ATP Marseille - Tsonga, un joueur dans la foule



Jo-Wilfried Tsonga a fait une arrivée remarquée à Marseille. Comme à Paris, la foule en conférence de presse est à la hauteur des attentes du public. Eurosport.fr vous raconte les détails de l'accueil fait à la nouvelle coqueluche du tennis tricolore.

14 heures, mardi, amphithéâtre de l'hôtel Pullman à Marseille, un des hôtels les plus "select" de la cité phocéenne, Jo-Wilfried Tsonga arrive. Une cinquantaine de journalistes attendent. " Je n'ai jamais vu ça pour un joueur de tennis" peut-on entendre. Sa première victoire en Coupe Davis a attisé la flamme médiatique qui entoure la nouvelle coqueluche du tennis tricolore. "Je ne suis pourtant pas le premier français à jouer une finale de Grand Chelem" , s'étonne-t-il encore d'une voie éraillée. Il n'a pas pris froid, il n'est pas resté sans voix en apprenant qu'il jouait Mario Ancic au premier tour, il a simplement trop crié lors du double de Coupe Davis. Tout le monde est rassuré.

Quand le joueur pénètre dans la salle, les murmures laissent place aux crépitements des flashes. Un client de l'hôtel non averti pourrait penser que "Police" est de passage le soir au Vélodrome... Sous le feu des projecteurs depuis sa finale surprise à l'Open d'Australie, il est escorté par deux bodyguards de luxe, son coach Eric Winogradsky et Jean-François Caujolle, directeur de l'Open 13.

"Ce qui intéresse le plus les gens c'est de savoir quand Tsonga va jouer"

"On va bronzer, là, avec tous ces flashes" s'amuse Winogradsky. Jo s'est installé derrière son pupitre pour le grand oral. Relax, comme d'habitude. On apprendra quelques minutes plus tard que ce rendez-vous a été consciencieusement préparé: "Ça fait quasiment dix jours qu'on travaille dessus" assure son coach. Sa sérénité tranche avec l'agitation des journalistes, photographes et cameramen. "C'est bon, aux télés maintenant!" lance une jeune femme, des "politesses" verbales fusent. D'autres n'en reviennent pas: "Regarde-moi ça..." lance une journaliste à un collègue en voyant ses collègues qui visiblement ne se souviennent pas des images de son arrivée à l'aéroport il y a dix jours à Paris.

Ça doit être ça, l'effet Tsonga... "Cet engouement me rappelle ce qui s'est passé avec Arnaud Clément et Sébastien Grosjean il y a quelques années, note Jean-François Caujolle. Mais là, avec Jo, c'est encore plus fort. La star, c'est Jo. Il y a Djokovic, numéro 3 mondial, mais ce qui intéresse le plus les gens c'est de savoir quand Tsonga va jouer" .

La nouvelle star joue mercredi. Attention, on pourrait assister à des accès de Tsongamania... En attendant, la dynamique des résultats du Manceau encourage les autres Français. Interrogés, Paul-Henri Mathieu et Gilles Simon ont tous les deux souligné cette semaine qu'ils aimeraient enfin disputer des finales de Grand Chelelm, ou plus clairement imiter "Jo". Ce dernier sait toutefois que son prochain match sera bigrement difficile. Mario Ancic pratique un tennis moins punchy mais tout autant agressif, en fond de court comme à la volée. Et l'expérience en plus.

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ATP Marseille - Tsonga s'arrête là



Peu en jambes, Jo-Wilfried Tsonga n'a pas pu passer le au 1er tour de Marseille face à Mario Ancic. En revanche, Richard Gasquet n'a eu aucun mal à se débarrasser de Simone Bolelli. Tenant du titre, Gilles Simon continue l'aventure en attendant Novak Djokovic au 2e tour. Llodra a rejoint Mathieu.

L'effet Tsonga n'aura pas duré longtemps dans la Canebière. Fort d'une popularité croissante, le jeune Manceau, récent finaliste à l'Open d'Australie, n'a pas été en mesure de prendre le dessus de Mario Ancic au premier tour du tournoi de Marseille. Peu en jambes, le Français a subi la loi du Croate qui démarrait sa saison sur ce match... Avec un premier service réglé comme du papier à musique, Ancic n'a été que rarement inquiété sur sa mise en jeu : une seule fois en fin de premier set.

