RG (F) - Golovin officiellement forfait

19/05/2008 20:15

Opérée d'un kyste en mars dernier, Tatiana Golovin n'a pas encore récupéré l'intégralité de ses moyens. La Française a dû déclarer forfait pour Roland-Garros en raison d'une trop grande fatigue. Absente à Rome, "Tati" avait effectué son retour sur le circuit principal à Berlin le 5 mai dernier, avec une défaite d'entrée face à la Danoise Caroline Wozniacki (7-6[4], 6-2). Elle avait repris la compétition une semaine plus tôt, lors du tournoi ITF de Cagnes-sur-Mer, où elle s'était inclinée au deuxième tour face à l'Estonienne Maret Ani.

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Le coeur de Golovin balance entre Samir Nasri et Joakim Noah


(photo actu star)

Alors que l'on pensait qu'elle filait le parfait amour avec le footballeur de l'OM Samir Nasri, Tatiana Golovin a été surprise par le magazine Closer dans les bras du basketteur Joakim Noah...

Le coeur de Tatiana Golovin semble être partagé entre deux hommes, deux sportifs même ! Alors qu'elle est apparue depuis plusieurs mois aux bras du footballeur de l'Olympique de Marseille, Samir Nasri, la belle tenniswoman de 20 ans a été surprise avec un autre... C'est le magazine Closer qui dévoile les clichés de Golovin avec Joakim Noah dans son édition de lundi. Et d'après les photos la joueuse de tennis et le basketteur semble proche, très proche... Ils ont été vus ensemble, regagnant leur hôtel parisien après la finale de Roland Garros, dimanche dernier.

Il y a trois explications possibles ! Soit Tatiana Golovin a un sosie, soit elle aime deux sportifs à la fois ou alors les photos avec Joakim Noah datent en fait d'avant son idylle avec le footballeur. Car la belle était bien en Suisse, à Bâle, vendredi pour encourager son chéri et l'équipe de France, qui dispute actuellement l'Euro 2008. Golovin a assisté, avec les autres femmes des Bleus, à la débâcle face aux Pays-Bas (4-1) depuis les tribunes.

Espérons que Nasri ne tombera pas sur ces clichés avant d'affronter l'Italie mardi... Si Domenech décide de le faire jouer, il risque d'être un peu perturbé ! Alors Tatiana Golovin est-elle juste une briseuse de coeurs ? C'est possible... mais la petite amie américaine de longue date de Joakim Noah n'aimerait pas tomber sur ses photos non plus...

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Golovin déclare forfait

Pas encore remise de ses opérations et en manque de compétition, Tatiana Golovin a déclaré forfait pour le tournoi de Wimbledon.

Après Birmingham et Eastbourne, Tatiana Golovin a décidé de faire l’impasse sur Wimbledon. Une décision attendue pour la Française, opérée de l’appendicite et de la hanche il y a plusieurs semaines, et qui ne voulait pas débarquer à Londres sans aucune préparation. «Tati» espère pouvoir renouer avec la compétition lors de la tournée américaine. La joueuse est inscrite au tournoi de Los Angeles programmé le 21 juillet prochain.

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Golovin zappe Wimbledon

Tatiana Golovin fait également l'impasse sur Wimbledon (Panoramic)
Déjà absente à Birmingham et Eastbourne, Tatiana Golovin a également décidé de renoncer à Wimbledon. La Française espère faire son retour fin juillet.

C’est tout sauf une surprise. Au début du mois de juin déjà, Tatiana Golovin était très pessimiste quant à ses chances de participation à Wimbledon. La Moscovite de naissance, qui a fait l’impasse à Birmingham et Eastbourne, savait qu’arriver dans le plus prestigieux tournoi du monde sans avoir disputé le moindre match sur gazon constituerait un gros risque.

Toujours pas à 100%

Ne s’estimant toujours pas être prête à revenir sur le court, Tati a préféré renoncer. Opérée de l’appendicite et d’un kyste de six centimètres situé au niveau du bassin en mars dernier, la joueuse veut absolument éviter la rechute. «Ce serait idiot de tout gâcher en jouant coûte que coûte. Ma saison 2008 est pourrie, mais j'espère qu'à vingt-et-un an je repartirai très vite. Je souffre toujours du dos. Je ne suis pas en état de jouer des matches. Il y a six mois que ça dure et l’inflammation est toujours là. Je vais partir pour les États-Unis en espérant pouvoir me préparer pour les tournois américains sur dur avant les jeux Olympiques. En attendant, je marche aux anti-inflammatoires mais, comme il n’y a pas de progrès sensibles, il va peut-être falloir pratiquer une infiltration. Il n’est pas question de repasser sur le billard pour mon dos, il faut juste que l’inflammation disparaisse», confie-t-elle dans les colonnes de L'Equipe.

