Tim Henman



Birthdate: 6-Sep-74
Birthplace: Oxford, England
Residence: London, England
Height: 6'1'' (185 cm)
Weight: 170 lbs (77 kg)
Plays: Right-handed
Turned Pro: 1993
Coach: Paul Annacone

Tim Henman vers la retraite
18/08/2007 - 12:07

Décidément, le tennis anglais se porte mal en ce moment. Après les forfaits à répétition d'Andy Murray depuis trois mois, c'est au tour de Tim Henman d'annoncer qu'il ne participera pas au tournoi de New Haven. Blessé au dos, le Britannique de 32 ans pense sérieusement à prendre sa retraite. Sa blessure lui sape le moral, et "Gentleman Tim" ne voit plus du même oeil la concurrence. Il l'appréciait énormement avant, mais aujourd'hui, il la ressent comme une douleur persistante et tenace. Toujours obstiné dans ses propos à vouloir rester le plus longtemps possible dans le monde du tennis, Tim Henman pourrait donc se retirer du circuit si son état d'esprit ne change pas d'ici là.

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Henman déclare forfait
Tennis - ATP - New Haven - 18/08/2007

Tim Henman a déclaré forfait ce samedi pour le tournoi ATP de New Haven, qui débute lundi prochain. Après le retrait mercredi de son compatriote Andy Murray, qui tarde à se remettre d'une blessure à un poignet, c'est donc à présent le 92e joueur mondial qui annonce son absence du tournoi américain. Le Britannique a justifié cette décision par des problèmes de dos. «C'est frustrant car dernièrement, je n'ai pas eu trop de soucis de dos. J'étais bien cet été. Mais sur dur, c'est plus délicat. C'est dur de se concentrer pour gagner quand on pense à son dos. Je veux donc me rétablir le plus vite possible avant l'US Open», a-t-il déclaré. (Avec AFP)

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Henman sur la fin...

20/08/2007 - 09:20

Alors qu'il n'est plus entré dans le moindre tableau depuis Wimbledon, Tim Henman songerait à mettre un terme à sa carrière. Victime de douleurs persistantes au dos, l'Anglais pourrait jouer son dernier match en Coupe Davis le mois prochain contre la Croatie.

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Henman à la retraite ?

Rédaction Sport365 - lundi 20 août 2007 - 11h08

Tim Henman, 32 ans, a fait savoir qu’il se dirigeait doucement vers la retraite. L’ex numéro 1 britannique a d’ailleurs décidé de ne prendre aucun engagement après le match Grande-Bretagne-Croatie en Coupe Davis, rencontre programmée le mois prochain.

« Il n’y a pas de confirmation officielle a tenu cependant à préciser son agent, Jan Felgate, ajoutant, il est cependant certain que sa carrière touche à sa fin. »

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Henman sent la fin


Henman a atteint quatre fois les demi-finales de Wimbledon (Panoramic)

Victime de problèmes récurrents au dos, Tim Henman pourrait mettre un terme à sa carrière le mois prochain. Une triste sortie de route pour le gentleman britannique de 32 ans, vainqueur d’onze tournois en carrière, mais qui aura toujours échoué dans sa quête de Wimbledon.

Par Bastien Aubert

Quatre demies à Wimbledon

Connaissant la gentleman attitude de Tim Henman, il se pourrait qu’il ait tout simplement attendu. Attendu patiemment de voir la relève britannique se bouger derrière lui pour prendre un repos bien mérité. Andy Murray est arrivé et son aîné devrait donc se retirer des affaires après avoir disputé Flushing Meadows. Pour calmer le jeu, son agent Jan Felgate a tout de même fait savoir qu’il n’y avait encore rien d’officiel mais Roger Draper, responsable du haut niveau masculin outre-Manche, a admis que «Tim est plus proche de la fin de sa carrière que du début et celle-ci pourrait venir plus tôt que prévue. Je crois savoir qu’il voulait disputer un dernier Wimbledon avant de raccrocher, mais bon»… Ce satané Wimbledon, qui lui aura fait perdre autant d’énergie que d’espoirs pour la suite de sa carrière. Attendu comme le messie pour succéder à Fred Perry, dernier vainqueur britannique au All England Club en 1936, Henman aura échoué à quatre reprises au stade des demi-finales !

