Mario Ancic



Pronounced: an-CHICH
Birthdate: 30-Mar-84
Birthplace: Split, Croatia
Residence: Monte Carlo, Monaco
Height: 6'5'' (195 cm)
Weight: 180 lbs (81 kg)
Plays: Right-handed
Turned Pro: 2001
Coach: Fredrik Rosengren

Du court au Barreau

Le vendredi 10 août 2007
Vincent Brousseau-Pouliot
La Presse

Mardi soir. Le stade Uniprix est désert. Mario Ancic vient d'éliminer le Québécois Frédéric Niemeyer en première ronde de la Coupe Rogers. Le Croate de 23 ans sort finalement de la salle de physiothérapie. Il faut dire qu'à 6 pieds 5 pouces, il en a long à étirer après un match.

Souriant, Mario Ancic sera généreux de son temps avec La Presse, même s'il est plus de 23h et qu'il joue le lendemain (il s'inclinera finalement contre Paul-Henri Mathieu). «Vous ne pouvez pas imaginer comment je suis content», dit-il.

C'est que le grand Croate revient de loin. En février dernier, il a contracté une mononucléose qui l'a tenu à l'écart du circuit jusqu'à mardi dernier. Ses premiers symptômes sont apparus durant un match de Coupe Davis contre l'Allemagne.

«Toute la semaine, je faisais de la fièvre et j'avais mal à la gorge, dit-il. Mais j'ai toujours aimé jouer la Coupe Davis - nous avions d'ailleurs gagné en 2005. J'ai pris des antibiotiques pour jouer mon premier match. Pendant les arrêts de jeu, j'allais aux toilettes pour vomir.»

Quelques jours plus tard, le verdict des médecins a été sans appel: une mononucléose. «Ce fut un choc, confie Ancic. Je n'avais jamais été aussi en forme, j'étais toujours plein d'énergie. Je jouais le meilleur tennis de ma carrière. J'étais entré dans le top 10. J'ai perdu en cinq manches contre Roddick en Australie. Et soudainement, j'étais incapable de marcher pendant plus de 15 minutes.»

Au moins, Ancic a évité le pire. «Les médecins ont vu que mon coeur grossissait et ils étaient inquiets, dit-il. Heureusement, il n'y a pas eu de complications. Mais les médecins pensent que si j'avais joué un autre match en Coupe Davis, ç'aurait pu être la fin de ma carrière en raison d'un problème de coeur.»

Dernier joueur à avoir battu Federer à Wimbledon, en 2002, Ancic doit purger une sentence difficile pour tout athlète de haut niveau: rester au lit 15 heures par jour. Il s'agit de la seule façon de venir à bout de sa mononucléose. «Avec une blessure, vous savez que si vous faites vos exercices, vous allez guérir, dit-il. Avec la mono, c'est différent. Un mois? Trois mois? Un an? Les médecins ne peuvent jamais prévoir la durée de votre convalescence.»

Privé du tennis, Ancic s'est tourné vers son autre passion : ses études en droit. «Ça m'a aidé à passer à travers ma convalescence, dit-il. Je passais mes journées au lit à étudier.»

Malgré sa vie de joueur de tennis professionnel, Ancic est déjà en quatrième année de droit à l'Université de Split, sa ville natale. Avec un peu de chance, il espère obtenir son diplôme en décembre. Il entend passer son Barreau à la fin de sa carrière de tennis. «J'ai toujours trouvé le moyen de continuer mes études, dit-il. Le tennis ne doit pas être toute ta vie. Entre les matchs, tous les joueurs font autre chose. Moi, c'est les études.»

Aussi discipliné soit-il, Ancic n'a pas amené ses livres de droit à Montréal. «Comme tous les étudiants, je suis en vacances l'été», dit-il.

Bien plaidé, Me Ancic.

cyberpresse.ca
http://www.cyberpresse.ca/article/20070810/CPSPORTS08/708100498/1013/CPSPORTS08

US Open: Ancic renonce

Rédaction Sport365 - lundi 27 août 2007 - 22h37

Le Croate Mario Ancic, qui effectue son retour sur le circuit ATP après une mononucléose, a renoncé lundi à disputer l'US Open en raison d'une blessure à l'épaule droite.

