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Le Luxembourgeois Gilles Muller, 130e mondial, a fait tomber l'Espagnol Nicolas Almagro, tête de série N.18, au 3e tour de l'US Open après un match au long cours, 6-7 (3), 3-6, 7-6 (5), 7-6 (6), 7-5.
Après la perte des deux premiers sets, le Luxembourgeois de 25 ans s'est accroché pour forcer l'Espagnol au tie-break dans les deux sets suivants. La fin de match a été épique. Dans le dernier set, le gaucher luxembourgeois, ancien 59e mondial en 2005, a eu plusieurs occasions de conclure: une balle de break ratée à 4-3 en sa faveur puis une première balle de match à 5-4 sur le service d'Almagro. Mais Almagro ne craquait pas sous la pression, forçant Muller à la faute.
L'Espagnol a ensuite eu ses propres chances de plier le match, se procurant deux balles de break à 5-5. A chaque fois, Muller s'interposait avec un gros service pour finalement empocher le jeu, puis le match au jeu suivant sur la mise en jeu de l'Espagnol après près de quatre heures de combat.
En 8e de finale, Muller, qui avait sorti l'Allemand Tommy Haas au tour précédent, affrontera le Russe Nikolay Davydenko, tête de série N.5.
Gilles Muller (vainqueur de Nicolas Almagro, n°18 ) : «Je savais qu'il serait important de remporter ses mises en jeu (il n'y a eu que deux breaks en 4h08' de jeu ndlr). J'ai réussi à ne faire le break qu'une seule fois. Tous les deux avons réussi à gagner nos jeux de service assez facilement. Je savais que si je servais pas bien, il aurait été difficile de le battre. J'avais la pression bien sûr mais d'un autre côté, j'étais confiant parce que j'avais bien servi contre Tommy (Haas au 2e tour) lors des trois derniers sets. Je savais que je pouvais le faire.»
Gilles Müller est la grande sensation de l'édition 2008 de l'US Open. Le Luxembourgeois, 130e au classement ATP, a réussi à se frayer un chemin jusqu'aux huitièmes de finale en se débarrassant successivement de Tommy Haas et de Nicolas Almagro en cinq manches. Il ne compte pas s'arrêter là...
Rafael Nadal, Roger Federer, Novak Djokovic, Nikolay Davydenko, Andy Roddick, Andy Murray.... quasiment tous les plus grands noms de la planète tennis ont répondu présent au rendez-vous des huitièmes de finale de l'US Open. Dans cette constellation de stars, un intrus s'est cependant invité à la fête. 130e mondial, pas un seul titre au compteur, Gilles Müller est la grande sensation de l'édition 2008 de la dernière levée du Grand Chelem. Son accession au squatrième tour ne doit cependant rien à hasard puisque sur sa route, le Luxembourgeois a écarté l'Allemand Tommy Haas, ancien numéro 2 mondial, et le coriace Espagnol Nicolas Almagro, 10e à la Race. A chaque fois en cinq sets. A chaque fois après avoir été mené deux sets zéro.
Deux années de galère
Au vu de ses deux dernières saisons, retrouver Gilles Müller à ce stade de la compétition est une réelle surprise. Après avoir atteint le 59e rang mondial en 2005, le meilleur de sa carrière, le premier Luxembourgeois à se hisser en huitièmes de finale d'un tournoi du Grand Chelem s'est irrémédiablement enfoncé au classement, ne disputant notamment que 5 matches en 2007 et 2008 avant d'aborder l'US Open avec seulement 3 victoires au compteur.
"C'est assez incroyable, j'ai du mal à réaliser , a-t-il réagi à l'issue de sa victoire homérique face à Almagro après avoir sauvé deux balles de match. Tout est dans la tête, tout est une question de confiance. Après 2005, j'ai commencé à perdre des matches. Je me posais pas mal de questions. Je me demandais si je ne ferais pas mieux d'arrêter le tennis. Aujourd'hui, je me dis que j'ai bien fait de continuer".
Des coups d'éclat dans le passé
Avant 2005, Gilles Müller avait cependant déjà montré à plusieurs reprises un potentiel prometteur. Après avoir décroché le titre de champion du monde junior en 2001 avec une victoire à l'US Open et une place de finaliste à Wimbledon, il signe plusieurs coups d'éclats fracassants au cours de ses premières années pro. Finale à Washington en 2004 après un succès face au grand Andre Agassi, à Los Angeles la saison suivant, victoire face à Andy Roddick à l'US Open et face à Rafael Nadal à Wimbledon en 2005, des victimes de marque, preuve que de talent, il ne manque pas.
