, John McEnroe, qui, de passage au Qatar, a donné son point de vue avisé sur la condition athlétique des deux champions.

J.McEnroe: "Les deux meilleurs athlètes de tous les temps sont Bjorn Borg et Rafael Nadal. Federer est l'un des meilleurs joueurs qu'il y ait jamais eu mais je ne pense pas qu'il soit un si bon athlète que ces deux là."

www.tennistemple.com

Moya says Nadal on way to being best ever player

By Martyn Herman

LONDON | Sun Nov 21, 2010 12:21pm EST

LONDON (Reuters) - Carlos Moya knew Rafael Nadal was good when he first set eyes on his fellow Mallorcan as an 11-year-old but he never imagined the precocious young talent would become a serial winner of grand slam trophies.

Speaking after bidding an emotional farewell to tennis on Sunday when Nadal hosted an on-court ceremony for his close friend at the ATP World Tour Finals, Moya said the world number one was now on the way to even surpassing the milestones achieved by 16-times grand slam winner Roger Federer.

"He's been amazing player. He is amazing player," the 34-year-old Moya, who was embraced on the O2 Arena's Center Court by past and present players including Federer, Novak Djokovic and Andy Murray, told reporters.

"You know, knowing him for so long makes it special for me because first time I met him, he was just 11, 12 years old.

"So he was a good prospect of being a good player but you never know what can happen. I realized he had something special, but could never think that he could be that good, to be honest.

"He's one of the greatest ever. But he's on his way to become, who knows, maybe the greatest."

Moya, the former French Open champion and the first Spaniard to top the ATP rankings in 1999, announced his retirement this week because of a long-term foot injury.

Nadal describes Moya as his mentor and the 24-year-old, who plays Roddick Monday, was clearly emotional as he spoke of Moya's contribution to the sport.

"It's a sad day for me because I'm saying goodbye to a friend and tennis is saying goodbye to a great ambassador," the nine-times grand slam winner said in front of thousands of fans who had just watched Murray's victory over Robin Soderling.

"He was the first Spaniard to be number one and he helped me a lot when I was a young player. I've missed him a lot this last year when he's not been on the circuit."

Moya said watching Nadal emerge had helped his own career in which he won 20 titles, including Roland Garros in 1998.

"Maybe I said a thousand times, but the same way I helped him, I think he helped me," Moya said. "When he was 13 or 14 we were practicing together. I was near the top 10 and sometimes he was beating me during the practice.

"That made me think, that made me improve and evolve. You see a kid like this kicking your ass so you try to avoid that. So he made me improve and made me more positive.

"I cannot say that Rafa owes me anything at all. He deserves all what he's winning. Of course, aside from how good he is, he's a great person."

SOURCE

EL TÉCNICO ALABÓ LA FORMA EN LA QUE CARLOS MOYÁ HA SOBRELLEVADO SU CARRERA DEPORTIVA
Jofre Porta: "Creo que Nadal es psicológicamente insuperable"

* El técnico catalán es uno de los fundadores de la Academia GlobalTennis de Mallorca · Por sus manos han pasado los mejores jugadores que han salido de las Islas · Destaca el compromiso y el trabajo de Carlos Moyá y Rafa Nadal.

DAVID MENAYO 21/11/10 - 23:36.


Jofre Porta

Jofre Porta ha sido el descubridor de talentos como Carlos Moyá, Rafa Nadal, Nuria Llagostera o Tomeu Salva-Vidal. El técnico catalán, que ahora trabaja en la Academia GlobalTennis de Mallorca, fue el protagonista este domingo de 'Tie-Break', el programa de tenis de RadioMARCA...

Usted fue el primer entrenador de Carlos Moyá. ¿Cuánto tiempo estuvo con él?
Con Carlos trabajé desde los 6 a los 17 años que se fue al CAR de San Cugat. Posteriormente, cuando tuvo la lesión de espalda y volvió a Palma, colaboré con Juan Bosch, por aquel entonces su entrenador, y viajé con ellos algunas semanas por el circuito. Hasta que se ha retirado hemos estado en contacto, le he ayudado en lo que podía y he disfrutado de su vida deportiva que ha sido ancha y amplia.