Alors que les deux joueurs sont au coude-à-coude, Tsonga cède sa mise en jeu à 5-5, sur la 4e occasion de break du Croate sur l'ensemble de la première manche. Dans la foulée, le Français se crée deux balles de débreak... sans parvenir à les concrétiser. Ancic remporte ainsi le set 7-5 après 38 minutes de jeu. Si Tsonga tente de répliquer par quelques coups dont il a le secret, ce dernier a du mal à rester constant. Des fautes directes sur des erreurs de placement profitent au Croate.

Tsonga a beau servir des aces à gogo, il ne parvient pas à dépasser 50% de réussite en premières balles. Une statistique bien trop faible pour faire la différence face à un joueur comme Mario Ancic, puissant dans tous les compartiments du jeu. Poussé à jouer un jeu décisif après avoir sauvé une nouvelle balle de break, le Français cède 4 points de suite dans le tie-break qui lui seront fatals. Après une belle première victoire en Coupe Davis, le Français aura une semaine pour se reposer et faire le point. Mais qu'il se rassure, cette défaite fera moins parler que celle en Australie...

Bonne entrée en matière pour Richard Gasquet à Marseille, quart-de-finaliste ici-même l'an passé. "Ce n'est jamais facile un premier tour. Ici, tout est différent de la Roumanie: la salle, le court, les lumières... En plus, je n'avais pas eu le temps de m'entraîner sur le central. J'ai été solide dans l'ensemble."

Au prochain tour, le N.1 français retrouvera son bourreau de l'an passé : Robin Söderling : "Ça fait six mois qu'il n'a pas joué, c'est très fort d'avoir battu Nieminen au premier tour, je ne pensais pas qu'il passe. Les conditions de jeu sont rapides, ça avantage les grands serveurs comme lui, donc je vais essayer de bien casser le rythme. L'année dernière, contre lui, j'étais usé par la Coupe Davis, cette année ça va, je suis moins fatigué, je n'ai fait qu'un match."

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Tsonga : «Usé»

13/02 19h48 - Tennis, ATP, Marseille

Battu dés le premier tour de l’Open 13 par Ancic, Jo-Wilfried Tsonga estime qu’il n’était pas pas prêt physiquement. Le finaliste de l’Open d’Australie explique dans la Provence qu’il va se relever rapidement.

«J'ai quand même fait mon match, j'ai bien servi et j'ai joué du fond du court. Ancic aussi a très bien servi et je n'ai jamais pu le mettre en danger sur son service. Cela fait deux mois que je suis à fond, c'est normal d'être un peu usé. J'ai eu beaucoup d'obligations médiatiques et ce n'était que la deuxième fois que je "tapais" sur ce court. Je prends une claque mais je me relèverai.»

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Tsonga forfait

15/02 09h01 - Tennis, ATP, Rotterdam

Jo-Wilfried Tsonga a renoncé à participer au tournoi de Rotterdam la semaine prochaine.

Eliminé dès son entrée en lice à Marseille par Mario Ancic (7/5 7/5), Jo-Wilfried Tsonga n’ira pas à Rotterdam la semaine prochaine. Après un début de saison surchargé, le Manceau réclame un peu de repos.

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Tsonga a-t-il bon dos ?

Eurosport - sam., 15 mars 14:55:00 2008



La grande question qui taraude le tennis français cette semaine concerne Jo-Wilfried Tsonga. Avant le premier Masters Series de l'année, le N.17 mondial et N.3 français, a pris un mois de repos. Comment le finaliste de l'Open d'Australie va-t-il jouer à Indian Wells ?

Jo-Wilfried Tsonga doit-il être attendu comme le nouvel "Atlas" du tennis français ? Celui qui va soutenir les espoirs de la Fédération et des amateurs hexagonaux séduits par son parcours australien ? Cela serait faire injure au N.8 mondial, Richard Gasquet, que de l'affirmer sans nuance. Cependant, on ne peut nier que la grande question du moment est : Tsonga peut-il jouer aussi bien qu'à Melbourne, dès Indian Wells ? A ceux qui aimeraient voir la pression des médias suivre le principe des vases communicants et passer du prodige de Sérignan au héros de Pointe-Noire, il faut rappeler que le potentiel "Atlas" a un talon d'Achille : son dos. Plus précisément: une hernie discale, laquelle a stoppé son ascension chez les pros. Il a évité l'opération chirurgicale, mais elle n'est pas encore totalement évacuée.