"Je ne suis pas un meilleur joueur qu'avant", assure pourtant Gilles Müller qui tire dans les exploits de certains de ses prédécesseurs une raison de croire à un avenir plus radieux. "J'y crois. Personne ne connaissait Marcos Baghdatis avant qu'il aille en finale de l'Open d'Australie. C'est la même chose cette année avec Jo-Wilfried Tsonga qui a su revenir de plusieurs blessures. Pourquoi est-ce que ça ne m'arriverait pas ?". Nikolay Davydenko, son adversaire en huitièmes de finale, est prévenu. A 25 ans, Gilles Müller a à coeur de rattraper le temps perdu.
En atteignant les quarts de finale de l’US Open, Gilles Muller succède à Nicolas Escudé…
Nicolas Escudé a trouvé son successeur à New York. Le Français était le dernier joueur issu des qualifications à atteindre le stade des quarts de finale du Grand Chelem américain. C’était en 1999.
TENNIS – US Open Muller : « J’ai failli arrêter pour devenir prof de tennis »
La rédaction - RMC.fr, le 03/09/2008
130e mondial et issu des qualifications, le Luxembourgeois Gilles Muller s’est qualifié pour les quarts de finale de l’US Open, où il affrontera Roger Federer.
Après avoir été 59e mondial (en août 2005), vous revenez sur le devant de la scène. Votre résurrection tient-elle du miracle ? Je ne crois pas trop aux miracles. C’est vrai que c’est un peu inattendu… C'est juste un rêve qui est en train de se réaliser et quelque part dans ma tête, j'y ai toujours cru. En juniors, j'étais du même niveau que Marcos Baghdatis ou Jo-Wilfried Tsonga. Ils ont réussi des exploits. Je savais donc que j’avais le potentiel pour y arriver.
Avez-vous envisagé d'arrêter ? Oui. Quand cela se passait mal, je jouais en Challengers (deuxième division, ndlr) et je gagnais 300 euros, alors que le billet d'avion m’avait déjà coûté 500 euros... Je jouais à perte. Alors oui, je me suis posé la question : "Est-ce que ça vaut le coup de continuer ?" J'ai alors songé à devenir professeur de tennis. Mais j'aime trop le tennis pour arrêter, et je pense avoir le potentiel pour aller plus loin. Je suis vraiment content de ne pas avoir arrêté.
Contre Roger Federer en quarts de finale, vous y croyez ? Je l'ai déjà joué deux fois. Et j'ai perdu deux fois... C'est sûr que ce sera lui le favori. Mais ça se passe bien pour moi cette semaine, alors pourquoi pas battre Roger Federer ? De plus, il a eu une saison assez difficile : il a été malade en début de saison, il perd beaucoup plus de matches que par le passé. Roger reste tout de même un joueur exceptionnel, alors il faudra se méfier. Je suis prêt. J'y crois.
En atteignant les quarts de finale de l’US Open, Gilles Muller succède au Français Nicolas Escudé, qui était le dernier joueur issu des qualifications à atteindre le stade des quarts de finale du Grand Chelem new-yorkais. C’était en 1999. Le dernier qualifié à atteindre les quarts de finale d’un tournoi du Grand Chelem était Vladimir Voltchkov, à Wimbledon en 2000. Le Biélorusse s’était alors arrêté en demi-finales.
Le Luxembourgeois Gilles Muller, 25 ans et 130e mondial, croit en ses chances jeudi en quart de finale de l'US Open face au Suisse Roger Federer, en quête d'un cinquième titre consécutif à New York. "Pourquoi pas battre Roger Federer ?", se demande-t-il après ses exploits en série. "J'y crois."
Gilles MULLER, quel sentiment prédomine après votre qualification historique pour les quarts de finale d'un Grand Chelem ?
G.M. : C'est dingue. Je ne pensais jamais être en deuxième semaine. Généralement, je regarde les matches de deuxième semaine à la télé, sur mon canapé. C'est le tie-break (du quatrième set) le plus fou que j'ai joué au cours de ma carrière (score 12 à 10, NDLR) et c'est un de mes meilleurs matches au niveau tactique. J'ai bien cassé son jeu. A un moment donné, je l'avais même sorti du match. Je menais 6-4 et 4-1 mais je n'ai pas pu enfoncer le clou.
Comment vous sentez-vous ?
G.M. : Fatigué. Mais quand vous êtes en quart de finale d'un Grand Chelem, vous oubliez tout. Je reste positif, je ne veux pas trop m'enflammer. Mais j'ai faim, j'aimerais aller plus loin.