¿Ya apuntaba maneras por aquel entonces?
Competía muy bien, pero no era como Rafa, a quien se le veía desde muy pequeño que llegaría muy arriba. Carlos era como es ahora, un hombre tranquilo, con las cosas muy claras y las ambiciones muy bien definidas. Donde sí se mostraba muy grande era en la competición. Era capaz de jugar con niños mucho más grandes que él y hacer unos partidos magníficos.

Después de tanto tiempo conviviendo con él, ¿qué aspecto destacaría de Carlos?
Hay que destacar muchísimas cosas. Por ejemplo superar el complejo que siempre hemos tenido en Mallorca de que triunfar fuera de la Isla era muy difícil. Él abrió el camino y demostró que era posible ser número 1 saliendo de Mallorca. Creo que es uno de los padres del deporte balear en su apertura al mundo. Además subrayaría la manera en la que ha llevado su carrera, sin una sola palabra malsonante, sin un solo celo de nadie... Tengo un amigo, Paul Dorochenko, que solía decirme que "si fuera tan guapo como él, tuviera su dinero y jugara como él al tenis, sería un gilipollas". Tenerlo todo y mantenerte normal cuesta muchísimo y él lo ha conseguido. Para los técnicos nos sirve de ejemplo para los más pequeños.


Porta, con un joven Nadal a su izquierda.

Porta, con un joven Nadal a su izquierda.

¿Recuerda alguna anécdota curiosa de aquella época?
Con Carlos hay mil anécdotas porque es un tipo con un gran sentido del humor. Quizá la más graciosa que recuerde fue una vez que fuimos a jugar un Campeonato de España por equipos. Carlos era un chaval rubio que ya llamaba la atención por su físico. Sin embargo, en aquella ocasión, el guarda que había en los vestuarios no le dejó entrar en el masculino porque le confundió con una chica. Es divertido pensar que un sex-symbol de su talla fue confundido con una chica cuando era pequeño.

El pasado miércoles, el del anuncio de su retirada, me imagino que fue un día triste...
No creo que fuera triste, pero sí muy emotivo. Cuando has conseguido lo que querías y has sido muy feliz haciendo lo que te gusta, no puedes estar triste. Sabes que un día llegará la retirada y en su caso ha venido acompañado felizmente del nacimiento de una hija y la mezcla de mil sensaciones diferentes. Creo que ha cumplido su objetivo en el tenis.

A la hora de entrenar, de comprometerse con el trabajo, con implicarse con el tenis... ¿Hay mucha diferencia entre Moyá y Nadal?
Sos dos conceptos de trabajo muy distintos, pero una implicación completa en ambos casos. Rafa es muy generoso en el esfuerzo y Carlos en la competición. A Rafa tienes que frenarlo y a Carlos empujarlo. De todas formas, a Carlos siempre le ha gustado presumir de ser más vago de lo que era porque siempre ha trabajado muchísimo. Cada uno tiene un papel muy diferenciado pero los dos muy comprometidos con su profesión.

¿Cuanto tiempo entrenó a Rafael Nadal?
Cuando dejé de trabajar para la Federación Española de Tenis montamos en Mallorca un Escuela de Tenis del Gobierno Balear y Rafa llegó de la mano de su tío Toni, que siempre estuvo implicado en el proyecto. Estuvo allí de los 10 a los 17 años, tiempo en el que disfruté mucho de trabajar a su lado.

Dicen que fue usted quien convenció a Rafa para que jugara con la zurda...
¡Eso sólo lo puede hacer un genio con el valor de Toni! Lo que sí es cierto es que cuando vi jugar por primera vez a Rafa con 8 años y me preguntaron cómo le veía, les respondí que jugaba de una manera impresionante pero golpeaba a ambos lados a dos manos y los buenos jugadores lo hacían sólo a una. Lo que nunca se me ocurrió fue que probara y terminara jugando con la izquierda, eso es obra de su tío Toni.

Con 24 años y un currículo envidiable, ¿cree que Rafa tiene margen de mejora?
La pregunta sería, ¿qué no puede mejorar? La ambición, que es enorme. Creo que tiene un leve margen de mejora a nivel táctico (el saque, el revés cortado, el revés de ataque, el paralelo...), a nivel físico sólo debe mantenerse alejado de las lesiones y a nivel psicológico es insuperable. Para mí es uno de los 'grandes' de la historia. Hablamos de él como el gran especialista en tierra, el mejor de todos los tiempos en esta superficie, pero sus victorias en Roland Garros han hecho sombra sin embargo a otras hazañas como ganar Wimbledon. Hay muy pocos tenistas que hayan conseguido ganar en un mismo año en París y Londres...