Le forfait de dernière minute de Mario Ancic fait le bonheur du Néerlandais Robin Haase, qui intègre le tableau de l'US Open en qualité de lucky looser et affrontera au premier tour la tête de série n°3, le Serbe Novak Djokovic.

www.sport365.fr

ATP Tour - Ancic:"La santé et le top 10"



Mario Ancic n'a que 24 ans, mais il a déjà connu l'équivalent de deux carrières avec un temps fort une demi-finale à Wimbledon et une grande absence, une mononucléose. Ce Croate, qui vit depuis longtemps à Monte-Carlo, s'est confié avant d'aborder les grandes échéances sur terre battue.

MS ROME - 1er tour

Mario Ancic (CRO, WC) bat Feliciano Lopez (ESP)

Deux ans que vous n'aviez pas foulé la terre battue, en compétition du moins, quelles sont vos sensations aujourd'hui sur cette surface ?

MARIO ANCIC : "Je n'ai plus joué sur terre depuis la fois où j'ai perdu contre Federer en quarts de Finale à Roland Garros, donc je dois bien avouer que c'était assez étrange quand j'ai repris. Mais plus je joue, plus la confiance revient, je suis de plus en plus à l'aise. Bien sûr, les choses prennent du temps à se remettre en place, c'est un période difficile, mais heureusement j'ai de bons résultats, et je verrai bien par la suite. C'est dur de faire le moindre "pronostic" et d'avoir une quelconque attente."

A 24 ans, vous avez déjà connu en quelque sorte deux carrières. Il y a eu un "avant mononucléose", et un "après"

M. A : "En effet, on peut diviser mon parcours en deux carrières. L'une avant cette longue période pendant laquelle j'ai été blessé et malade, alors que j'étais n°7 mondial, que j'avais gagné la Coupe Davis avec mon pays et le tournoi de 's-Hertogenbosch, et "l'après". J'essaye toujours de revenir, j'ai eu de supers résultats jusqu'à maintenant. Avant Marseille, j'étais 135e mondial, aujourd'hui je suis déjà revenu en 53e position au classement ATP, donc c'est vraiment bien. Mais il faut toujours aller progressivement, étape par étape. Je crois vraiment que je peux revenir dans le top 10, et bien jouer."

Considérez-vous avoir modifié votre jeu ? Même si vous restez un joueur offensif, on a l'impression que vous êtes peut-être plus prudent qu'auparavant

M. A : "Oui, bien sûr. Quand tu es dans le top 10, quand tu as de bons résultats, tu es plus confiant, tu joues beaucoup et tu sais exactement quoi faire dans n'importe quelle situation A l'heure actuelle, parfois je réfléchis quand même à deux fois "Est-ce qu'il vaut mieux que j'attaque ? Ou plutôt que je reste en fond de court ?..."Mais c'est quelque chose que je travaille quotidiennement, je veux retrouver cette agressivité que j'avais avant. Seulement vous savez, ça a été un break très long, et malheureusement ce n'est pas aussi simple que s'il fallait simplement appuyer sur un bouton pour que tout revienne instantanément"

Vous avez réalisé de grosses perfs en grand chelem, fait partie du top 10 Quel est le petit "truc" qu'il vous manque, à votre avis, pour décrocher un titre en Masters Series ou dans un des quatre tournois majeurs ?

M. A : "Je dois dire qu'au moment où j'étais au top, où je jouais si bien en Grand Chelem, je n'étais pas si loin du titre, donc... Vous savez, j'avais beaucoup d'ambitions. J'ai été malade, mais maintenant, c'est dur de dire quelles sont mes "dispositions". Tout d'abord, tu dois être brillant en quarts, en demies, et ensuite tu peux penser à la finale et au titre en Grand Chelem."

Abordez-vous les matches différemment aujourd'hui ? Avez-vous une approche différente ?

M. A : "Non. Je pense qu'elle est restée la même. Bien évidemment, j'apprécie encore plus de jouer maintenant, le tennis m'a tellement manqué, et pour moi, n'importe quel entraînement, n'importe quel match est tout simplement incroyable, parce que je suis passé par des moments très durs, ce n'était vraiment pas facile, mais je suis revenu, je joue les grands tournois, je n'ai plus besoin de wild-cards ou de passer les qualifications. Avec les matches tu reprends confiance, et tu es plus agressif et tu te sens plus à l'aise sur le court."