L’exemple de Moya

Celle de 2001 perdue après avoir mené face à Goran Ivanisevic lui laissera probablement le plus de regrets. En juillet dernier, il s’est montré à des années-lumière du niveau de jeu affiché il y a six ans. Depuis deux bonnes saisons, son dos le fait souffrir et le mal devient trop dur à contenir. Ses résultats s’en ressentent forcément. Pointé à une modeste 92e place au classement ATP, il quittera le Top 100 après l’US Open s’il ne parvient pas à y tirer son épingle du jeu. Pire, celui-ci n’a gagné que trois matches depuis janvier et son dernier titre remonte à Bercy 2003. Le poids des ans a donc eu le temps de tracer sa route et de provoquer quelques traumatismes physiques. A l’image de la carrière de Carlos Moya, blessé pendant plusieurs mois et également meurtri moralement. L’Espagnol a procédé à un long et douloureux travail sur lui-même, revu les bases de son jeu en revers et retrouvé une seconde jeunesse depuis.

Un troisième enfant en route

«Gentleman Tim», lui, accuse le coup et ne semble pas prêt à une telle relance : «C’est tellement dur de se concentrer sur le jeu quand on est préoccupé par son dos. Désormais, mon unique objectif est de poursuivre mon traitement pour revenir en forme à l’US Open». Henman n’a pourtant pas mis toutes les chances de son côté. Preuve de son changement d’attitude, celui-ci n’a pas souhaité s’établir dans ses quartiers américains pour préparer la dernière levée du Grand Chelem comme il avait l’habitude de le faire depuis ses débuts sur le circuit. La tradition a donc été bouleversée car une autre priorité est venue s’immiscer dans sa vie d’homme : l’arrivée imminente d’un troisième enfant. Cet événement devrait achever de le convaincre de revenir à une vie paisible et de laisser Michaël Llodra et Nicolas Mahut bien seuls dans la caste décimée des attaquants pur jus. Malgré tout, il n’a pas l’intention de se défausser de ses responsabilités nationales puisqu’il a annoncé qu’il donnerait un dernier coup de main à ses potes de Coupe Davis le 21 septembre. Fibre patriotique, quand tu nous tiens…

sport24.com
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Henman, retraite annoncée



Tim Henman ne gagnera jamais Wimbledon. Diminué par une blessure au dos, en attente d'un 3e enfant, le Britannique a décidé de quitter le circuit après une ultime rencontre de Coupe Davis en septembre. Il a été 4e mondial et compte 11 titres et 6 demi-finales de Grand Chelem dont 4 à Wimbledon.

La saison sur dur aura eu raison de sa fin de carrière. Tim Henman, qui aura 33 ans le 6 septembre, a décidé de prendre sa retraite après la rencontre de Coupe Davis qui opposera la Grande-Bretagne à la Croatie, lors des play-offs de Coupe Davis (21 au 23 septembre). C'est à New York que le joueur a confirmé ce que la presse britannique avait déjà pressenti.

Handicapé par une blessure au dos qui ne lui a permis cette année de ne remporter que trois rencontres, Henman laisse derrière lui une carrière riche, dans tous les sens du terme, mais privée de titre majeur à l'exception d'un Masters Series, à Bercy en 2003. En Grande-Bretagne, Tim, que l'on aussi surnommé "Timbledon" ou encore "Tiger Tim", non sans une certaine ironie, a réussi à réanimer la flamme des amateurs de tennis britannique. La Henmania qui a envahi pendant une dizaine d'années Wimbledon, ne s'est pourtant concrétisée par aucun triomphe dans le temple du tennis anglais. En 14 participations, de 1994 à 2007, Tim a vécu quatre demi-finales et quatre quarts de finale, soit des moments exceptionnels de communion avec le public et autant de désillusions.

"J'ai toujours réussi à optimiser mon jeu"

Cinquième mondial en août 1999, puis quatrième en août 2002 et en septembre 2004 - son meilleur classement, Henman est actuellement 92e. Il espérait revenir une dernière fois à Wimbledon mais a dû se rendre à l'évidence : une blessure au dos récalcitrante et une famille bientôt agrandie (il attend un troisième enfant), son temps est passé. "Je voulais jouer à Wimbledon l'année prochaine, a-t-il déclaré, mais reprendre l'entraînement sur dur m'a faciliter les choses au moment de décider". Sous-entendu : j'ai trop mal pour continuer.

