La demi-finale à Madrid?


Rafael Nadal devrait être le chef de file de l'Espagne. (Photo Getty)

Mardi 29 avril 2008
AGENCE FRANCE-PRESSE

MADRID - La demi-finale de la coupe Davis 2008 entre l'Espagne et les États-Unis pourrait avoir lieu du 19 au 21 septembre dans la célèbre "Plaza de toros" de Las Ventas à Madrid, selon le quotidien sportif Marca de mardi.

Madrid tient la corde face aux autres candidatures de Benidorm, Tenerife et Gijon pour organiser cette demi-finale, dont le lieu sera en principe annoncé le 9 mai par la Fédération espagnole de tennis, a précisé Marca.

Les arènes de Madrid, où débute bientôt la Feria taurine annuelle de la San Isidro, peuvent accueillir 23.000 spectateurs.

Les organisateurs y installeront probablement un court en terre battue, surface préférée des Espagnols, mais peu appréciée des Américains, pour cette demi-finale.

http://www.rds.ca/tennis/chroniques/250805.html

Les Espagnols vont au clash

Les joueurs espagnols de Coupe Davis sont entrés en conflit avec le président de leur Fédération. En cause: le lieu de la demi-finale. Pedro Munoz veut recevoir les Etats-Unis dans les arènes de Las Ventas à Madrid, soit à environ 600 mètres d'altitude. Bien trop haut pour les joueurs...

Un sérieux conflit a éclaté publiquement mardi entre les tennismen espagnols et leur Fédération au sujet du possible choix, contesté par les joueurs, de Madrid comme siège de la demi-finale de la Coupe Davis 2008 entre l'Espagne et les Etats-Unis en septembre. M. Munoz, président de la Fédération espagnole de tennis (RFET), voudrait que la demi-finale se déroule du 19 au 21 septembre dans les célèbres arènes de Las Ventas à Madrid, soit à environ 600 mètres d'altitude, alors que les joueurs préféreraient jouer au niveau de la mer, à Benidorm, Tenerife ou Gijon, autres villes candidates.

Selon les médias espagnols, les joueurs ont décidé dans la nuit de mardi à mercredi à Rome, où ils participent au tournoi Masters Series sur terre battue, de rompre avec Pedro Munoz qu'ils accusent de les avoir "trompés. Dans un message à "l'opinion publique" espagnole, également signé par le capitaine de l'équipe de Coupe Davis, Emilio Sanchez-Vicario, les joueurs affirment leur "désaccord" avec M. Munoz et annoncent la rupture de tout contact avec lui, indique mardi le quotidien El Mundo sur son site internet.

La mer plutôt que la montagne

Les joueurs espagnols sont mécontents de ne pas avoir été consultés, alors que la Fédération s'y était engagée, pour le choix de la ville, qui devrait être annoncé vendredi. Ils jugent que l'altitude relative de Madrid favoriserait le jeu plus rapide des Américains. Ils indiquent dans leur message qu'ils cesseront de participer à tous les actes de la RFET tant que M. Munoz sera président, mais ne précisent pas s'ils exigent sa démission ou ce qu'ils feront si Madrid est effectivement désignée.

Selon les médias espagnols, la Fédération est soumise à des pressions pour choisir Madrid, dans la mesure où la Communauté de Madrid, par le biais de son office du tourisme, est devenue en janvier parraineur officiel de la Coupe Davis jusqu'en 2010. Il n'a pas été possible mardi en début d'après-midi d'obtenir une réaction de la RFET au sujet du message des joueurs, signé notamment par le numéro un espagnol Rafael Nadal.

www.eurosport.fr

El problema es Muñoz, no Madrid



El mayor cisma del tenis español enfrenta a jugadores y presidente. Nadie ataca la sede de la semifinal de la Davis.

Neus Yerro

Hubo quien quiso hacer una cruzada. Madrid vilipendiada. Pero el cisma existente en el tenis español entre presidente y jugadores no tiene su raíz en la Copa Davis. Viene de lejos.

Comunicados, ruedas de prensa, declaraciones –más o menos fuertes y por ambas partes–, para poner en evidencia un distanciamiento que no es nuevo pero que ha alcanzado su cénit con la elección de sede para la semifinal ante Estados Unidos.

El problema, como han reiterado en las últimas horas los jugadores, no es Madrid. Ellos, encantados con jugar allí, sabedores de que la plaza de toros de Las Ventas será una olla a presión, como lo fue el Estadio de La Cartuja de Sevilla en 2004. “Creo que Madrid tiene cosas muy buenas: 25.000 espectadores y el público es el mejor de España sin ninguna duda. Estaremos ahí al cien por cien”, señaló Tommy Robredo. “No era un tema de Madrid sí o Madrid no. No tenemos ningún problema en jugar allí. Será una eliminatoria increíble y vamos a ir a morir”, aseguró Nicolás Almagro mientras el número uno del equipo, Rafael Nadal, está convencido de que “España es favorita jugando en tierra batida”, independientemente de hacerlo en altura, aunque es cierto que ésta puede variar las condiciones de juego: favorece a los sacadores –y en Roma, a nivel de mar, se ha visto servir a Andy Roddick a 221 km/h–, y reduce el control en el peloteo.