Est ce que vous ressentez beaucoup d'attente de la part de vos compatriotes et dans votre pays ?

M. A : "Je ne sais pas trop, je ne suis concentré que sur une chose Heureusement je retrouve un bon niveau de jeu, je ne sais vraiment pas comment dire J'étais prêt à disputer des tournois Challenger, mais grâce à Dieu, je m'en suis vite sorti et je peux toujours jouer. Je suis à nouveau dans les 50 environ, ce qui est très important pour moi, ça me permet d'entrer dans les tableaux des Masters Series, et vous savez, le fait qu'il ne soit plus question de wildcard ni de qualifs, c'est déjà un premier grand pas pour moi. Aujourd'hui l'important c'est que je travaille mon jeu, et que je réussisse à tout remettre en place."

Comment va s'organiser la suite de votre saison ?

M. A : "Je joue Barcelone la semaine prochaine, puis Rome (il a finalement obtenu une wild-card, ndlr), Hambourg et Poertschach avant Paris. Ensuite c'est Roland-Garros, j'espère revenir en bonne forme là-bas, bien jouer dans les semaines à venir, retrouver mes sensations et tout ça sur terre battue, parce que vous savez, il faut glisser. C'est très différent, et je n'aurais pas pu vraiment "m'échauffer". Lorsque j'ai essayé de revenir sur le circuit l'an dernier, c'était sur dur. Donc c'était un gros challenge pour moi, mais je suis vraiment très heureux d'être là, d'avoir remporté un tour ici. Je me suis incliné sur un score très sévère mais je relativise, c'était une défaite face au meilleur joueur du monde sur terre battue, Rafa (ndlr : Rafael Nadal) ! Cela m'a permis de faire le point, de voir ce qu'il me manquait, où je devais encore progresser. Je retiens beaucoup de choses positives de ce match, en fait j'ai occulté le score et je n'ai voulu ne retenir que les bonnes choses. Je pense avoir assez bien joué, assez bien frappé la balle, c'est une bonne expérience pour mon retour sur terre."

Pourriez-vous d'ores et déjà dresser un petit bilan de votre début de saison? Attendez-vous beaucoup de cette année 2008, avez-vous de gros objectifs en tête ? Ou au contraire cette saison est pour vous une sorte de nouveau départ ?

M. A : "Je pense qu'aujourd'hui je suis très serein, c'est évident. Vous savez, j'ai vraiment envie de revenir, de montrer à nouveau que je fais partie des meilleurs, mais je sais pertinemment que tout ne peut pas revenir d'un coup, ça nécessite un énorme travail, de la gym etc Mais je dois dire, je n'ai pas trop de gros objectifs pour cette année, je veux simplement être en bonne santé. Et comme je le disais, mon but, c'est de revenir au classement qui me correspond vraiment, c'est-à-dire le top 10. Je ne sais pas quand cela arrivera, mais pour le moment, ce sur quoi je me concentre le plus, c'est mon jeu, retrouver le même mental, les même frappes de balles, la même agressivité qu'avant."

Quels rapports entretienez-vous avec les autres joueurs croates ?

M. A : "Je trouve qu'on s'entend plutôt bien. Au départ, j'étais tout le temps avec Ljubicic, puis Karlovic est arrivé, et puis Cilic, donc On s'entend vraiment tous bien."

Que pensez-vous de l'émergence du tennis serbe?

M. A : "C'est vraiment sympa de voir que ces nouveaux pays ont désormais de très grands noms du sport. En Croatie on a de très bons résultats en tennis, on a toujours eu de très bons joueurs, dans le top 10. Goran (ndlr : Ivanisevic) a gagné Wimbledon, puis nous avons gagné la Coupe Davis (ndlr : 2005). Les Croates ont eu tellement de succès dans le passé, il ont connu leur heure de gloire, comme les Serbes aujourd'hui, qui ont d'excellents résultats. Ça me fait vraiment plaisir pour eux, parce que je les connais, et je peux vous dire qu'ils le méritent."

Vous habitez Monte-Carlo. Comment vivez-vous le quotidien ici, et le tournoi ?