Par prévention, Tsonga avait déjà pris une décision rare l'année dernière : zapper Roland-Garros, LE rendez-vous des Français. Cette année, son enchaînement "finale en Australie-Coupe Davis-Open 13" a déjà fait l'objet d'une gestion particulière. Pour ne pas tirer sur la corde fragile des vertèbres - et sa résistance nerveuse en général, le joueur et son entourage ont sagement décidé de faire une pause : "Je crois qu'on ne peut pas donner tout à tout le monde en permanence. J'avais besoin de me ressourcer." Il a coupé avec les médias et le tennis, a quitté la France et Le Mans pour aller pêcher chez lui, dans les montagnes suisses, sans se soucier de ses nouvelles contraintes fiscales et médiatiques. Il y a près de deux semaines, Jo a repris l'entraînement, mais en suivant une procédure drastique.

Un mois, c'est long ?

Tout d'abord une visite à l'ostéopathe, puis on reprend la raquette en douceur avant de solliciter les déplacements. Eric Winogradsky, son entraîneur, interrogé par L'Equipe mardi dernier, sur le parcours de combattant que Tsonga doit s'imposer depuis l'apparition de sa blessure, a précisé : "Jo a cherché le protocole le plus efficace et le plus sécuritaire. L'idée est qu'il ne vienne sur un tournoi que quand il est vraiment prêt" . Marseille est vite passé, Rotterdam puis Dubaï. Un mois après son dernier match, le voilà prêt à défier les meilleurs joueurs du monde. Une gageure après tant d'absence ? Pas vraiment. A regarder de plus près les derniers finalistes - et non vainqueurs- de l'Open d'Australie, un mois d'arrêt est une "tactique" commune.

En 2007, Fernando Gonzalez avait repris en Californie pour se hisser jusqu'au 4e tour face à Tommy Haas. En 2005, Lleyton Hewitt prit même quasiment deux mois pour se remettre de sa finale perdue face à Marat Safin avec un seul match de Coupe Davis au milieu avant de revenir sur le circuit en Californie. Une pause profitable puisqu'il y disputa sa seconde finale de suite. Mais l'exemple à suivre, encore une fois, c'est Marcos Baghdatis, ancien champion du monde juniors (devant Tsonga en 2003) et révélé à l'Open d'Australie, comme le Manceau. Marcos avait perdu en finale devant Roger Federer, s'était ensuite incliné au 1er tour de Marseille face à Mario Ancic, avant de perdre en quart de finale face à Nadal à Indian Wells. JWT est aujourd'hui dans la même configuration avec Nadal en ligne de mire en quarts cette année.

Techniquement, le Français peut donc espérer ne pas avoir à trop souffrir de ce "break" prudent et nécessaire. Son premier tour à Indian Wells, face à Dudi Sela, ne lui posera pas le problème qu'Andy Murray a posé à Roger Federer à Dubaï. L'Israélien n'est pas un attaquant destructeur et cela pourrait lui permettre d'entrer progressivement dans le tournoi. Nerveusement, il faudra observer sa réaction face à la gigantesque attente que ses résultats ont générée.

A l'entendre sur RMC récemment, le N.16 mondial semble encore avoir la tête sur les épaules : "Je dois donc bien garder en tête qu'il n'y a que le tennis qui compte. Le reste suivra naturellement mais il ne faut pas que ça devienne une contrainte. Je ne peux pas dire oui à tout le monde, ce n'est pas possible. Tout va bien. Je fais tout pour me protéger." Une hernie certes, mais pas encore la grosse tête pour celui qui pourrait croiser Paul-Henri Mathieu, N.2 français juste devant lui au classement ATP, et retrouver Rafael Nadal, sa victime expiatoire de Melbourne.

Un petit rappel : La déclaration de Rafael Nadal après sa défaite face à Jo-Wilfried Tsonga en demi-finale de l'Open d'Australie : "Il est dans le meilleur moment de sa carrière, il n'a aucune pression, tout lui réussit. Je pense que ce n'est peut-être pas son vrai niveau. Jouer comme ça toutes les semaines, c'est impossible. Il faut savoir perdre avec humilité. "

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La méthode Nadal

18/03 16h34 - Tennis, ATP, Indian Wells

Rafael Nadal a expliqué sur la BBC quels devront être ses points forts pour battre Jo-Wilfried Tsonga en 8es de finale à Indian Wells, et prendre ainsi sa revanche du dernier Open d'Australie.