Henman participera la semaine prochaine à l'US Open où il jouera au premier tour contre Dmitry Tursunov. Il avait atteint les demi-finales à Flushing Meadows en 2004, ainsi qu'à Roland-Garros la même année. Son tennis classique, souvent joué en deux temps vers le filet, a ravi les puristes et les nostalgiques des années 60. Derrière un service solide, il possédait un des jeux de volée les plus précis et efficaces du circuit.

"Déçu par le fait de n'avoir pas remporté Wimbledon? Certainement, explique-t-il, mais je ne trouverais pas juste d'être jugé uniquement sur cela. Quand je pense à ma carrière, j'ai toujours réussi à optimiser mon jeu. Cela s'est passé aussi bien que cela aurait dû l'être."

yahoo.fr
http://fr.sports.yahoo.com/23082007/70/atp-tour-henman-retraite-annoncee.html

US Open: Tim Henman retarde ses adieux

jeu 30 aou, 08h54

NEW YORK (Reuters) - Le Britannique Tim Henman a retardé ses adieux en Grand Chelem en remportant mercredi son match de premier tour de l'US Open de tennis face au Russe Dmitry Tursunov 6-4 3-6 6-3 6-4.

Henman, qui est âgé de 32 ans, compte prendre sa retraite sportive après le match de Coupe Davis contre la Croatie le mois prochain.

Il rencontrera le Français Jo-Wilfried Tsonga au prochain tour, ce dernier s'étant imposé facilement 7-5 6-1 6-3 contre l'Espagnol Oscar Hernandez.

yahoo.fr
http://fr.sports.yahoo.com/070830/26/o1pj.html

Henman part la tête haute

22/09 17h26 - Tennis, Coupe Davis

Tim Henman et Jamie Murray ont offert le dernier point à la Grande-Bretagne face à la Croatie en match de barrages de la Coupe Davis.

La Grande-Bretagne revient dans le groupe mondial ! Jamie Murray et Tim Henman sont sortis vainqueurs du double contre les Croates Marin Cilic/Lovro Zovko (4/6 6/4 7/6 7/5). Les Britanniques s’imposent au final 3 à 0 et Henman part la tête haute pour le dernier match de sa carrière.

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Henman, the end


Tim Henman, avec sa fille Rosie, a fait ses adieux au tennis (Reuters)

Tim Henman a disputé son dernier match à l’occasion du succès de la Grande-Bretagne sur la Croatie en match de barrage de Coupe Davis. Attaquant né, le Britannique part après une carrière riche de 6 demi-finales en Grand Chelem.

Par Florian Egly

Une sortie réussie

«Cela a été un incroyable voyage. Je rêvais d’être professionnel depuis l’âge de cinq ou six ans et j’ai pu accomplir beaucoup de mes rêves. Des occasions comme celles-ci vont clairement me manquer. Chacun de vous qui m’avez supporté tout au long de ces années allez me manquer». Les larmes se sont arrêtées au coin de l’œil mais le cœur y était. Dans un immense et émouvant vacarme, les 11 400 spectateurs massés autour du court numéro 1 à Wimbledon rendent un dernier hommage à l’un de leurs héros, Tim Henman, dont c’était l’ultime représentation. Blessé au dos à répétition, «Gentleman Tim» avait annoncé peu avant l’US Open que ce match de barrage de Coupe Davis, opposant la Grande-Bretagne à la Croatie, signifierait son adieu au monde professionnel. Vainqueur du double décisif aux côtés de Jamie Murray (4/6 6/4 7/6 7/5), le Britannique pouvait partir sereinement, le devoir accompli. «Je connaissais l’importance de ce match, pas seulement pour moi, mais pour l’équipe. Quitter le tennis en laissant la Grande-Bretagne en groupe mondial est absolument fantastique», glissait-il, sa petite fille Rosie dans les bras.

Héros malheureux à Wimbledon

Après Greg Rusedski en début d’année, la Grande-Bretagne perd son plus beau joyau. Ce n’est pas un hasard d’ailleurs si Henman a choisi Wimbledon pour tirer sa révérence. Terre de ses plus beaux exploits, mais aussi des défaites les plus cruelles. Quatre fois demi-finaliste sur le gazon londonien, celui qui a été numéro 4 mondial en 2002 a déchaîné les passions du public local, a fait naître les rêves les plus doux comme lorsqu’à 22 ans, il éliminait Evgeni Kafelnikov, tout juste vainqueur de Roland Garros, au premier tour (1996). Barré tour à tour par Pete Sampras (1998, 1999), Goran Ivanisevic (2001) et Lleyton Hewitt (2002), il n’aura malheureusement jamais réussi à atteindre le cap de la finale. Avec d’autres revers en demi-finales de Roland Garros et de l’US Open (2004), cette absence en finale d’un tournoi du Grand Chelem restera l’un de ses regrets. A l’époque des cogneurs fous, son jeu d’un autre temps, grand adepte du service-volée, lui a tout de même permis d’accrocher 11 titres, dont Bercy en 2004, son dernier trophée.