“El público se vuelca y el escenario es precioso”, declaró Carlos Moyà, “con lo que no estamos contentos es con las mentiras del presidente y con su tomadura de pelo”, apostilló. El problema es Pedro Muñoz. “Desde que llegó a la presidencia, ha hecho cosas sin consultarnos o ha fingido que nos consultaba para hacer después lo que quería”, opina Robredo.

Más duro se mostró Juan Carlos Ferrero: “Tal como dijimos en nuestra carta, los problemas con Muñoz no vienen sólo de la elección de esta sede. Quisimos informar a la opinión pública, a través del comunicado, de las formas de Muñoz. Y eso no ha cambiado. Se nos engañó en repetidas ocasiones y se nos seguirá engañando. Ya hemos hablado muchas veces con él pero nunca sirve de nada. Si yo fuera él, dimitiría”, declaró el valenciano desde Villena.

La herida está abierta. Los jugadores acatan la decisión –y no hay que olvidar que tanto Ferrero como Nadal han sido campeones en Madrid– pero no están dispuestos a seguir siendo ‘toreados’. Como con la marcha de Josep Perlas del G-3; la destitución del G-2 y posterior nombramiento de Emilio Sánchez Vicario o ahora, cuando el presidente de la RFET ha dejado a un lado su promesa de vincular la decisión a los deseos técnicos (y la mayoría quería jugar a nivel de mar). “La eliminatoria va a ser dura y en Madrid lo será más aún, pero hay que aceptarlo tal y como es”, apostilla el capitán, que mañana se reúne con Muñoz. Una reunión de la que estará pendiente el secretario de Estado para el Deporte, Jaime Lissavetzky, quien aboga por encontrar una vía de solución para un deporte en el que tenía depositadas grandes esperanzas...

SOURCE

Nadal ne décolère pas

Opposé à l'idée de jouer le demi-finale de Coupe Davis contre les Etats-Unis à Madrid, Rafael Nadal est revenu à la charge contre le président de sa fédération, Pedro Muñoz, réclamant son départ.

"Nous ne nous sentons pas représentés par lui et nous n'en voulons pas", a lâché Nadal. M. Muñoz souhaitait que la demi-finale se déroule à Madrid, à environ 600 mètres d'altitude, alors que les joueurs préféraient jouer au niveau de la mer, estimant que l'altitude favorise le jeu plus rapide des Américains.

Selon certains médias espagnols, la Fédération aurait été soumise à des pressions de la Communauté de Madrid par le biais de son office du tourisme, qui est devenu en janvier parrain officiel de la Coupe Davis jusqu'en 2010.

source : eurosport

Nadal s'emporte

Mardi 13 mai 2008 - 14:27

Très remonté contre la décision de jouer la demi-finale de la Coupe Davis contre les Etats-Unis à Madrid, le porte-drapeau du tennis espagnol Rafael Nadal est revenu à la charge contre le président de sa fédération, réclamant son départ.

"Nous ne nous sentons pas représentés par lui et nous n'en voulons pas", à lâché Nadal lundi soir depuis Hambourg (Allemagne) à la télévision publique espagnole, à propos du président de la Fédération espagnole de tennis (RFET), Pedro Muñoz. "Nous en avons terminé avec lui (...). Si le président dit une chose et fait son contraire, dans un nombre de cas infini, il ne peut continuer à être notre président", a asséné le numéro 2 mondial au classement ATP.

La goutte d'eau qui a fait déborder le vase a été la décision de la RFET de faire jouer la demi-finale de la Coupe Davis contre les Etats-Unis -du 19 au 21 septembre-, dans les arènes de Madrid, et non dans une autre des villes candidates (Benidorm, Tenerife et Giron). M. Muñoz souhaitait que la demi-finale se déroule à Madrid, à environ 600 mètres d'altitude, alors que les joueurs préféraient jouer au niveau de la mer, estimant que l'altitude favorise le jeu plus rapide des Américains.

Selon certains médias espagnols, la RFET aurait été soumise à des pressions, de la Communauté de Madrid, par le biais de son office du tourisme qui est devenu en janvier parraineur officiel de la Coupe Davis jusqu'en 2010.