«Tous les matches sont importants pour moi, surtout quand il s'agit de défendre un titre. L'année dernière, j'avais sans doute disputé mon meilleur tournoi ici. Face à Tsonga, il sera important que je serve bien, car c'est l'un de ses points forts. Du fond du court, il faudra que j'essaie d'être plus agressif qu'en Australie.»

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Tsonga rend les armes


Tsonga a rendu les armes face à Nadal (Reuters)

Plus de trois heures de jeu ont été nécessaires à Rafael Nadal pour venir à bout d'un coriace Jo-Wilfried Tsonga à qui il aura manqué un peu de lucidité en fin de match (6/7 7/6 7/5).

par Cédric Callier, le 20-03-2008

Confirmation ou revanche ? Telle était la question alors que Jo-Wilfried Tsonga retrouvait Rafael Nadal, deux mois après son incroyable démonstration à Melbourne, lorsqu’il avait littéralement mis KO l’Espagnol en demi-finales (6/2 6/3 6/2). Un match qu’aucun des deux hommes n’avait oublié évidemment, pour différentes raisons. En particulier le Taureau de Manacor, dont l’orgueil s’accommodait fort mal de ce lourd revers. Désireux de démontrer que celui-ci n’était qu’un simple accident, Nadal débutait ainsi ce 8e de finale à Indian Wells le pied au plancher et réussissait un break d’entrée, dès sa première opportunité. Mais Tsonga ne se laissait pas démonter et dans la foulée, il rendait la monnaie de sa pièce à son adversaire (1-1). Commençait alors un formidable bras de fer entre un Espagnol désireux de se montrer plus agressif qu’en Australie et un Français encore plus entreprenant. A tel point que c’était lui qui dictait les échanges, accumulant points gagnants et… fautes grossières. Mais sans conséquences toutefois. Mieux même, à 6-5 en sa faveur, il s’octroyait deux balles de set, qu’un bras un brin tétanisé ne lui permettait pas de convertir. Le genre de manque de réalisme qui pouvait coûter cher face à Nadal…

Le scénario inverse

Surtout que le numéro 2 mondial se détachait d’emblée 3 points à 1 après un superbe passing. Mais Tsonga dispose d’un mental en acier et il alignait cinq points de suite, alternant coup de fusil en coup droit et services intouchables. Cette fois, Nadal ne pouvait écarter qu’une balle de set, avant de céder sur la seconde (7/6, 7 points à 4). Survolté, le Manceau enchaînait en prenant d’entrée la mise en jeu de l’Espagnol, dont le regard noir trahissait le désarroi. Sauf qu’il faut toujours se méfier d’une bête blessée. Commettant deux fautes directes en coup droit, Tsonga ouvrait une brèche au joueur ibérique, qui la saisissait pour recoller (1-1) et faire ensuite la course en tête. Soit le scénario inverse du premier set. Un mimétisme poussé jusqu’à ce que Nadal se procure deux balles de set à 5-4 en sa faveur. Un passing superbe écartait la première, un ace s’occupant de la seconde. Direction du coup un nouveau tie-break. Celui-ci ne se déroulait cependant pas comme le précédent. Très agressif, Nadal mettait la tête sous l’eau au Tricolore (5 points à 0), avant d’égaliser logiquement à une manche partout (6/7, 3 points à 7).