Passage de témoin

Depuis cette belle semaine parisienne (victoires sur Grosjean, Kuerten, Federer et Roddick), Henman devait se battre non seulement contre ses adversaires mais aussi contre un mal de dos récurrent. Un combat de trop. Sa saison 2007 n’a été qu’une litanie de déboires, incapable de remporter deux matches d’affilée et de franchir un deuxième tour. Redescendu à la 92e place mondiale, le natif d’Oxford avait donc décidé de préparer ce dernier grand rendez-vous avec soin, fatalement attaché à son pays quand on a été décoré Officier à l’Ordre de l’Empire Britannique par la Reine Elizabeth II en 2004. Avec une victoire en simple sur le Croate Karanusic (6/4 6/3 6/3) et une autre en double, «Gentleman Tim» laisse un bel héritage à la Grande-Bretagne, désormais emmenée par les frères Murray, en la faisant remonter dans le groupe mondial pour la première fois depuis 2003. Qui sait, en février prochain, la nation de l’Union Jack pourra même peut-être remporter son premier match de Coupe Davis depuis 1986, grâce à cette belle et vibrante journée.

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Q&A: Tim Henman



June 20, 2008

Former British No 1 discusses his new role at Wimbledon as a BBC commentator and makes his predictions for the tournament
Tim Henman at the BBC.

Robert Dineen

Are you looking forward to attending Wimbledon as a commentator rather than a player?
Absolutely, I'm excited about it. After nine months of unemployment, I'm looking forward to going back to work. I've been in the BBC studio with Sue Barker and the team to practise commentary and match analysis and it went well. I'm looking forward to the challenge.

What kind of commentator will you be?
I think the most important thing is to be honest. As a player, I tried to say the right thing in answer to questions rather than say what I felt. As a commentator, you have to tell it like it is. I should also be able to bring my expertise to certain situations. John McEnroe is the best commentator around and he sees the game from a player's perspective. Hopefully I can do the same.

Will we see a different Tim Henman to the one we knew as a player?
I think so. As a player, you are basically two people. The one that people see on court and the one that your friends and family know, the one that is more relaxed and open. When I was playing, I was concerned with not creating any distractions for myself and perhaps said the predictable thing so I could concentrate on my game. This is a good opportunity to show my other side.

Who do you think will win the men's singles this year?
I can't see it going to anyone outside the big three of [Roger] Federer, [Rafael] Nadal and [Novak] Djokovic. They are ahead of everybody else. Of them, I think Federer is the most likely. He has the game and the experience. Plus, he will be going for his sixth consecutive title and the possibility of beating [Bjorn] Borg's record.

What are Andy Murray's prospects?
He has as much of a chance as anybody in the chasing pack - which includes the likes of [Andy] Roddick and [Richard] Gasquet. This year may be too early for him, but he does have the game to win it. People want success quickly but they have to remember Andy is only 21 and has a lot of improving to do. At 21, I had only just broken into the top 100. He has won five tournaments.

What advice would you give him going into Wimbledon?
To enjoy every moment of it. He will get the kind of support that I did and it is absolutely fantastic. He can handle the pressure that comes with it, too. He can get frustrated but that's because he knows what he wants and sometimes it doesn't happen.

What are you best Wimbledon memories?
The tournament has taken place on the middle Sunday on only three occasions and I played on two of those. They stand out, particularly when I beat Paul Haarhuis 14-12 in the fifth (in 1997). The noise was at a different level from the very start. It was like nothing I had experienced. Beating Federer in the quarter-finals in 2001 was pretty special, too.

And your worst?
Being the first player to get disqualified from the tournament in 1995 was tough. And losing to [Goran] Ivanisevic in the semis in 2001. I was two matches from the final but lost in the fifth. That was hard to take.