M. A : "Pour moi, avant tout, ce tournoi, c'est vraiment un tournoi à la maison. J'ai mon appartement ici, ma famille vit ici aussi. Je suis résident monégasque depuis très longtemps. En fait je suis venu ici alors que je n'avais que 14, 15 ans, parce que beaucoup de joueurs s'entraînaient ici, donc je suis venu pour être sparring partner, j'étais tout jeune. Après, j'ai progressé, et j'ai finalement décidé de me "baser" ici, parce que je pense que tout le monde a besoin d'un point de chute. Pour moi, c'est ici. Je suis toujours là au mois de décembre, et pendant les autres mois de l'année, quand on est tous là à s'entraîner, je tiens à dire que les gens du club sont vraiment adorables. On a tout ce dont on a besoin ici."

Quel est le souvenir le plus fort de votre carrière ?

M. A : "La victoire en Coupe Davis en 2005, je pense Pour moi c'est toujours tellement important de faire partie de cette sélection Croate, et remporter le 5e match de cette finale, il n'y avait rien de plus beau qui puisse arriver à l'Equipe, rien de mieux pour la Croatie. J'étais tellement heureux, parce que représente tellement de choses pour moi»

Très peu de joueurs poursuivent leurs études une fois leur carrière de haut niveau entamée. Pour votre part, vous venez d'être diplômé Qu'est ce qui vous a motivé pour continuer vos études ? Et si vous n'aviez pas été tennisman, qu'auriez-vous aimé faire comme métier ?

M. A : "J'ai commence mes études il y a presque 6 ans, et je voulais continuer, parce que j'aime vraiment beaucoup ça. Et d'un autre côté, tu ne sais jamais ce qui peut se passer, quand tu regardes ce qui m'est arrivé l'an dernier, quand j'ai eu ces problèmes de santé, tout aurait pu s'arrêter du jour au lendemain. Après, tout le monde se posait la question "Pourquoi est-ce qu'il fait ça ? Est-ce qu'il prend trop de temps pour revenir ?" Je répondais que non. J'emporte toujours des livres avec moi, quand je reviens dans ma chambre je me mets à lire et travailler, pour moi c'est normal d'étudier, et de lire."

"Donc ça a été énorme pour moi d'être diplômé quelques jours avant le tournoi (ndlr : avant le Masters Series de Monte Carlo), j'ai obtenu mon diplôme de Droit, c'était une étape très très importante pour moi, et pour ma famille aussi bien évidemment, qui voulait me voir aller à l'école, et ne voulait pas que je regrette d'être devenu un joueur de tennis. Parce que je joue peut-être au tennis, mais j'ai une vie "normale", et mon comportement est tout ce qu'il y a de plus Normal, je suis aussi normal que possible."

yahoo.fr
http://fr.sports.yahoo.com/06052008/70/atp-tour-ancic-la-sante-et-le-top-10.html

De quoi vont parler Federer et Ancic? De la mononucléose!

31 mai 2008 - 00h05

Ce samedi, les deux anciens malades ont rendez-vous sur le court.

Le hasard de l'histoire emprunte parfois des chemins tortueux. Il y avait une chance sur cent que deux joueurs atteints de la mononucléose s'échangent un jour des informations sur leur maladie à même le court. Le rendez-vous des anciens grands malades on veut dire Roger Federer et son dernier tombeur à Wimbledon en 2002, Mario Ancic est agendé ce samedi à Roland Garros. Le Croate a souffert des premiers symptômes en janvier 2007. Le No 1 mondial douze mois plus tard.

De quoi vont donc s'entretenir les deux joueurs, aujourd'hui? De la mononucléose forcément. «J'en connais un bout sur la question, je pourrais donner des conseils à Roger, même s'il est rétabli aujourd'hui», se marrait Mario Ancic, ce printemps à Miami.

Mais, d'abord, la mononucléose, qu'est-ce que c'est? Une maladie virale causée par le virus d'Epstein-Barr. Elle est caractérisée par une augmentation du nombre et du volume d'un certain type de globules blancs. Elle se transmet par la salive et se manifeste par une angine, des maux de tête, accompagnés par une très grande fatigue.