Les joueurs espagnols et leur entraîneur, Emilio Sanchez-Vicario, se disant "trompés", avaient par avance critiqué cette décision en annonçant en début de semaine dernière à Rome, dans une lettre à "l'opinion publique", qu'ils rompaient toute relation avec M. Muñoz et ses méthodes "dictatoriales".

"Madrid mérite une demi-finale mais ce que nous n'acceptons pas, c'est qu'on nous l'impose", a ajouté Nadal depuis Hambourg. "Un président ne peut pas s'occuper de ses seuls intérêts personnels et politiques et laisser de côté ceux de ses joueurs". "Il y a des choses encore plus fortes qui ne sont pas sorties à la lumière mais qui peuvent sortir", a-t-il poursuivi sur un ton menaçant.

sport.fr
http://www.sport.fr/tennis/ten/Nadal-s-emporte-122722.shtm

Coupe Davis-Espagne: Nadal de la partie

09/09/2008 - 17:20

Alors que des rumeurs faisaient état d'un possible forfait en raison de la fatigue accumulée ces derniers mois, Rafael Nadal participera bien à la demi-finale de la Coupe Davis, du 19 au 21 septembre à Madrid, face aux États-Unis. Pour affronter les tenants du titre, le capitaine espagnol, Emilio Sanchez, a retenu, outre le numéro un mondial, David Ferrer, Fernando Verdasco, Feliciano Lopez et Nicolas Almagro. La finale se jouera dans les arènes de Las Ventas, dans la capitale ibérique, sur un court en terre battue.

www.sports.fr

Nadal avec l’Espagne

9/09 16h40 - Tennis, Coupe Davis

L’équipe d’Espagne de Coupe Davis qui affrontera les Etats-Unis sera composée de Rafael Nadal, David Ferrer, Fernando Verdasco, Feliciano Lopez et Nicolas Almagro.

La composition de l’équipe d’Espagne de Coupe Davis est tombée. Rafael Nadal en sera. Le numéro 1 mondial sera accompagné de David Ferrer, Fernando Verdasco, Feliciano Lopez et Nicolas Almagro. Ce dernier est remplaçant. L’Espagne affrontera les Etats-Unis les 19, 20 et 21 septembre à Madrid dans le cadre des demi-finales. Le groupe ibérique se retrouvera dès samedi pour s’entraîner. Sans Nicolas Almagro, si celui-ci allait au bout au tournoi de Bucarest, et Rafael Nadal, au repos.

www.sport24.com

Coupe Davis - Nadal repart au combat

09/09/2008 14:38

Rafael Nadal n'a pas le temps de souffler. Après un enchaînement violent Toronto - Cincinnati - Jeux Olympiques - US Open, le n°1 mondial doit maintenant mener la charge pour son pays en demi-finales de la Coupe Davis. L'Espagne affronte en effet les Etats-Unis, vainqueurs en titre, du 19 au 21 septembre à Madrid.

Pour épauler Nadal, le capitaine Emilio Sanchez a fait appel à David Ferrer, Fernando Verdasco, Feliciano Lopez et Nicolas Almagro. Sanchez affirme que, bien que Nadal soit fatigué, il est enthousiaste à l'idée de participer et devrait pouvoir récupérer durant les quelques jours de repos avant le début de la rencontre.

www.lequipe.fr

Coupe Davis - Quelles vendanges pour Nadal?



Comme d'habitude, Rafael Nadal arrive au bout du rouleau à la fin de l'été. Comme d'habitude, il gagne comme si de rien n'était ou presque. Médaillé d'or à Pékin (un tournoi de plus que l'an passé), demi-finaliste à l'US Open, le nouveau N.1 mondial a encore amélioré ses perfs avant l'automne.

ET MAINTENANT LA COUPE DAVIS !

Rafael Nadal a l'habitude de repousser ses limites. A 22 ans, on possède encore une marge de progression. Physiquement, techniquement, tactiquement, nombreux sont les observateurs qui estiment que celui qui est déjà devenu N.1 mondial, peut encore s'améliorer. Reste la question du calendrier. Avant d'aborder une épreuve cruciale dans sa carrière, la Coupe Davis, le Majorquin a déjà joué 84 matches. Et la saison est loin d'être terminée puisque le Masters de Madrid, celui de Paris-Bercy et bien entendu la Masters Cup sont encore au programme, sans parler des piges possibles dans les autres tournois. C'est dans ces conditions qu'il s'apprête à défier les Américains, tenant du titre, en demi-finale de Coupe Davis ce vendredi.