You've said that your humour will shine through behind the BBC microphone. Could you then give our readers a taste of what to expect and tell them a joke?
I do know one actually ... no, that's probably inappropriate. Let me think ... I must know a joke .... hmm .... let's see ... god, that's so dull, I can't think of even one joke. [Away from the telephone] Does anybody here know any jokes? No ... god, we're all really dull. What? Yes, good idea ... how about I think of one and ring you back?

Hmm, you'll ring me back?
Yes, I will.

http://www.timesonline.co.uk/tol/sport/tennis/article4179667.ece

Wimbledon : Henman voit Murray en demie

01/07/2008 - 14:04

Interrogé par la BBC, Tim Henman est revenu sur la performance d'Andy Murray. L'ancien chouchou du public londonien a de gros espoirs en l'Ecossais qualifié pour les quarts de finale à l'issue d'un match renversant lundi soir face à Richard Gasquet. "C'est son premier quart de finale du Grand Chelem et il n'y a aucun doute, Nadal est le favori. Mais Murray peut arriver sur le court et être vraiment agressif, de la première à la dernière balle, et nous verrons ce qu'il peut faire", a-t-il déclaré. Avant de rajouter: "Ça va être très serré mais je vois Murray l'emporter en 5 sets".

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ATP > Henman : "Federer, le joueur ultime"

Par Rémi Cap-Vert, lundi 08 juin 2009 à 16:54

Tim Henman, ex-numéro 4 mondial, demi-finaliste à Roland Garros, Wimbledon et l'US Open, estime que Roger Federer est le joueur toute-surface "ultime".

"Ce qui place Federer au-dessus, c'est que son jeu est complet et polyvalent. Sampras était un joueur phénoménal et ses records parlent d'eux-mêmes, mais vous aviez toujours le sentiment de pouvoir le piéger sur certains aspects de son jeu. Pas Federer. Sa victoire à Paris, sur terre battue, est la preuve même que Federer est le joueur ultime, toutes surfaces."

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ATP > Henman :"beaucoup plus dur de faire service-volée"

Par Pauline Dahlem, lundi 24 août 2009 à 14:24

Tim Henman était au All England Club ce samedi pour remettre les trophées aux vainqueurs de la compétition "HSBC Road to Wimbledon". Le Britannique s'est exprimé au sujet de la formation des jeunes en Angleterre. Il a également voulu manifester sa tristesse quant à la disparition progressive du service-volée.

"Ce n'est pas utile d'essayer de trouver à tout prix un vainqueur de Wimbledon, il faut juste donner la chance à un maximum d'enfants de jouer au tennis. Et cette démarche, au long terme, contribuera au développement du jeu. Parce que si vous avez de plus en plus d'enfants qui jouent, vous élargissez la base de la pyramide, et vous aurez les tout meilleurs au sommet."

Le britannique qui a pris sa retraite il y a deux ans se remémore sa qualité de volée et rappelle qu'il était un des rares à utiliser le service-volée sur le circuit. Il regrette la raréfaction de ce type de jeu.

"C'est la manière dont le jeu a évolué. C'est définitivement devenu beaucoup plus dur de pratiquer le service-volée. Les courts sont un peu plus lents, et les joueurs bougent et retournent mieux. Et ça rend donc ce schéma de jeu beaucoup plus compliqué à pratiquer.

Vous avez des joueurs comme Karlovic qui sont capables de servir et de monter au filet la plupart du temps. Mais le problème c'est que l'on n'apprend probablement pas aux enfants à volleyer. De telle manière que leurs jeux sont centrés autour de leur service et de leurs frappes de fond de court. C'est quelque chose dont nous devons être conscients. Nous ne voulons pas que l'art de volleyer disparaisse. Et puis si tout le monde joue de la même manière, c'est moins sympa à regarder."

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Henman revient à la compétition

23/03 09h29

Tim Henman va participer au circuit regroupant les anciennes gloires du tennis.

Retraité depuis 2007, Tim Henman reprendra la raquette à partir de novembre prochain. Le Britannique a annoncé sa participation à l’AEGON Masters de Londres qui se disputera au Royal Albert Hall. Agé de 36 ans, le sextuple demi-finaliste en Grand Chelem a été inspiré par la finale Rafter-Edberg l'an dernier. Il a par ailleurs décliné la place de capitaine de l’équipe de Coupe Davis de Grande-Bretagne.