Revenir pour les Jeux

Après un début de saison complètement gâché, Golovin espère donc être totalement rétablie pour la tournée américaine. La compagne de Samir Nasri est d’ailleurs d’ores et déjà inscrite au tournoi de Los Angeles qui débute le 21 juillet prochain. Le but est d’avoir suffisamment de matches dans les jambes pour être au top lors des Jeux Olympiques de Pékin, dont elle a fait l’un de ses principaux objectifs. Il sera ensuite temps de se projeter sur l’US Open, dernier Grand Chelem de la saison, fin août…

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[
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La Française Tatiana Golovin a confirmé qu'elle ne participerait pas au prochain tournoi de Montréal.

Blessée de longue date et déjà absente à Wimbledon notamment, la Française Tatiana Golovin a confirmé qu'elle ne participerait pas au prochain tournoi de Montréal. Elle préfère poursuivre sa rééducation en vue des Jeux Olympiques.

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Golovin est parée



Tatiana Golovin, qui n'a joué que huit matches cette saison, a pris l'avion ce lundi direction Pékin. De retour de Floride, où elle s'est entraînée, Tati disputera le simple et le double olympiques !

Le double avec Parmentier

Si elle a eu le temps, Tatiana Golovin a dû attentivement regarder les deux exploits de Stefan Schumacher sur les routes du Tour de France. Pourquoi ? Car comme lui, elle est devenue en un rien de temps une spécialiste du contre-la-montre. Ainsi, depuis le 5 mai dernier et une défaite face à la Danoise Caroline Wozniacki sur la terre battue de Berlin, Tati n'a plus foulé les courts en compétition officielle. Une opération de l'appendicite, l'apparition d'un kyste sur la hanche et des douleurs persistantes au dos ont chronologiquement gangrené sa saison, au cours de laquelle elle n'a disputé que huit petits matches (six sur le circuit principal et deux à Cagnes-sur-Mer). Face à autant de contretemps, la question de sa présence à Pékin a alimenté les doutes mais Georges Goven les a levés ce week-end sur l'antenne d'Eurosport. «Tatiana sera de la partie. Elle retrouve la forme petit à petit et prendra l'avion lundi pour Pékin avec Alizé Cornet, Virginie Razzano et Pauline Parmentier, avec laquelle elle sera associée en double».

«Elle devra faire attention»

Le capitaine de l'équipe de France de Fed Cup va même plus loin dans ses explications, tordant le cou aux plus médisants : «Est-elle fragile ? N'a-t-elle pas fait suffisamment attention ? Il y a certainement un peu des deux, mais elle semble réellement avoir pris conscience qu'elle devait faire des efforts sur les étirements, les gainages, les soins, l'alimentation... Ce que je peux dire, c'est qu'elle travaille bien et pour le moment, tous les signaux sont au vert». Pour faire pencher le diagnostic médical du bon côté, Golovin y a mis tout son coeur et sa patience. Depuis son forfait à Roland Garros, elle a dû rayer de son programme quatre tournois : Birmingham, Wimbledon, Los Angeles puis Montréal ! A quoi a donc ressemblé son emploi du temps depuis sa dernière apparition en public à l'Euro de football pour y soutenir son ami Samir Nasri ? Fin juin, après avoir appris qu'elle était officiellement sélectionnée pour les JO, la 28e joueuse mondiale a pris l'avion pour rejoindre sa résidence Miami. «Je suis à Miami, je m'entraîne doucement et j'espère reprendre à fond dans une dizaine de jours ! Je commence vraiment à m'impatienter de retrouver ma forme physique et reprendre la compétition», se lamentait-elle alors sur son site personnel.