Une fois de plus en 2008, Nadal a su faire mieux que l'année dernière à New York, (de quart de finaliste à demi-finaliste). Marqué par ses efforts olympiques, il avait dû faire une pause salvatrice juste avant le tournoi. Surtout sans toucher la raquette et en jouant notamment au golf. Il avait ainsi retrouvé un peu d'énergie et surtout de l'envie. Voilà qui est significatif : quand un acharné de la compétition tel que Nadal ressent de la lassitude, c'est que la saturation n'est pas superficielle. On l'a aussi entendu, à plusieurs reprises, regretter de ne pouvoir passer plus de temps chez lui à Manacor. Balloté d'un court et d'un horaire à l'autre à Flushing Meadows, Nadal a accepté les contraintes de son métier. Il admet aussi la pression qui pèse sur son programme.

"J'étais à la limite mentalement, et cela se répercute sur le physique. Je savais que cela pouvait m'arriver ici après tout ce que j'ai joué. Mais il n'y avait aucune possibilité de planifier tout cela autrement", avait-il souligné après sa défaite à Flushing. Avec quelques jours de repos, dixit son capitaine de Coupe Davis Javier Sanchez, il devra aussi donner tout ce qu'il a contre les Etats-Unis. Et l'année prochaine, devra-t-il aussi tout donner à Barcelone, car c'est le tournoi de son club, puis à Madrid, car ce sera la grande première du Masters Series sur terre, avant Roland-Garros...

NOMBRE DE MATCHES JOUES PAR SAISON

Roger Federer

2008 - 59 matches disputés avant l'US Open - ? au total

2007 - 52- 66 au total

2006 - 68- 87 au total

2005 - 68- 86 au total

2004 - 64- 81 au total

Rafael Nadal

2008 - 78 matches disputés avant l'US Open - ? au total

2007 - 71- 87 au total

2006 - 56- 72 au total

2005 - 75- 91 au total

2004 - 38 - 48 au total

DIFFICILE DE JOUER PLUS

Rafael Nadal a disputé 334 matches depuis janvier 2005, c'est-à-dire 29 matches de plus que Roger Federer sur la même période. Ce qui équivaut à un tiers de saison. C'est beaucoup pour un joueur qui a souvent été sur les rotules en fin de saison, au point de subir des blessures sérieuses (genou, et surtout pied fin 2005). Vu les résultats en 2008, on sait que "Rafa" peut gérer son organisme à merveille. Mais comment gérer le dernier tiers de la saison ? Cela dépend des objectifs.

Chaque chose en son temps peut aujourd'hui clamer Roger Federer. Le Suisse s'est imposé sur le tard en Grand Chelem et n'a jamais surchargé son calendrier pour arriver à ses fins. Actuellement, il sait que la course à la place de N.1 mondiale est très concurrentielle. Il aménage son année en fonction des grands rendez-vous car il veut avant tout gagner 15 titres du Grand Chelem au minimum. Rafael Nadal est dans une situation étonnante. Pendant quatre ans, il a donné la priorité à la terre battue, transformant son printemps en parcours du combattant (de triomphes en triomphes, non-stop ou presque d'avril à juin). Comme il faut y ajouter deux gros tournois sur gazon, plus les US Open Series, les jambes sont donc lourdes à l'automne, et ce malgré les améliorations de son jeu*. Le futur calendrier qui placera le nouveau tournoi de Madrid avant Roland-Garros ne modifiera pas l'impératif de réussite printanière. Son nouveau statut de N.1 mondial non plus. La question qui va bientôt s'imposer aux Nadal est la suivante : Faut-il faire des choix dès 2009 ?

Après quatre années incroyables, Rafael Nadal est déjà au sommet du tennis mondial. Son image a changé. Le "terrien" prodige, qui impressionnait ses adversaires en bondissant dans les vestiaires et dont les muscles alimentaient toutes les rumeurs**, a laissé la place à un joueur explosif, tacticien et polyvalent dans l'oeil du public. A lui de prouver qu'il peut donner une direction plus lisible à sa carrière. Sérieusement en danger de blessure selon son oncle à l'hiver 2007, il a donné l'impression de se ménager en début de calendrier avant de courir tous les lièvres à la fois ensuite. Entre exploits et fatigue.

* Toni Nadal expliquait déjà l'an dernier qu'il fallait écourter les échanges pour pouvoir être performant plus longtemps. C'est exactement ce qu'a réussi Nadal cette année. Seulement, il a joué plus de matches !!

** Deux polémiques ont touché Rafael Nadal : La rumeur de la fameuse liste du Docteur Fuentes (impliqué dans une affaire de dopage dans le cyclisme), qui a nécessité l'intervention par le Ministère des Sports espagnols. Et l'interprétation d'une interview de Toni Nadal concernant la blessure au pied du joueur en décembre 2007. "Il a une lésion grave et il doit adapter son jeu" , disait-il en substance.

yahoo.fr
http://fr.sports.yahoo.com/11092008/70/coupe-davis-quelles-vendanges-pour-nadal.html

Nadal « Inoubliable »

Rédaction Sport365 - mercredi 17 septembre 2008 - 12h24

Rafael Nadal s'apprête à recevoir, avec ses compagnons de route, les Etats-Unis à Madrid pour le compte des demi-finales de Coupe Davis. Une expérience que le numéro 1 mondial s'attend à vivre pleinement devant son public.