¿Cree que podría añadir la Copa Masters a su palmarés?
Es complicado. No sólo por la entidad de sus rivales sino por la pista, que no está hecha para él. Soy de los que piensa antes de que compita que va a ganar, pero hay que reconocer que ganar en Londres sería una nueva gesta para él. Pero... ¿por qué no? Rafa siempre responde y por eso es el número 1.

A diferencia de lo que vemos en otros tantos jugadores en el circuito, Rafa lleva toda la vida deportiva ligado a Toni...
Hay que pensar que Rafa y Toni han nacido y crecido deportivamente juntos. La importancia de Toni en este proyecto es altísima porque ha actuado tanto como entrenador como educador. Suyo es el mérito de la ambición deportiva de Rafa y su manera de asimilarlo. Además, Toni siempre está abierto a cosas ajenas a su equipo de trabajo. Es de los que pregunta, escucha, aprende...

Por último. Dice mi amigo Manolo Poyán que la Isla debe tener algo porque es una factoría de hacer números 1.
Creo que el carácter mallorquín del "no nos gustan los creídos" o "la soberbia y los divos no tienen espacio en esta sociedad" nos han permitido tener un ambiente de trabajo muy tranquilo y confortable que ha dado muy buenos resultados al tenis. No sólo a dos grandes como lo son Carlos y Rafa, sino también con nombres como Nuria Llagostera o Tomeu Salva-Vidal que han estado en un segundo plano. Conseguir los resultados que han cosechado estos deportistas saliendo de unas Islas tan pequeñas como estas es muy complicado.

SOURCE

Un curso acelerado con su amigo, Rafael Nadal

18 de diciembre de 2010, 02:00 AM

Probablemente, buena parte de lo que demostró Mónaco en la última parte del año tenga que ver con una minipretemporada que realizó en Tailandia junto con Rafael Nadal, el número 1 del mundo.

-Fueron algo así como unas "vacaciones de trabajo..."

-¡Ja!, sí, no se puede estar mucho de vacaciones con Rafa. Me tocaron en un momento duro, porque yo venía de Cincinnati y el US Open y perdí rápido, fui a la Copa Davis [contra Francia] y jugué muy bien, pero no estaba con confianza y también perdí. Pero él me invitó a Tailandia. Estuvimos una semana de vacaciones, y después nos entrenamos diez días. Eso me ayudó mucho, incluso en lo mental, para saber cómo piensa, tomar cosas que él hace, entrenar con la misma intensidad que él. Es el número 1 del mundo, y al practicar diez días consecutivos con él, aprendés muchas cosas, te acostumbrás al ritmo de juego, a la velocidad de pelota que te impone, eso uno lo adquiere; después se me dieron los resultados muy pronto. ¿La verdad? Haber ido con él fue un acierto y le estoy hiperagradecido por la puerta que me abrió.

-No es fácil, se supone, seguirle el ritmo a Nadal.

-No, es cierto, pero estoy acostumbrado, tengo mucha resistencia y me entreno varias veces con él. Yo llego a un torneo y si está Rafa, hacemos una práctica de dos o tres horas seguidas; a mí me gusta y a él también, somos jugadores que necesitamos eso, sobre todo Rafa. Lo conozco mucho, y cuando va a un torneo, hasta que no encuentra la sensación perfecta, no para, aunque le toque estar cinco horas en una cancha. ¡Es un fuera de serie!

-¿Cómo fue que comenzó tu amistad con Rafa?

-Cuando yo tenía quince años, fui a entrenarme a la academia de Casal y Sánchez Vicario, en Barcelona; ahí empezamos a cruzarnos en los futures, en torneos por equipos; yo representaba a mi club y él a Barcelona, nos enfrentamos un montón de veces. Ya hace diez u once años que tengo amistad con él; él era más joven -un año y ocho meses- y estaba en mi categoría, ya era un animal. Y ahora es uno de mis grandes amigos.

yahoo.es
http://espanol.news.yahoo.com/s/17122010/92/n-sports-1334649-curso-acelerado-amigo-rafael.html

McEnroe: Federer-Nadal rivalry has years to run



HONG KONG - John McEnroe says he expects the rivalry between Roger Federer and Rafael Nadal to last at least a few more years before a new face breaks through the top ranks of men's tennis.