Un crochet chez Bolletieri

La forme physique, elle l'avait déjà bien travaillée en gymnase en plein Roland Garros, en arrivant sur le site parisien à l'ouverture des portes vers 7h30. Au niveau tennistique, la Moscovite d'origine a trouvé son sauveur en la personne de Nick Bolletieri un mois plus tard. Depuis début juillet, son ancien mentor l'a invitée à son Académie floridienne basée à Bradenton afin qu'elle puisse y bénéficier des structures d'entraînement. Vue aux côtés de Taylor Dent et Kei Nishikori, l'ancienne protégée de Mats Wilander a pu taper des balles et enfin se déplacer sur le court. Fin juillet, après deux bonnes semaines de travail intensif couplé à de la rééducation, elle annonçait donc son forfait pour la Rogers Cup de Montréal et rentrait en France le 22 juillet. Depuis, elle a poursuivi sa remise à niveau au Tennis Club de Paris en compagnie de Georges Goven. Conscient qu'elle a tout fait pour être au rendez-vous, celui-ci lui a donc remis le précieux sésame pour Pékin en sachant qu'une médaille olympique est un objectif quasi-intouchable, pour ne pas dire utopique. Mais le coeur y sera, c'est déjà ça

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JO - Tennis (F) - Tatiana Golovin renonce

09/08/2008 09:23

Tatiana Golovin a annoncé samedi son forfait pour les tournois olympique de simple et de double. La joueuse française s'est de nouveau ressentie de ses douleurs au dos. En dépit d'un bon traitement et de séances d'entraînement en douceur, elle a eu de nouveau mal, à son réveil. N'étant pas à 100% de son potentiel et n'ayant pas joué depuis le mois de mai, elle a donc décidé de renoncer.

Son forfait met du coup Pauline Parmentier hors course dans le tournoi de double où les deux Françaises étaient associées.

O.P. à Pékin (avec D.B.)

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Golovin : «Une question de patience»

09/09/2008 19:26

Après une année cauchemardesque, ponctuée par une appendicite, un kyste à la hanche et des douleurs au dos, Tatiana Golovin (Photo L'Equipe) entrevoit le bout du chemin. Son inflammation au dos se résorbe, la Française s'entraîne physiquement et souhaite désormais ne pas précipiter sa reprise. «Cette saison, il faut être réaliste. Il vaut mieux faire deux bons mois d'entraînement et reprendre en Australie.» Tati a retenu les leçons, données par son corps, mise aujourd'hui sur la patience et revient en exclusivité sur cette saison galère avec comme crève-coeur, les Jeux Olympiques : «Quand j'ai pris l'avion, j'étais sûre à 100% de jouer. Il n'y avait pas de doute. Avec le voyage, le climat et l'entraînement, j'ai commencé à sentir des douleurs. J'étais vraiment perdue. J'étais là-bas, j'avais envie de jouer et je ne pouvais pas. C'était le moment le plus difficile de l'année.»

«Tatiana Golovin, comment allez-vous après tous vos ennuis de santé ?
Cela va bien. Je suis rentrée de Londres et je suis actuellement à paris. Je fais des tests médicaux, des prises de sang et une IRM. L'inflammation commence vraiment à partir, il ne reste presque plus rien. C'est vraiment une très bonne nouvelle.

D'où vient cette accumulation de blessures ?
C'est une accumulation de choses. Ce mal au dos, survenu en janvier, est une conséquence. J'ai fait beaucoup, beaucoup d'efforts toute ma carrière. Je joue depuis sept ans et mon corps connaît un moment de faiblesse. L'année dernière, j'ai très bien fini la saison. J'étais 12e mondiale et j'ai enchaîné beaucoup de matches. J'ai connu beaucoup de stress au niveau corporel et mental. Après cette fin de saison, j'ai tout de suite enchaîné. Je n'ai peut-être pas pris assez de repos. Je n'avais peut-être pas assez récupéré et à un moment, mon corps a commencé à dire qu'il fallait y aller doucement. Je me disais : je suis jeune, mon corps va bien. Je n'ai peut-être pas prêté assez attention à mon corps. Il faut que je remette tout en ordre avant de repartir. Depuis l'âge de 7 ans, je m'entraîne tous les jours, j'ai passé beaucoup d'heures sur le terrain avec la chaleur, les décalages horaires, la fatigue. Puis il y a eu le kyste et l'appendicite.

Aujourd'hui, vous allez prendre votre temps.
Avec l'expérience, j'ai appris. Avec mes entorses à la cheville, j'ai toujours voulu recommencer plus tôt pour aller jouer en Fed Cup ou les Grands Chelems. En fin de compte, j'ai fait plus de mal que de bien à mon corps. C'est la raison pour laquelle je ne reprends pas tout de suite même si l'inflammation commence à baisser et que je me sens de mieux en mieux. Je veux prendre mon temps et revenir plus forte que jamais, avec aucun pépin de santé. Je suis très ambitieuse, je n'ai pas envie de revenir pour faire un ou deux tournois et jouer moyennement. Je me suis déjà prouvée que je pouvais battre les meilleures joueuses et que je pouvais être dans le Top 10.