Contre Roger Federer, vous y croyez ?
G.M. : Je l'ai déjà joué deux fois. Et j'ai perdu deux fois. C'est sûr que ce sera lui le favori. Mais il y a des choses qui se passent cette semaine... Pourquoi pas battre Roger Federer ? Il a eu une saison difficile. Il perd beaucoup plus de matches que par le passé. J'y crois.
Comment votre succès contre Davydenko a-t-il été vécu au Luxembourg ?
G.M. : Je ne sais pas trop. Vous savez, c'est très calme d'ordinaire (sourire). Il n'y a que deux chaînes de télévision. Ma copine a d suivre mon match sur Internet.
Avez-vous appelé vos amis, votre famille ?
G.M. : A part les proches, j'essaye de ne plus répondre aux textos des copains. Je l'avais fait quand j'avais battu Roddick (au premier tour de l'US Open en 2005 NDLR) et ça m'avait épuisé. Après, j'avais eu du mal à confirmer. Là, je reste concentré. J'aurais tout le temps de le faire après le tournoi.
Après avoir été 59e mondial en août 2005, vous revenez au devant de la scène. Votre résurrection tient-elle du miracle ?
G.M. : Je ne crois pas trop aux miracles. C'est juste un rêve qui est en train de se réaliser et quelque part dans ma tête, j'y ai toujours cru. En juniors, j'étais du même niveau que (Marcos) Baghdatis ou (Jo-Wilfried) Tsonga. Ils ont réussi des exploits. Je savais donc que je pouvais y arriver.
Qu'est-ce qui a été le plus difficile pour revenir au premier plan ?
G.M. : Quand vous avez pris got au plus haut niveau, aux Grands Chelems, aux Masters Series et que vous avez battu des mecs comme Roddick, vous vous dites forcément que vous devez remporter tous vos matches dans les tournois Challengers (deuxième division NDLR). Mais je n'y arrivais pas et c'était très dur à gérer. J'ai remonté la pente petit à petit, un match par-ci, un match par-là.
Avez-vous envisagé d'arrêter ?
G.M. : Oui, j'ai pensé à devenir professeur de tennis. Parfois, je gagnais 300 euros alors que le billet d'avion était à 500 euros... Je jouais à perte. Je me posais des questions: "Est-ce que ça vaut le coup de continuer ?". Mais j'aime trop le tennis. Je suis content de ne pas l'avoir fait.
Jean-Moise DUBOURG - mercredi 03 septembre 2008 - 13h40
Premier Luxembourgeois de l'histoire à atteindre un quart de finale en Grand Chelem après son succès sur Davydenko décroché mardi soir à New York en huitièmes de finale de l'US Open, Gilles Muller n'en revient pas mais croit en ses chances lors du prochain tour face au n°2 mondial Roger Federer.
« C'est dingue, a indiqué en conférence de presse le qualifié luxembourgeois après sa victoire. Je ne pensais jamais être en deuxième semaine. Généralement, je regarde les matchs de deuxième semaine à la télé, sur mon canapé. C'est le tie-break le plus fou que j'ai joué au cours de ma carrière (Ndlr : 12-10 dans le 4eme set) et c'est un de mes meilleurs matchs au niveau tactique. J'ai bien cassé son jeu. A un moment donné, je l'avais même sorti du match. Je menais 6-4 et 4-1 mais je n'ai pas pu enfoncer le clou. (A propos de son quart de finale contre Federer) Je l'ai déjà joué deux fois. Et j'ai perdu deux fois. C'est sûr que ce sera lui le favori. Mais il y a des choses qui se passent cette semaine... Pourquoi ne pas battre Roger Federer ? Il a eu une saison difficile. Il perd beaucoup plus de matchs que par le passé. J'y crois. »
Jean-Moise DUBOURG - mercredi 03 septembre 2008 - 14h27
Qualifié pour les quarts de finale de l'US Open après son succès sur Davydenko mardi à New York, le Luxembourgeois Gilles Muller (130eme mondial) a indiqué après la rencontre que - à l'image de la Française Julie Coin la semaine dernière - il avait envisagé récemment de mettre un terme prématuré à sa carrière de joueur pro.