John McEnroe of the U.S. reacts during a press conference for the Hong Kong Tennis Classic in Hong Kong Tuesday, Jan. 4, 2011. McEnroe will play in the tournament from Jan. 5 to 8. (AP Photo/Vincent Yu)

The two players have swept nearly all the Grand Slams and controlled the top two spots in the rankings in recent years. Both players have won all four majors, with Nadal completing his trophy collection by winning the U.S. Open for the first time in September - his third consecutive Grand Slam title after wins at the French Open and Wimbledon.

"There's no reason to believe ... that these guys aren't going to be around for the next couple of years," retired American tennis great McEnroe said Tuesday on the sideline of an exhibition tournament in Hong Kong.

While Nadal dominated last season to seize the No. 1 ranking from his 29-year-old Swiss rival, McEnroe said Federer was still enthusiastic about the game and finished the season on a high note. The 16-time Grand Slam champion beat Nadal - five years his junior - to clinch the season-ending ATP World Tour Finals in London.

"He still seems to love to play. He's finished the year very strong," said McEnroe, a seven-time Grand Slam champion.

"We have an incredible rivalry that hopefully will last another couple of years, a year or two more, and we can take advantage of that," he said.

McEnroe said world No. 3 Novak Djokovic and No. 4 Andy Murray still need to improve to break the Federer-Nadal stranglehold.

"They're going to have to add elements to their games ... and to work harder than ever to try to allow themselves to compete against two of the most - if not the most - talented players that ever played tennis," McEnroe said.

As they step up their preparations for the first major of the year, the Australian Open, Federer and Nadal faced off in the final of the Abu Dhabi men's exhibition tournament last week, where the Spaniard prevailed in two tight sets that had to be decided in tiebreakers. Both are competing in the ATP tournament in Doha this week.

The European domination at the top has translated into an extended drought for the American men. While the U.S. boasted major champions like Pete Sampras, Andre Agassi, Jim Courier and Michael Chang in the 1990s, the Americans have faded in the new millennium.

The last American man to win a Grand Slam was Andy Roddick, who claimed the 2003 U.S. Open. Roddick is currently the only American in the top 10 at No. 8. There are three others in the top 20: Mardy Fish at No. 16, Sam Querrey at No. 18 and John Isner at No. 19.

Roddick, 28, and Fish, 29, however, are reaching the end of their careers.

McEnroe said Roddick may have a few good years left in him, but he wasn't bullish about the major prospects of the younger Americans.

"At the moment, I see Isner and Querrey as excellent players bordering on great players, but I don't see them breaking and winning majors," he said, although adding that both "made some excellent strides in their careers" and deeming them both top 10 material.

As for another much-touted junior, Ryan Harrison, McEnroe said he still reserves judgment. The 18-year-old is just starting his senior career and is currently ranked No. 173.

"He's certainly a very capable player who could go a long way. I can't say that I think he's going to turn around and win a major right now. I'd like to see him (do that) - hopefully if he makes the type of improvement he has the last year," he said.

For his part, McEnroe said he is scouring for talent through his tennis academy in New York City.

"It's very important for us and the popularity of the game to have an American challenging and winning at Grand Slams."

www.www.starnewsonline.com

Agassi vote Nadal



Andre Agassi voit Rafael Nadal dominer le tennis mondial cette saison et son adversaire le plus sérieux, Roger Federer. Pour l'ancien champion américain, le duel entre l'Espagnol et le Suisse sera une nouvelle fois le centre de toutes les attentions.

yahoo.fr
http://fr.sports.yahoo.com/06012011/70/agassi-vote-nadal.html

Ferrer salue Nadal

« Rafael (Nadal) est un gentleman. J'adore toujours jouer contre lui. J'ai bien vu qu'il est blessé et même lorsqu'il est blessé, ce n'est pas simple de le jouer. J'ai bien vu qu'il avait du mal à courir. J'étais concentré sur mon jeu et je suis content de m'en être sorti. Je suis heureux de ces deux semaines incroyables. Je ferai de mon mieux pour remporter la demi-finale face à Andy Murray », s'est exclamé David Ferrer juste après son match.

Sport365.fr

OA > Ferrer : "Rafa peut gagner les 4 prochains Grands Chelems"

Par Pauline Dahlem, mercredi 26 janvier 2011 à 17:17

Rafa pouvait gagner son 4e Grand Chelem d'affilée ici. Est-ce que vous êtes déçu pour lui d'une certaine façon ?