« Ça va être une expérience inoubliable que de jouer dans endroit comme Las Ventas s'est félicité Nadal sur son site officiel. C'est toujours particulier de jouer à la maison, qui plus est dans un endroit comme celui-ci. »

www.sport365.fr

Coupe Davis : Nadal rêve déjà de la finale



A deux jours de disputer la demi-finale de la Coupe Davis face aux Etats-Unis, Rafael Nadal est plus motivé que jamais dans les arènes madrilènes de Las Ventas. Attention le N°1 mondial est d'attaque !

Remis de l'US Open qu'il avait quitté au stade des demi-finales, Rafael Nadal enchaîne les séances d'entraînements dans les arènes de Las Ventas. Après avoir fait un break de quelques jours chez lui à Manacor, le premier depuis le début de l'année, le Majorquin a rallié Madrid. La capitale espagnole accueillera à partir de vendredi l'affrontement au sommet contre les Etats-Unis. A la clé une finale de Coupe Davis, que les Américains détiennent (32 victoires) et que l'Espagne n'a remporté qu'à deux reprises (2000 et 2004).

L'évènement est de taille pour Rafael Nadal et ses compatriotes. D'où leur motivation extrême : "Cette demi-finale est très ouverte mais nous n'avons pas d'autre choix que de nous qualifier pour la finale. La Coupe Davis est très spéciale. Et avec un tel scénario, en Espagne et à Madrid, il faudra faire de notre mieux", explique le nouveau N°1 mondial. "La Coupe Davis concentre les derniers grands efforts de l'année."

Intronisé le 18 août dernier roi de la planète tennis, à la place de l'incontournable Roger Federer, l'Espagnol prend ses marques sur la terre battue de Las Ventas. "Je ne me suis pas encore beaucoup entraîné sur le court de Las Ventas. Si on ne frappe pas parfaitement la balle elle sort très facilement. Mais c'est juste une question de rythme et de savoir accepter un peu plus d'erreurs que sur un court normal", confie-t-il.

Coachée par Emilio Sanchez, l'équipe espagnole composée de David Ferrer, Fernando Verdasco, Feliciano Lopez et du remplaçant Nicolas Almagro compte beaucoup sur Nadal pour franchir la marche des demi-finales. Cela tombe bien, le tout nouveau champion olympique n'a pas l'intention de laisser filer une ligne de plus à son très riche palmarès.

SOURCE

Coupe Davis: Querrey-Nadal en ouverture de la demi-finale



jeu 18 sep, 14h03

MADRID (Reuters) - Sam Querrey jouera contre Rafael Nadal lors du match d'ouverture de la demi-finale de la Coupe Davis qui oppose les Etats-Unis à l'Espagne à partir de vendredi dans les arènes de Las Ventas à Madrid.

Le match constituera la première apparition de Querrey, 20 ans et 39e joueur mondial, en Coupe Davis.

Le deuxième simple se jouera entre Andy Roddick, actuellement n°7 à l'ATP, et David Ferrer (n°5).

Samedi le double opposera les Espagnols Fernando Verdasco et Feliciano Lopez aux Américains Mike Bryan et Mardy Fish.

Nadal et Roddick se rencontreront dans le premier simple de dimanche. Ferrer et Querrey joueront le dernier match.

L'autre demi-finale oppose l'Argentine à la Russie à Buenos Aires.

yahoo.fr
http://fr.sports.yahoo.com/080918/26/xg2o.html

Nadal : «Impressionnant»

18/09 11h18 - Tennis, Coupe Davis

De vendredi à dimanche, la demi-finale de Coupe Davis entre l’Espagne et les Etats-Unis se déroulera dans les prestigieuses arènes Las Ventas de Madrid. Rafael Nadal est impatient d’y être.

«J'ai pris une petite semaine de repos après l'US Open mais ce n'est pas suffisant. Mentalement et physiquement, je suis très fatigué», a déclaré Rafael Nadal qui, toutefois, «ne pouvait manquer ce rendez-vous. Je ne suis pas un aficionado de la corrida. Pour tout dire, je n'avais jamais mis les pieds dans une arène. Et j'avoue que c'est impressionnant...»

www.sport24.com

L’autre défi de Nadal


Rafael Nadal s'était révélé en 2004 à Séville (Reuters)

A partir de vendredi jusqu’à dimanche, l’Espagne de Rafael Nadal reçoit les Etats-Unis à Madrid en demi-finales de la Coupe Davis. A l’autre bout de la planète, l’Argentine accueille la Russie.