Avez-vous beaucoup douté pendant cette période d'arrêt forcé ?
C'est le pire des cauchemars pour un athlète. Sans notre corps, on ne peut rien faire. Au départ, il n'y a eu pas mal de diagnostics différents. Je ne pensais pas que cela pouvait être aussi grave. On a peut-être perdu un petit peu de temps. Avec l'expérience, je sais qu'il faut toujours être à 100 % dans le sport de haut niveau. Il y a beaucoup de contraintes mentalement et physiquement. Il faut revenir uniquement quand tout va bien et lorsque tous les tests sont positifs.

Et moralement, comment avez-vous vécu cette période ?
J'ai connu beaucoup de hauts et de bas. Parfois, je n'étais pas bien du tout. A d'autres moments, j'étais bien, j'avais de l'espoir et je me disais que je reviendrais. Actuellement, je suis dans cet état d'esprit. Je sais que je vais revenir et que cela va très bien se passer. C'est juste une question de patience. C'est un peu comme un test pour voir ma volonté de revenir et de rejouer. Je remercie tous les gens qui étaient près de moi pour me soutenir dans ces moments difficiles. C'est très bouleversant dans une carrière. Toute ma vie, j'ai joué au tennis et je n'ai pensé qu'à cela. D'un coup, je n'avais plus le tennis et il fallait faire autre chose.

Qu'avez-vous fait ?
J'ai passé beaucoup, beaucoup de temps chez les médecins avec les scanners et les prises de sang. J'ai les bras tout bleus ! En même temps, j'ai essayé de profiter mes amis et de ma famille et de garder le moral. J'ai essayé de ne pas trop regarder les tournois. Chaque fois que je regarde le tennis, je me dis que je pourrais y être. Chaque fois que je regarde un match, j'ai envie de m'entraîner directement. Avec les Jeux Olympiques, j'ai eu beaucoup d'espoirs. Je pensais que j'allais pouvoir reprendre. J'avais fait trois semaines d'entraînement, je faisais des matches, j'étais vraiment prête à jouer.

Que s'est-il exactement passé à Pékin ?
Quand j'ai pris l'avion, j'étais sûre à 100% de jouer. Il n'y avait pas de doute. Je jouais bien et je commençais même à me faire des idées de médailles. J'avais envie de gagner comme dans n'importe quel tournoi. Avec le voyage, le climat à Pékin, la fatigue et l'entraînement avec les filles là-bas, cela a été un peu trop. C'était prématuré. J'ai commencé à sentir des douleurs. J'étais vraiment perdue. J'étais là-bas, j'avais envie de jouer et je ne pouvais pas. C'était le moment le plus difficile de l'année. Quand il y a les Jeux Olympiques, on ne pense au temps nécessaire pour récupérer, on pense à jouer. Je l'ai très mal vécu ce forfait. On a parlé avec le docteur, j'ai essayé de rejouer, j'ai pris des médicaments, j'ai fait de la mésothérapie. On a tout fait pour que je puisse jouer. J'ai dû prendre ma décision au dernier moment. C'était très dur parce que je me disais : «Essaie de jouer, entre sur le court». Si j'avais fait de la figuration comme à Berlin, je l'aurais regretté.

Aujourd'hui, quel est votre programme ?
Je fais uniquement du physique. J'ai des bons centres de soins à Londres. J'attends de ne plus avoir mal nulle part, de voir que tous les tests médicaux sont positifs. A ce moment-là, soit je rentrerais aux Etats-Unis, soit je m'entraînerais à la Fédération, soit je retrouverais un entraîneur. C'est le prochain pas à faire. Il faut rester positif. Je ne me suis pas donnée de date parce que je me suis donnée des dates toute l'année. Cela ne sert à rien, il ne faut pas brusquer les choses car on se met davantage de stress et la situation ne fait qu'empirer. Il faut du temps. Cette saison, il faut être réaliste. Je rate toute l'année, ce n'est pas dans les cinq derniers tournois que je vais faire quelque chose. Il vaut mieux faire deux bons mois d'entraînement et reprendre en Australie.