DAVID FERRER : "Je pense que Rafa peut gagner les 4 prochains Grands Chelems. Il est l'un des 3 meilleurs joueurs de l'histoire du tennis. Il est encore jeune. Il sera en mesure de réaliser cet exploit."

http://www.welovetennis.fr/

Tsonga: "Federer et Nadal ne sont plus seuls"

(AFP)

ROTTERDAM (Pays-Bas) — Le Français Jo-Wilfried Tsonga a estimé mardi que le N.1 mondial, l'Espagnol Rafael Nadal, et son dauphin, le Suisse Roger Federer, "ne sont plus seuls" à se disputer les premières places de la hiérarchie mondiale du tennis.

"Federer et Nadal ne sont plus seuls", a analysé le Français, 18e au dernier classement ATP, après sa victoire sur le Bulgare Grigor Dimitrov, 6-4, 6-4, au premier tour du tournoi de Rotterdam.

"Peut-être que sur terre battue, les choses sont toujours les mêmes (pour ce qui est de la domination de Nadal), mais ce n'est pas le cas sur les autres surfaces", a-t-il précisé.

"Djokovic et Murray battent très souvent Nadal et Federer, tous les joueurs améliorent leur jeu. Ce n'est plus juste Nadal et Federer", a ajouté le Français en citant les parcours du Serbe Novak Djokovic, vainqueur fin janvier de l'Open d'Australie et du Britannique Andy Murray, finaliste.

Tsonga lui-même estime avoir également amélioré son jeu, même s'il a reculé de cinq places au classement ATP après l'Open d'Australie: "Je sens que je joue mieux qu'il y a deux ou trois ans", a-t-il confié.

"Je suis en bonne forme et j'aborde les matches étape par étape. Mais j'ai toujours l'impression de pouvoir gagner un titre", a-t-il ajouté.

SOURCE

"Nadal, ses défauts? Peut-être dans sa vie privée..."


© photo news

Xavier Malisse, 51e joueur du monde, reste convaincu des chances belges face à l'Espagne au premier tour du Groupe mondial de la Coupe Davis de tennis de vendredi à dimanche au Spiroudôme de Charleroi, tout en étant conscient de la valeur de la formation espagnole.

"Nadal et Ferrer? Ils n'ont pas de défauts.... Peut-être dans leur vie privée, je ne sais pas. Bien sûr, ce sera très difficile", a estimé le Courtraisien mardi. "Mais cela reste du sport et en Coupe Davis, il est arrivé plus d'une fois d'assister à une énorme surprise. S'ils sont plus forts, ils sont plus forts, mais nous devons tout donner. C'est super que le Spiroudôme soit plein. Cela vient de la présence de Nadal. Pour ma part, je me sens bien après avoir été un peu souffrant."

"Ferrer est dans la forme de sa vie"

Xavier Malisse a déjà affronté le numéro 1 mondial à 3 reprises l'emportant une fois, à Chennaï en Inde en 2007. Le Courtraisien a déjà battu aussi deux fois en 4 confrontations l'autre ténor de l'équipe espagnole, David Ferrer, 6e joueur du monde. C'était à Indian Wells en 2003 et à Lyon en 2004. Toujours sur des surfaces rapides, comme au Spiroudôme ce week-end. "Ferrer est cependant dans la forme de sa vie", tempère Xavier Malisse. "Il a gagné cette année à Auckland et à Acapulco disputant les demi-finales de l'Open d'Australie."

La rencontre se disputera en effet sur surface dure, aussi rapide que possible. Pour essayer de contrer les Espagnols. "C'est un détail, mais c'est la première chose à laquelle nous devions penser".

7sur7.be
SOURCE

Djokovic a encore faim

Le 21/03/2011 à 02:55 | Mis à jour le 21/03/2011 à 07:21

[...]
Le Serbe s'est également attribué la petite phrase du jour en déclarant sur le court que Rafael Nadal était pour lui le meilleur joueur de tous les temps. Ce qu'il a soutenu devant la presse. «Je pense qu'il est le meilleur de toute l'histoire parce qu'il n'a que 24 ans et a déjà accompli tellement. Il a encore beaucoup d'années devant lui et je pense qu'il peut aller chercher le record de titres du Grand Chelem de Roger.»
[...]

www.lequipe.fr