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Wimbledon > Henman livre ses pronostics

Par Fabien Gauvin, mardi 15 juin 2010 à 16:28

Sur le site du Daily Telegraph, l'ancien numéro un britannique a donné son opinion sur les forces en présence à quelques jours de Wimbledon. Henman, qui a souvent atteint le dernier carré du tournoi londonien sans jamais pouvoir s'y imposer, fait bien sûr dans le classique avec Nadal et Federer, mais tente aussi un petit pari dont on pourrait reparler...

"Je crois que l'on verra un très beau tournoi, car Federer va vouloir défendre son titre, et que Nadal n'avait pu défendre le sien l'année dernière. Quant à Andy Murray, peut être est-ce sa saison pour enfin venir contrarier les plans des deux premiers mondiaux, mais son parcours au Queen's est un peu inquiétant. Il ne faudra pas oublier Ivo Karlovic, qui est toujours très difficile à jouer sur ce tournoi!".

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Tim Henman: «Roger Federer peut encore gagner. Tout dépendra surtout de ses désirs»


Image © Keystone

Au cours d’un dîner,le Britannique a évoqué en vrac la nouvelle concurrence, l’influence d’une paternité et l’apport de Paul Annacone pour Roger Federer.

Thomas Dayer Zurich - le 12 March 2011, 19h07
Le Matin Dimanche

Il reste le meilleur ambassadeur du tennis britannique de l’ère moderne. Depuis sa retraite en 2007, Tim Henman (36 ans) a pris du recul et de la hauteur. Cette semaine, le natif d’Oxford a repris la raquette dans le cadre du Zurich Open. À l’invitation de BNP Paribas, sponsor principal de l’événement, «Le Matin Dimanche» a partagé un repas avec celui qui s’était hissé en demi-finales de Roland-Garros, de Wimbledon et de l’US Open.

En toute décontraction, «Gentleman Tim» a évoqué, fourchette en main, sa nouvelle vie: «J’ai coutume de dire que j’ai la chance d’avoir des semaines de deux jours et des week-ends de cinq jours», sourit le père de Rosie, Olivia et Grace.

Son amour pour Wimbledon est encore vibrant: «Bien sûr, tout le monde parle de la tension qui pèse là-bas, surtout pour un joueur britannique. Mais vous avez toujours deux choix: ou cette tension vous dévore, ou vous la transformez en une impulsion positive.»

Ici à Zurich, vous avez rencontré Ivan Lendl, Henri Leconte et Michael Stich. Avez-vous remué quelques souvenirs?
Déjà, je dois dire que j’ai beaucoup aimé tomber dans ce groupe. Il a fière allure. Je n’avais jamais affronté, je crois, Henri Leconte ni Ivan Lendl, mais je me rappelle les avoir beaucoup regardés. En ce qui concerne Michael Stich, il est exact qu’il me rappelle des histoires. En quart de finale à Wimbledon, en 1997, il m’avait méchamment battu. Il avait formidablement bien joué. Par la suite, j’ai connu d’autres victoires contre lui, notamment une à Munich, devant 12 000 Allemands. Je l’avais battu facilement. Mais bon, j’aurais volontiers échangé ce succès-là contre un autre à Wimbledon.

C’est assez drôle que, tant d’années après, vous avez encore en tête ce genre d’anecdotes, comme si vous vouliez savourer une forme de revanche. Non?
(Il rit.) Ce sont juste des souvenirs. Pour moi, ce qui était le plus amusant ici, c’étaient toutes les inconnues qui enrobaient mes capacités. Je ne savais pas comment j’allais jouer, je ne savais pas comment j’allais me sentir. Vous savez, frapper la balle n’est pas la chose la plus difficile. C’est la condition physique qui importe. En dix ans, le jeu est resté le même, mais d’un autre côté, il a terriblement évolué. Les habiletés athlétiques, la force, la vitesse, ont pris de l’importance. En tout cas, j’ai du plaisir à rejouer au tennis. À la fin de ma carrière, mon dos me devenait insupportable. Maintenant, j’ai un bon équilibre entre un peu de tennis et un peu de gym.

Quels sont vos plans?
Cette année, je n’ai pas surchargé mon agenda. J’aimerais participer à d’autres événements du même genre. Mais en famille, nous avons aussi des événements importants cette année. Mes beaux-parents fêtent leur quarantième anniversaire de mariage. Nous fêterons ça aux Etats-Unis pendant l’été.