Tsonga allait-il céder face à un Nadal de plus en plus dominateur ? Le Manceau tanguait en tout cas sérieusement, mais il s’accrochait à sa mise en jeu et écartait une balle de break à 1-1. L’Espagnol, lui, ne commettait quasiment plus aucune erreur et obligeait «Jo» à taper à chaque fois un coup de plus. Une tactique qui paraissait devoir marcher... Un temps seulement, car à 3-2 en sa faveur, Tsonga retrouvait sa verve du premier set et breakait pour se détacher dans cette ultime manche (4-2). Derrière, un jeu blanc plein de détermination rapprochait le Français d'une seconde victoire d'affilée sur le dauphin de Roger Federer (5-2). Fidèle à sa réputation, Nadal ne lâchait pas cependant. Il remportait son engagement facilement, avant de mettre la pression sur son adversaire. En panne de premières balles, Tsonga cédait alors son engagement et le match changeait d'âme. L'Espagnol revenait à 5-5 au prix de formidables rallies défensifs. Moralement atteint, Tsonga concédait un nouveau break (5-6) et ne pouvait empêcher le Majorquin de conclure (6/7 7/6 7/5). Nadal a bien pris sa revanche mais le Français a démontré que son parcours australien était lon d'être un accident.

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Indian Wells (H) : Tsonga positive



Rédaction Sport365 - jeudi 20 mars 2008 - 14h17

Battu sur le fil en trois sets par Rafael Nadal en huitième de finale à Indian Wells, Jo-Wilfried Tsonga préfère positiver. « Je suis déçu car je ne gagne pas mais je sais que je fais partie des meilleurs », résume le finaliste de l'Open d'Australie 2008.

Jo-Wilfried Tsonga pas abattu. « Je suis déçu car je ne gagne pas mais je sais que je fais partie des meilleurs. Je voulais prouver que Melbourne n'était pas un accident », a déclaré le n°3 français après sa défaite (6-7, 7-6, 7-5) contre Rafael Nadal en huitième de finale du Masters Series d'Indian Wells. En manque de sensations et de matchs, l'élève d'Eric Winogradsky a conscience du travail à accomplir : « Je ne suis pas le même Jo. Je reviens d'un mois sans jouer. Je ne suis pas à mon meilleur niveau. »

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Meilleur classement pour Tsonga

Mardy Fish, 98e avant sa finale à Indian Wells, fait un bond de 58 places pour se placer au 40e rang ! Jo-Wilfried Tsonga occupe le meilleur classement de sa carrière.

Le superbe parcours de Mardy Fish à Indian Wells est récompensé au classement ATP. L’Américain, 17e joueur mondial il y a quatre ans, fait un bond de 58 places pour prendre le 40e rang mondial. Jo-Wilfried Tsonga atteint, lui, le meilleur classement de sa carrière en se classant à la 12e place.

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Tsonga honoré par ses pairs

27/03/2008 10:00

Jo-Wilfried Tsonga a été honoré mercredi par ses collègues joueurs à l'occasion des oscars de l'ATP. Le Français a reçu le trophée du «Nouveau venu» de l'année 2007, en récompense de son ascension de la 212e à la 43e place mondiale. Par ailleurs, le trophée de meilleur joueur est revenu sans surprise à Roger Federer, alors que l'oscar du joueur ayant le plus progressé a été attribué à Novak Djokovic.

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Tsonga forfait

Le Français Jo-Wilfried Tsonga doit déclarer forfait pour le quart de finale de Coupe Davis contre les Etats-Unis.

Coup dur pour les Bleus. Jo-Wilfried Tsonga a été contraint de déclarer forfait pour la rencontre Etats-Unis - France. Ce dernier a ressenti une douleur au genou droit lors du quart de finale de double qu’il a disputé mercredi dernier à Miami aux côtés de Richard Gasquet. Cette gêne s’est réveillée cette semaine, lors d’un entraînement. Une IRM a dévoilé une inflammation du ménisque interne. Tsonga doit observer une période de repos de 8 jours. Arnaud Clément, appelé en tant que remplaçant, est donc intégré dans le groupe

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Tsonga, lésion au genou confirmée

Tennis - 15/04/2008 - 20:02

Jo-Wilfried Tsonga, forfait en Coupe Davis ce week-end, souffre bien d'une lésion du ménisque droit. La durée de son indisponibilité n'est pas encore connue.

"Tsonga a passé des examens hier (lundi) qui ont confirmé une lésion du ménisque, a déclaré Eric Winogradsky." Le docteur Montalvan est en train d'organiser un rendez-vous avec des spécialistes du genou pour déterminer la marche à suivre", a-t-il ajouté, précisant que ce rendez-vous aurait lieu au plus tard d"ici à la fin de la semaine. (...) Aucune décision n'a été prise concernant la participation de Tsonga au tournoi de Monte-Carlo (21-27 avril), a poursuivi Winogradsky.

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