par Bastien Aubert, le 18-09-2008

Le tenant en grand danger

C’était déjà il y a qutre ans. Un jeune inconnu nommé Rafael Nadal offrait le deuxième point à l’Espagne en battant Andy Roddick sur la terre battue de Séville en finale de la Coupe Davis. Son courage et sa force physique valaient déjà le coup d’œil. Quatre ans plus tard, le voilà n°1 mondial et Roddick et sa bande seront encore en travers de son chemin au stade des demi-finales. Malgré leur statut de tenants du titre, les Américains sont très loin de partir favoris. A vrai dire, on craint même qu’il n’y ait pas de véritable enjeu sur la terre battue madrilène des arènes de Las Ventas, impressionnantes avec leurs 22 000 places ! James Blake et Bob Bryan ont déclaré forfait et ont laissé leur place à Sam Querrey et Mardy Fish. Deux bons joueurs du Top 50 mais qui devront se frotter à des colosses comme Nadal, David Ferrer ou Fernando Verdasco (Fish prendra place en double et a dû remettre à plus tard ses préparatifs de mariage). La seule inconnue de la confrontation réside dans la façon dont vont s’adapter les Espagnols à l’altitude de l’enceinte madrilène, construite dans la précipitation juste après une corrida. «Le revêtement est encore très compact et la terre n’est pas encore bien disséminée», estime le capitaine Emilio Sanchez-Vicario. Nadal, qui a reçu un traiteement spécial au genou et à l’épaule depuis une semaine, disputera son deuxième match de l’année avec ses compatriotes après une période de disette de deux ans. Rallier la finale puis soulever le trophée sont ses deux derniers objectifs de la saison.

Maradona avec l’Argentine

Au Parque Roca de Buenos Aires, devant 14 097 supporters toujours très chauds, l’Argentine partira également favorite devant la Russie. Si l’on se fie aux chiffres, l’affaire semble dans le sac. Les Argentins n’ont plus perdu sur leur sol depuis dix ans et ont enchaîné douze victoires d’affilée ! Diego Maradona, fervent supporter, en a même profité pour s’entraîner avec se compatriotes mercredi. La perspective de prendre une revanche sur la finale 2006, perdue à Moscou après un incroyable bras de fer, devrait finir de motiver les troupes d’Alberto Mancini, emmenées par un David Nalbandian ultra-motivé et un Juan Martin Del Potro au sommet de son art. Seul problème et il est de taille, les Russes n’ont rien à envier à leurs adversaires sur la surface ocre. D’abord, car Nikolay Davydenko s’est reposé après l’US Open et a été blanchi des accusations qui pesaient contre lui dans l’affaire des matches truqués. Ensuite, car Igor Andreev a été élevé sur la brique pilée de Valence et reste sur un excellent Flushing Meadows. «Andreev est impressionnant mais il est aussi très inconstant. En vérité, je me méfie plus de Davydenko», a assuré Mancini, qui sait toutefois que la Russie mène 3 à 1 dans ses confrontations avec l’Argentine. Si ses protégés se qualifient pour la finale, ils recevront le vainqueur d’Espagne-Etats-Unis à Buenos Aires. L’idée de jouer en décembre sur la terre battue avec les présences potentielles de calibres comme Nadal, Ferrer et Nalbandian est assez excitante.

sport24.com
SOURCE

TENNIS / COUPE DAVIS - DEMI-FINALES
La terre va trembler



Rédaction Sport365 - mardi 16 septembre 2008 - 13h04

Emmenée par Rafael Nadal, l’Espagne partira grande favorite sa la terre battue madrilène contre les Etats-Unis, tenants du titre mais diminués. Dans l’autre demi-finale, l’Argentine partira également avec un avantage face à la Russie.

Messieurs les Américains, votre mission si vous l’acceptez : ramener trois points de Madrid pour entretenir l’espoir d’un deuxième Saladier d’Argent consécutif. Le tout face à un collectif emmenée par le maître absolu de la terre battue depuis quatre ans, Rafael Nadal, et sans deux de vos piliers habituels James Blake et Bob Bryan. Impossible ? Non, répond le capitaine des Etats-Unis Patrick McEnroe, contraint de faire appel en simple à Sam Querrey, 20 ans et néophyte en Coupe Davis. « Cela ne fait pas une grosse différence, assure le frère de John. L’Espagne était de toute façon favorite. Le moment est venu pour nous de lancer des jeunes dans le grand bain. Ce sera évidemment un match difficile, nous en sommes conscients. Mais en même temps, je pense que c’est une belle opportunité pour nous de mettre à profit l’enthousiasme de ces gars pour la Coupe Davis. »