Ces blessures vous font-elles revoir votre programmation pour l'an prochain ?
Cela m'a fait beaucoup mûrir et réfléchir par rapport à la façon dont je gérais ma carrière et ma vie. Aujourd'hui, je sais qu'un corps de haut niveau n'est pas un corps normal. Quand on est joueur de tennis, on ne peut pas vivre la vie des gens "normaux". Il y a beaucoup de sacrifices à faire. Peut-être que je ne les faisais pas avant, cela m'a fait réaliser à quel point je suis sensible. C'est l'hygiène de vie, la façon de s'entraîner, l'enchaînement des tournois en gérant mieux sa programmation. Je sais que la santé est importante et je ne prends plus rien pour acquis. Il faut mieux gérer sa vie, tout simplement.»

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http://www.lequipe.fr/Tennis/20080909_192610_golovin-une-question-de-patience_Dev.html

Tennis-WTA - Arrêt de Golovin : «Rumeur infondée»

20/11/2008 15:04

Contrairement à ce que la rumeur prétend, Tatiana Golovin n'envisage pas de mettre un terme un carrière. «Les rumeurs sont complètement infondées » a précisé son attachée de presse, jointe par téléphone jeudi. Blessée au dos et absente du circuit depuis mai dernier, la Française connaît certes une période difficile au niveau de la santé, mais «elle fait toujours partie du tennis français» selon la même source.

Tombée au 249e rang alors qu'elle pointait au 12e en février dernier, Golovin a subi deux opérations en mars, à l'appendice et aux ovaires. Un bras et un dos douloureux ont ensuite différé son retour sur les courts. Forfait de dernière minute aux JO de Pékin, la joueuse tricolore a une nouvelle fois tenté de revenir au début du mois d'octobre sous la houlette de Loïc Courteau, l'ancien entraîneur d'Amélie Mauresmo. Essai de courte durée. Toujours touchée au dos, elle a prématurément dû mettre fin à leur collaboration, et souffrirait de spondylarthrite, une maladie inflammatoire de la colonne vertébrale... Pas nécessairement synonyme de retraite forcée.

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Golovin a hâte de revenir

11/02 18h26 - Tennis, WTA

Sur le site de l'Open GDF-Suez, Tatiana Golovin est revenue sur sa situation actuelle et son indisponibilité qui dure depuis de longs mois.

«Ca va bien. Ca prend toujours un peu de temps pour bien guérir et revenir en forme. Je souffre d'une inflammation du dos. Donc, c'est beaucoup de soins, de traitement et du repos à prendre. Et surtout, il faut être patient. Mais je garde quand même espoir et je fais tout le nécessaire pour revenir le plus vite possible (...) Pour l'instant, je vis vraiment au jour le jour. Je donne surtout la priorité à mon dos et ça prendra le temps que ça prendra. Mais en tous cas, j'ai le moral.»

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TV > Tatiana au micro ?

Par Laurent Trupiano, vendredi 01 mai 2009 à 12:50

Selon certaines informations, Tatiana Golovin qui ne peut toujours pas revenir sur un court sera au micro de France Télévisions en tant que consultante. Elle complète un dispositif déjà composé de Sarah Pitkowski et Patrice Dominguez.

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La confession de Golovin



Douzième mondiale en février 2008, à 20 ans, Tatiana Golovin s'est confiée à L'Equipe de ce mercredi. La Française a disputé son dernier match à Berlin, le 6 mai 2008. Victime d'importantes douleurs au dos - dues à une spondylarthrite - elle n'a pratiquement plus de chances de reprendre la compétition. « Apprendre ma maladie fut un gros choc, mais maintenant, je sais ce que j'ai et ce que j'ai, on n'en guérit pas. Il y a des soins, des thérapies assez lourdes à suivre. Ai-je des chances de rejouer ? Ce n'est pas conseillé, mais je suis encore jeune. Les douleurs peuvent tout d'un coup disparaître...Ou pas. Il faut vivre avec ça. »

Du coup, Golovin s'interroge clairement sur son avenir. « Je suis restée forte et que je rejoue ou pas, il y a des choses qui m'attendent dans le futur. Si je dois vraiment renoncer au tennis, ce sera pour me lancer dans l'humanitaire, trouver quelque chose qui ait un sens, où je pourrai voir grand. » Et mettre de côté ce sport qui a représenté tellement de choses : « Le tennis pour moi, c'était comme un bébé, que j'ai porté, qui a grandi et qui fait qu'à un moment, tu es fière de lui, comme j'étais fière de mon tennis. Je n'ai pas de regret. Je me demande simplement ce que j'aurais pu faire pour éviter ce qui m'est tombé dessus. »

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