« Oui, j'ai pensé à devenir professeur de tennis, a expliqué Gilles Muller lors de la conférence de presse d'après-match. Parfois, je gagnais 300 euros alors que le billet d'avion était à 500 euros... Je jouais à perte. Je me posais des questions : " Est-ce que ça vaut le coup de continuer ? ". Mais j'aime trop le tennis. Je suis content de ne pas l'avoir fait. »
Mardi, le Luxembourgeois Gilles Muller a créé la surprise en se qualifiant pour les quarts de finale de l'US Open, après avoir battu Nikolay Davydenko en 4 sets (6-4, 4-6, 6-3, 7-6). Issu des qualifications, Muller, interrogé sur les ondes de RMC, savoure sa victoire et se dit optimiste pour la suite de la compétition et pour son match face à Roger Federer: "C'est un rêve qui est en train de se réaliser et quelque part dans ma tête, j'y ai toujours cru. Je pense avoir le potentiel pour aller plus loin. Roger est un joueur exceptionnel. C'est sûr que ce sera lui le favori. Je l'ai déjà joué deux fois. Et j'ai perdu deux fois... alors il faudra se méfier. Je suis prêt. J'y crois".
Rédaction Sport365 - jeudi 04 septembre 2008 - 09h45
Le Luxembourgeois Gilles Muller tentera de sa qualifier pour les demi-finales de l'US Open en rencontrant le numéro 2 mondial, Roger Federer. Autre quart à l'ordre du jour, l'Américain Andy Roddick qui se mesurera au Serbe Novak Djokovic.
Le Luxembourgeois Gilles Muller, 25 ans et 130e mondial, croit en ses chances jeudi en quart de finale de l'US Open face au Suisse Roger Federer, en quête d'un cinquième titre consécutif à New York. "Pourquoi pas battre Roger Federer ?", se demande-t-il après ses exploits en série. "J'y crois."
Gilles MULLER, quel sentiment prédomine après votre qualification historique pour les quarts de finale d'un Grand Chelem ?
G.M. : C'est dingue. Je ne pensais jamais être en deuxième semaine. Généralement, je regarde les matches de deuxième semaine à la télé, sur mon canapé. C'est le tie-break (du quatrième set) le plus fou que j'ai joué au cours de ma carrière (score 12 à 10, NDLR) et c'est un de mes meilleurs matches au niveau tactique. J'ai bien cassé son jeu. A un moment donné, je l'avais même sorti du match. Je menais 6-4 et 4-1 mais je n'ai pas pu enfoncer le clou.
Comment vous sentez-vous ?
G.M. : Fatigué. Mais quand vous êtes en quart de finale d'un Grand Chelem, vous oubliez tout. Je reste positif, je ne veux pas trop m'enflammer. Mais j'ai faim, j'aimerais aller plus loin.
Contre Roger Federer, vous y croyez ?
G.M. : Je l'ai déjà joué deux fois. Et j'ai perdu deux fois. C'est sûr que ce sera lui le favori. Mais il y a des choses qui se passent cette semaine... Pourquoi pas battre Roger Federer ? Il a eu une saison difficile. Il perd beaucoup plus de matches que par le passé. J'y crois.
Comment votre succès contre Davydenko a-t-il été vécu au Luxembourg ?
G.M. : Je ne sais pas trop. Vous savez, c'est très calme d'ordinaire (sourire). Il n'y a que deux chaînes de télévision. Ma copine a d suivre mon match sur Internet.
Avez-vous appelé vos amis, votre famille ?
G.M. : A part les proches, j'essaye de ne plus répondre aux textos des copains. Je l'avais fait quand j'avais battu Roddick (au premier tour de l'US Open en 2005 NDLR) et ça m'avait épuisé. Après, j'avais eu du mal à confirmer. Là, je reste concentré. J'aurais tout le temps de le faire après le tournoi.
Après avoir été 59e mondial en août 2005, vous revenez au devant de la scène. Votre résurrection tient-elle du miracle ?
G.M. : Je ne crois pas trop aux miracles. C'est juste un rêve qui est en train de se réaliser et quelque part dans ma tête, j'y ai toujours cru. En juniors, j'étais du même niveau que (Marcos) Baghdatis ou (Jo-Wilfried) Tsonga. Ils ont réussi des exploits. Je savais donc que je pouvais y arriver.
Qu'est-ce qui a été le plus difficile pour revenir au premier plan ?
G.M. : Quand vous avez pris got au plus haut niveau, aux Grands Chelems, aux Masters Series et que vous avez battu des mecs comme Roddick, vous vous dites forcément que vous devez remporter tous vos matches dans les tournois Challengers (deuxième division NDLR). Mais je n'y arrivais pas et c'était très dur à gérer. J'ai remonté la pente petit à petit, un match par-ci, un match par-là.
Avez-vous envisagé d'arrêter ?