Vous restez un observateur avisé du tennis. Comment avez-vous analysé l’Open d’Australie, avec un Roger Federer quasiment relégué en numéro 3?
Je crois qu’il est juste de dire que le meilleur joueur engagé a gagné à Melbourne cette année. Depuis la Coupe Davis, Novak Djokovic est demeuré dans une forme fantastique. Il est vraiment «en chaleur» en ce moment. Mais on sait tous que la forme est lunatique. Regardez Roger Federer: de février à juillet l’an dernier, il était très ordinaire par rapport à ses habitudes. L’ensemble de son jeu, de ses constructions de points, n’était pas bon. Et puis, de juillet à l’Open d’Australie, ses statistiques ont été fantastiques. Il faut apprendre à regarder un tableau comme un ensemble, pas seulement sous certains angles. Au Masters de Londres, on a vu que Roger Federer était de retour au sommet de son art. Plus les années avanceront, plus sa condition physique sera prépondérante pour lui. Il sera plus difficile pour lui de dominer le circuit comme autrefois. Mais il peut encore gagner, j’en suis convaincu.

Combien de tournois du Grand Chelem peut-il encore remporter?
(Il réfléchit) Je dirais qu’il pourrait en gagner un par année pendant les trois prochaines années. Mais c’est une simple estimation. Ce pourrait être davantage, ce pourrait être moins. Beaucoup de facteurs entrent en ligne de compte, dont la chance.

Ne voyez-vous pas Novak Djokovic le surclasser dans les années à venir?
Non. Novak Djokovic est un bon joueur, comprenez-moi bien, mais je ne le vois pas dominer le circuit comme l’a fait Roger Federer par le passé. Djokovic gagnera d’autres titres en Grand Chelem, mais il n’est pas au même niveau que Federer ou Nadal.

Considérez-vous l’influence d’une famille comme plutôt positive ou négative dans ce métier?
Avoir une famille, et je sais de quoi je parle, ce n’est pas toujours facile quand vous êtes au cœur d’un tournoi. Mais chez moi, ça n’a jamais été un facteur déterminant au moment de prendre ma retraite. Je suis certain que la famille rend Roger Federer plus épanoui en tant que personne. Selon moi, c’est un avantage d’être papa.

Ne pensez-vous pas que la retraite frappera bientôt à la porte de Roger Federer?
Le voyage de chacun est différent. Moi, j’ai arrêté à 33 ans, et j’ai arrêté au meilleur moment possible. André Agassi a continué jusqu’à quoi, 35 ans, 36 ans? On ne peut jamais savoir quand la retraite arrive. Mais Roger pourra jouer encore longtemps, pour autant qu’il en ait l’envie bien sûr. Techniquement, il tutoie la perfection, et il est un grand athlète. Tout dépendra de ses désirs, de sa faim de jeu, de son mental, et bien sûr de ses résultats. Je ne pense pas qu’il continuera juste pour le plaisir d’affoler des statistiques. Il restera tant qu’il pourra gagner de grands tournois et tant qu’il en aura envie. Le temps donnera la réponse. D’ailleurs, on se doit de profiter de sa présence sur le circuit. Certains parlent déjà de la retraite de Rafael Nadal alors qu’il n’a que 24 ans. Cela me fait sourire, il vient tout juste d’arriver.

Vous avez beaucoup travaillé avec Paul Annacone, qui est aujourd’hui le coach de Roger Federer. Que peut-il lui apporter selon vous?
Enormément de choses, et à mes yeux il lui apporte déjà beaucoup. Je parle par expérience. Je sais combien Paul Annacone m’a apporté. Bien sûr, ça n’a rien à voir avec l’apprentissage du tennis, mais avec la façon de mieux exploiter ses propres qualités. Où servir et quand, comment servir et quand, quand aller à la volée: ce sont autour de ces questions-là qu’un coach est important. Depuis qu’il travaille avec Paul Annacone, Roger a connu une progression de ce côté-là.

Mais depuis qu’il est avec Paul Annacone, Roger Federer a aussi perdu deux fois contre Novak Djokovic en Grand Chelem.
Oui, mais Roger a perdu deux fois contre moi en finale à Bâle, alors que j’étais coaché par Paul (rires). Vous pouvez faire dire n’importe quoi aux statistiques. À l’US Open, Roger a perdu après s’être procuré deux balles de matches. Il faut remettre les chiffres dans leur contexte. En tout cas, si Federer et Djokovic s’affrontent en demi-finale à Wimbledon, je sais sur qui je placerai mon argent. Roger.

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