Roger Federer a souffert de la forme atténuée de la maladie, Mario Ancic de la plus sévère. Elle l'a laissé sur le carreau pendant six mois. Sans aucune force et un immense vague à l'âme! «J'ai commencé par avoir de la fièvre et mal à la gorge, se souvient-il. Je ne pouvais plus ni manger ni dormir.» Lors du match de Coupe Davis Croatie - Allemagne, il crache même du sang sur le terrain. «J'ai eu des nausées et je frappais à côté de la balle...»

Gros dodos

Mario Ancic poussera même l'inconscience jusqu'à disputer le tournoi de Marseille. Pour abandonner au premier tour. «Ma fièvre montait parfois jusqu'à 40. Mais je ne connaissais toujours pas la nature de ma maladie.» Avant que le diagnostic ne tombât enfin: mononucléose sévère. Et un gros coup de mou. «Quand j'allais me promener un quart d'heure, je me sentais totalement épuisé. Je dormais jusqu'à 18 heures par jour.»

Mario Ancic n'a d'autre solution que de prendre son mal en patience. Entre deux dodos, il en profite pour peaufiner ses études de droit. «Je passais l'essentiel de mes journées couché, car j'étais assommé par la fatigue. Quatre mois plus tard, quand la Faculté m'a autorisé à trottiner vingt -minutes, j'étais le plus heureux des hommes. Je voyais enfin le bout du tunnel.»

Quoique! Mario Ancic revient au jeu au mois d'août. Pour se retrouver sur la touche six semaines supplémentaires. La faute à une blessure à l'épaule. Il a trop tiré sur la machine! Qu'importe, le Croate sort endurci de cette nouvelle épreuve. «Au final, cette maladie m'a coûté un an dans ma carrière mais je suis aujourd'hui plus heureux qu'avant et je sais que rien n'est jamais acquis.»

http://www.tdg.ch

Ancic pour Darcis

Mario Ancic s’est qualifié pour le deuxième tour du tournoi de s’Hertogenbosch en dominant Ivo Minar (6/1 7/6).

Eliminé prématurément cette semaine au Queen’s, Mario Ancic continue son parcours à s’Hertogenbosch. Le Croate a disposé d’Ivo Minar au premier tour (6/1 7/6) et sera prochainement opposé à Steve Darcis.

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s'-Hertogenbosch (ATP): Ancic sans difficultés

Le Croate, Mario Ancic, s'est facilement qualifié ce mardi pour les quarts de finale du tournoi de s'-Hertogenbosch, en prenant la mesure du Belge Steve Darcis (6-2, 6-4), en un peu plus d'une heure et quinze minutes de jeu. Le Croate sera opposé au prochain tour au vainqueur du match opposant David Ferrer à Massimo Dell'acqua.

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Ancic rejoint Ferrer

Le Croate Mario Ancic s’est qualifié pour le 3e tour au détriment de l’Allemand Philipp Petzschner (6/1 6/4 4/6 6/7 6/3).

Mario Ancic s’est fait peur contre l’Allemand Philipp Petzschner, issu des qualifications. Le Croate a eu besoin de cinq sets pour faire la différence. Au 3e tour, il affrontera l’Espagnol David Ferrer. A noter également la qualification du Tchèque Tomas Berdych, vainqueur de Victor Hanescu.

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Ancic s’offre Ferrer

Mario Ancic s’est qualifié pour les 8es de finale aux dépens de David Ferrer (6/4 6/4 6/7 7/6).

Tombeur de Michael Llodra au 1er tour, Mario Ancic poursuit son remarquable parcours à Wimbledon. Le Croate s’est payé le scalp de David Ferrer, tête de série numéro 5 (6/4 6/4 6/7 7/6). En 8es de finale, il sera opposé à un autre Espagnol, Fernando Verdasco.

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Ancic pour Federer

30/06 17h09 - Tennis, Wimbledon

Mario Ancic est venu à bout de Fernando Verdasco au terme d’un match marathon.

Quelle bataille sur le court 11 entre Mario Ancic et Fernando Verdasco ! Les deux hommes se sont départagés seulement au terme d’un interminable cinquième set (3/6 4/6 6/3 6/4 13/11). En quarts de finale, le Croate sera opposé à Roger Federer.

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