G.M. : Oui, j'ai pensé à devenir professeur de tennis. Parfois, je gagnais 300 euros alors que le billet d'avion était à 500 euros... Je jouais à perte. Je me posais des questions: "Est-ce que ça vaut le coup de continuer ?". Mais j'aime trop le tennis. Je suis content de ne pas l'avoir fait.
Le Luxembourgeois Gilles Muller s’est offert le scalp de l’Espagnol Feliciano Lopez au terme d’un match épique (6/3 7/6 4/6 4/6 16/14) !
Tête de série n°27, Feliciano Lopez est passé à la trappe lors du premier tour. L’Espagnol a tout donné mais le Luxembourgeois Gilles Muller a eu les nerfs plus solides dans le 5e set (6/3 7/6 4/6 4/6 16/14) !
Membre n° : 1 Nombre de messages : 40583 Inscription : 02/08/2007
Sujet: Re: Gilles MULLER (LUX) Mer 21 Jan 2009 - 14:01
Open d'Australie - Müller élimine Tomic
Eurosport | mer 21 janv, 14:26
Gilles Müller s'est qualifié pour le 3e tour de l'Open d'Australie aux dépens du jeune Bernard Tomic, 16 ans, battu en quatre sets. Le Luxembourgeois, ancien N.1 mondial juniors, affrontera l'Argentin Juan Martin Del Potro au prochain tour.
Membre n° : 3 Nombre de messages : 14210 Inscription : 02/08/2007
Sujet: Re: Gilles MULLER (LUX) Sam 24 Jan 2009 - 19:54
An interview with Gilles Muller
January 21, 2009
Q. Get your thoughts on the match and how you played tonight. GILLES MULLER: Well, I'm very happy I won that match. But I'm not very happy with the way I played today. I was very tight from the beginning, and I felt like I was pretty, yeah, I didn't play my game throughout whole match.
I think I served well and that's what saved me today. But my baseline and net game was not as good as two days ago.
Q. Did Bernard surprise you a little bit early on? GILLES MULLER: Surprise not. I mean, I was aware how he could play, but I was impressed with the way he handled the situation. I think he handled it better than me. I was the one I was tight and he was just loose and playing his game. Wasn't saying anything and was calm the whole match. I was pretty impressed by that.
Q. So you found it difficult with the big crowd supporting Tomic? GILLES MULLER: Not really. I played on Arthur Ashe at US Open against Andy Roddick so I'm used to those situations. But there was not a situation which was tough for me today. It's the first time playing on a big court like that in a must‑win situation. I was favored. He was the one who has nothing to lose. I think I didn't handle it very good.
Q. And how do you feel now about your chances now that you're through on the third round? GILLES MULLER: Well, I mean, I'm happy about that for sure. I mean, if I would have known that I would have ‑‑ would go to the third round, I would be very happy before the tournament.
Now I'm playing Del Potro, and that's the other way around again. I'm just going to go out there and enjoy it and play my game.
(Photos: AP) Tennis. Connaissant des problèmes de santé depuis plusieurs mois, Gilles Muller vient de prendre la décision de mettre un terme à ses activités pour la saison en cours.
Depuis des mois, le tennisman numéro1 du Luxembourg souffre d'une inflammation des tendons du genou. Gilles Muller avait déjà interrompu ses activités pendant les mois d'avril et mai de l'année en cours. Comme la blessure s'est encore dégradée, ses médecins et aussi les spécialistes de l'ATP lui ont suggéré un repos total pendant quatre mois.
Le Luxembourgeois a ainsi décidé de se mettre au repos pour le reste de la saison. Il espère cependant retrouver les courts de nouveau à partir de l'année prochaine. Gilles Muller a d'ores et déjà décidé de prolonger sa préparation en Floride d'un mois.
Membre n° : 13 Nombre de messages : 7736 Inscription : 10/08/2007
Sujet: Re: Gilles MULLER (LUX) Mar 14 Juin 2011 - 7:34
Tennis/Wimbledon : une wild-card pour Muller
14/06/2011 09:09:00
Avoir remporté le tournoi de Nottingham, la semaine passée, était une très bonne idée pour le n°1 luxembourgeois.
Grâce à ce beau succès, Gilles Muller a convaincu les organisateurs du tournoi de Wimbledon de lui octroyer une wild-card pour le tableau final. Le 93e mondial va donc pouvoir éviter les fastidieuses qualifications. Une très bonne nouvelle!
Récent vainqueur à Nottingham, le Luxembourgeois Gilles Muller (classé 93eme à l’ATP) a eu besoin de quatre sets pour sortir l’Allemand Tommy Haas (7-6, 7-6, 3-6, 6-3). Gilles Muller affrontera le Canadien Raonic au deuxième tour.