Lancé à 20 ans dans l’arène de et Las Ventas et ses 22 000 fans, face au quadruple tenant du titre de Roland-Garros, Querrey devra effectivement faire preuve d’un sacré optimisme pour croire à sa bonne étoile. Il se rappellera qu’il avait sacrément embêté le Majorquin il y a trois semaines en huitièmes de finale de l’US Open. Et qu’il a réussi une belle performance cette saison sur ocre en atteignant les quarts de finale à Monte-Carlo. Le géant de San Francisco et son leader Andy Roddick, espèrent également que David Ferrer, en petite forme depuis janvier, ne connaîtra pas un subit retour de flamme. Si tel était le cas, les Espagnols ne devraient pas éprouver de grandes difficultés à reproduire le scénario de la finale 2004, où ils avaient remporté leur deuxième Coupe Davis à Séville face à l’équipe américaine.

S’ils auront également l’avantage du terrain, les Argentins feront face à une toute autre opposition sur la terre battue de Buenos Aires. Privées de Marat Safin, les troupes du sorcier Shamil Tarpichev pourront en effet compter sur Nikolay Davydenko et Igor Andreev, deux spécialistes de la surface. Pour continuer de rêver à un premier sacre, les Argentins bénéficieront de leur côté des services de l’homme en forme de l’été, Juan Martin Del Potro. Lauréat de quatre tournois d’affilée avant d’atteindre les quarts de finale à Flushing Meadows, le treizième joueur mondial sera associé à David Nalbandian (7eme), peu convaincant ces derniers mois, mais qui se rate rarement en Coupe Davis. D’autant que cette rencontre sera la revanche de la finale perdue par les Sud-américains en 2006.

sport365.fr
SOURCE

Nadal au métier



Tennis - Coupe Davis

Au terme d'un combat long de plus de trois heures dans les arènes de Madrid, Rafael Nadal a apporté le premier point de l'Espagne, opposée aux Etats-Unis en demi-finales de la Coupe Davis, en battant Sam Querrey (6-7, 6-4, 6-3, 6-4). A suivre Ferrer-Roddick et l'Argentine opposée à la Russie.

COUPE DAVIS - DEMI-FINALE

RAFAEL NADAL (ESP) bat SAM QUERREY (EU) 6-7 (5/7), 6-4, 6-3, 6-4

Rafael Nadal a donné le premier point à l'Espagne dans sa demi-finale de Coupe Davis contre les Etats-Unis à Madrid en battant Sam Querrey en quatre sets (6-7 (5/7), 6-4, 6-3, 6-4). Le numéro un mondial, hésitant dans le premier set perdu au tie-break, s'est ensuite bien repris pour dominer le géant américain (1,98m) dans les trois manches suivantes sur le court en terre battue installé dans les arènes de Las Ventas. Querrey, 20 ans et 39e mondial, a fait valoir son service (17 aces au total) et son coup droit pour remporter le premier set, mais a ensuite commis trop d'erreurs pour espérer inquiéter le vainqueur cette année de Roland-Garros et Wimbledon. Trois breaks, un dans chaque manche, ont suffi au Majorquin pour remporter ce premier match sous les "olés" des 22000 spectateurs. Le deuxième match de la journée devait opposer l'Américain Andy Roddick à l'Espagnol David Ferrer.

www.eurosport.fr

L'Espagne lancée



Vendredi 19 septembre 2008 - 19:59

L'Espagne mène 2 à 0 face aux Etats-Unis en demi-finale de la Coupe Davis, à l'issue des deux premiers simples remportés, à Madrid, par Rafael Nadal sur Sam Querrey 6-7 (5), 6-4, 6-3, 6-4 et par David Ferrer sur Andy Roddick 7-6 (5), 2-6, 1-6, 6-4, 8-6.

Rafael Nadal, hésitant dans le premier set perdu au jeu décisif, s'est ensuite bien repris pour dominer le géant américain (1,98 m) Sam Querrey dans les trois manches suivantes, sur le court en terre battue installé dans les arènes de Las Ventas et donner le premier point à l'Espagne. "J'étais arrivé sans trop d'énergie après une longue saison, mais c'est très important de commencer par une victoire", a déclaré le N.1 mondial, applaudi par le Prince héritier Felipe, le footballeur Raul ou encore le basketteur Pau Gasol.

David Ferrer, crocodile de la terre battue et spécialiste des matches en cinq sets, a ensuite retourné une situation compromise face à Andy Roddick, 8e mondial, pourtant peu à l'aise généralement sur terre battue. L'Espagnol, 5e mondial, mené deux sets à un par un Roddick surpuissant au service, a usé son adversaire au cours des deux dernières manches sous les "oles" des 22.000 spectateurs.

L'équipe espagnole pourrait gagner cette demi-finale dès samedi en cas de victoire en double de Feliciano Lopez et Fernando Verdasco contre la paire américaine inédite Mike Bryan-Mardy Fish. Handicapée par l'absence de Bob Bryant, frère de Mike et son partenaire habituel, le double américain aura fort à faire pour battre samedi Lopez et Verdasco, très à l'aise sur terre battue.

sport.fr
http://www.sport.fr/tennis/ten/Coupe-Davis-L-Espagne-lancee-136787.shtm

L'Espagne sur la voie royale

Le 19/09/2008 à 15:31
Par STEPHANE DHJAN
De Sports.fr, avec LOUIS DABIR

Mis sur orbite par Nadal, tombeur plus tôt de Querrey, David Ferrer a apporté à l'Espagne, vendredi à Madrid, le 2e point des demi-finales de la Coupe Davis, en écartant Andy Roddick (7-6, 2-6, 1-6, 6-4, 8-6). Au terme de ce match à rebondissements, les Etats-Unis, tenants du titre, sont désormais condamnés à l'exploit. Dans l'autre confrontation de ces demies, l'Argentine mène 2-0 face à la Russie grâce aux victoires en trois sets de Nalbandian et Del Potro sur Andreev et Davydenko.

ESPAGNE - ETAS-UNIS (2-0)


Nadal offre le premier point aux Espagnols dans cette demi-finale face aux tenants du titre. (Reuters)

Rafael Nadal n'a pas déçu l'assistance. Massés dans les gradins de la splendide arène Plaza de Toros Las Ventas, les 22 000 aficionados espagnols ont vu ce qu'ils étaient venus chercher: une victoire d'El Morenito de Manacor*. Mais si ce succès acquis aux dépens de la montagne américaine Sam Querrey (6-7, 6-4, 6-3, 6-4) offre à l'Espagne un point au tableau d'affichage des demi-finales, il fût raisonnablement long à se dessiner. Raisonnablement lorsque l'on s'appelle Rafael Nadal. Expéditif en temps normal sur sa terre battue, le Majorquin est tombé sur un rookie batailleur qui, comme lors de leurs deux et uniques confrontations, est parvenu à chiper une manche au numéro un mondial.

Car deux semaines après leur explication à l'US Open, Querrey entamait parfaitement cette demie, déjouant les pronostics sous les yeux de la star NBA Paul Gasol. Dans l'habit du tenant du titre*, en s'appuyant sur un service solide (18 aces), le natif de San Francisco enlevait donc un premier set marathon (58 minutes) au jeu décisif (7-5). De quoi refroidir toutes les ardeurs hispaniques.

Mais il en fallait plus pour déstabiliser le quadruple vainqueur de Roland-Garros, soucieux, s'il en est, de défendre la longue série d'invincibilité espagnole à domicie - neuf ans d'âge. Aussi, pendant que l'Américain voyait le nombre de ses fautes directes croître de manière curieuse (84 en tout), Nadal imposait un rythme soutenu, recouvrant ainsi toute son acuité, tant en revers que sur coup droit. Il profitait du mal-être de son adversaire pour enlever les trois sets suivants et offrir le premier point à son pays.

Roddick méritait mieux

Un court avantage que se chargeait de faire fructifier, non sans mal, son compatriote David Ferrer. Pour la première fois opposés l'un à l'autre depuis les Masters 2007, l'Espagnol et Andy Roddick se livraient un âpre combat dès les premiers échanges. Incapables de se créer la moindre balle de break, les deux joueurs se disputaient le premier set au tie-break, que réglait l'Espagnol (7-5). S'en suivaient deux trous noirs déconcertant pour Ferrer: agressif et impressionnant de maîtrise, notamment au filet, Roddick poussait l'Ibérique à la faute et pliait les deux manches suivantes en 53 minutes (6-2, 6-1).

Mais au moment de conclure, l'Américain allait à son tour connaître un coup de pompe foudroyant. Breaké à l'entame de la 4e manche, la confiance changeait à nouveau de camp et David Ferrer, fort de 31 coups gagnants, offrait à ses supporters le droit de suivre un 5e épisode. Un dernier acte à l'image de la partie: indécis et haletant. Souverains aux services, les deux hommes ne parvenaient pas à se départager. Et c'est l'Américain qui craquait le premier, concédant le break à 7-6. L'offrande était trop belle pour Ferrer, qui ne demandait pas son reste et permettait à l'Espagne de mener 2 points à rien. Défaits en finale il a y quatre ans face à ces mêmes Espagnols, les Etats-Unis voient donc leurs espoirs de revanche déjà compromis. Ainsi que la défense de leur couronne...

*En 2007, les Etats-Unis ont remporté la Coupe Davis devant la Russie.

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http://www.sports.fr/cmc/tennis/200838/l-espagne-sur-la-voie-royale_196906.html